OS Mesut Özil x Kai Havertz#79

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Mesut Özil

Je sors enfin de la clinique privée après y avoir passer une semaine. Je sens le regard se poser sur moi, enfin plus précisément sur la nouvelle poitrine qui orne désormais mon torse.

Je porte une casquette et des lunettes de soleil, pour éviter d'être trop facilement reconnu. J'appel un taxi et lui donne une adresse qui n'est évidemment pas la mienne, mais c'est assez proche pour que je n'ai pas à marcher longtemps.

Le trajet est assez court et je laisse un bon pourboir au chauffeur. Lorsque j'arrive enfin chez moi, je me rend directement dans ma chambre et réserve le jet pour me rendre dans ma maison en Allemagne dès ce soir.

En effet il y a maintenant 5 jours, j'ai subit une augmentation mammaire et une vaginoplastie suite à un traumatisme que j'ai vécu il  y a de ça 2 ans.

C'était juste après la coupe du monde 2018, un coéquipier m'as séquestrer chez lui pendant 2 mois et m'as abusé sexuellement, donner des hormones pour que je devienne une femme.

Mais depuis que j'ai réussi à m'enfuir, je n'arrive pas enfin plus à me sentir homme. Donc j'ai décider de faire une opération pour enfin être comme je me sens réellement.

Mais maintenant j'ai énormement de question qui tourne dans ma tête, donc je vais aller voir quelqu'un qui je sais, pourras répondre à mes questions.

Ellipse du trajet

Je pose les pieds sur le sol allemand et respirer un bon coup. Je me rend chez moi et pose toute mes affaires, puis décide de me rendre à un entraînement du bayer leverkusen.

L'homme que je cherche se trouve là-bas. J'arrive donc au centre et assiste à la fin de l'entraînement.

Je m'approche de lui et on se prend dans les bras.

-Mesut quesque tu fais ici ?

-Ecoute j'ai vraiment besoin de parler avec toi de quelque chose d'assez important.

Je rougis et passe ma main dans mes cheveux et chuchote.

-T'es bien hermaphodrite ?

Il pose rapidement sa main sur ma bouche et répond proche de mon oreille.

-Oui mais ici personne ne le sais. On va aller chez moi pour parler c'est mieux.

J'hoche ma tête et le laisse aller se changer. Lorsqu'il reviens il prend sa voiture et je le suis avec la mienne.

Nous arrivons rapidement devant sa villa et nous nous garons. Finalement on attéris dans son salon et je m'assois sans savoir quoi dire.

-Bon ducoup si tu m'as parler de ça c'est que tu as quelque chose à demander par rapport à ça nan ?

-Je....ouai, écoute je...je me suis fais opérer, actuellement je cache ma poitrine mais j'en ai une et euhh ba j'ai fais une vaginoplastie donc voilà. J'ai énormement de questions par rapport à ça. Mon médecin m'as dit de parler à quelqu'un de ça et je.....j'ai confiance en toi pour t'en parler donc voila.

-Oh okay, ba écoute oui je peux répondre à toute tes questions, mais je peux savoir pourquoi ? Enfin je veux dire tu n'avais pas l'air malheureux en homme.

-C'est vrai mais j'ai subis quelque chose qui m'as changer au plus profond de moi et je ne pouvais plus décemment être un homme, je n'en avais plus le droit.

-Comment ça plus le droit ?

-Je me suis fais séquestré pendant plusieurs mois et forcément cette personne à fortement abuser de moi. Puis cette personne m'as fais commencer à prendre un traitement hormonal pour être une femme. A l'époque j'avais un sexe plutôt imposant et je l'ai vue petit à petit rétrécir jusqu'à devenir un micro pénis. Puis j'ai eu petit à petit une poitrine qui par contre a disparue après que j'ai complétement arrêter le traitement, mais pour mon sexe il était trop tard. Tout ça c'est passer il y a deux ans et depuis je n'ai pas réellement réussi à me relever de tout ça que ce soit psychologiquement et physiquement. Enfin ça grâce à l'opération je m'en remet petit à petit.

Il passe gentillement sa main sur ma jambe.

-Oh mon dieu ça a dû être tellement horrible, si je peux t'aider sache que je suis là.

-Si j'ai quitter la mannschaft c'est à cause de lui....de Toni.

Il se recule et pose sa main sur sa bouche.

-Nan ce n'est pas possible.

-Si...il...il à réussi à faire de moi son jouet.......je n'était plus rien, j'avais perdu toute humanité.

Il vien doucement me prendre contre lui alors que mes larmes coulent.

-C'est fini Mesut, je suis là maintenant et je te jure que plus personne ne te fera de mal.

-Mer....merci.

Dans ses bras je me sens réellement bien, comme si ma place était avec lui.

-Kai.....je...j'ai une question, mon médecin m'as dit que je pourrais avoir mes règles. C'est comment ? Gênant, douloureux ou autre ?

Il passe sa main dans sa nuque, sûrement assez gêner.

-Hmm eh bien c'est assez différent selon chaque personne. Personnellement je sais que pour moi c'est assez douloureux et c'est une semaine que je ne vis pas spécialement bien, mais je n'ai pas le choix. Disons que c'est le premier à payer pour pouvoir donner la vie.

-J'ai peur de les avoirs si tu savais, en plus j'ai pas de protections, puis je sais même pas quoi prendre. Enfin je veux dire je sais même pas ce dont je vais avoir besoin.

Il se lève et va dans sa salle de bain puis me ramène un panier entier de produit hygiénique.

-Bon tien, regarde un peu tout ça pour te donner une idée de ce que tu vas avoir besoin.

Il commence à tout sortir et je regarde et je suis totalement intriguer par les tampons.

-Euh Kai, comment tu te met ça ?

Il rigole et me le prend des mains puis l'ouvre.

-Ba tu vois tu tire comme ça et une fois fais tu le met en toi et après tu pousses le machin en plastique et ça glisse en toi et voila.

-Ahhhhhhhhh d'accord.

Je rigole et le prend contre moi.

-Merci Kai, ça fais du bien de pouvoir en parler avec quelqu'un car j'ai vraiment peur de ma féminité.

-Il ne faut pas. Maintenant qu'elle est là ne la repousse pas, laisse la prendre le dessus et assume qui tu es. Déjà quand tu es ici ne cache plus ta poitrine. Je vais me tourner et je te laisse enlever le bandage que tu as sûrement mit.

Il se tourne et je retire mon bandage en tremblant. Ma poitrine tout de même assez imposante forme une belle bosse sous mon tee-shirt.

-Je....c'est bon Kai, tu peux te tourner.

Il le fait et ne dit absolument rien et retourne juste prêt de moi.

-Alors tu te sens comment ?

-Franchement pour être totalement honnête je me sens beaucoup mieux qu'avant. Ici je me sens totalement à l'aise, puis je sais que je peux être moi même sans absolument aucun jugement.

-Oui exactement, puis de toute manière, je suis comme toi.

Il sourit et mon dieu, il a vraiment un sourire à tomber. Je caresse doucement sa joue et finalement me penche pour l'embrasser.

Il ne se recule pas, bien au contraire. Il passe sa main dans ma nuque et approfondis le baiser. Je me recule en rougissant.

-Kai je....je ne te dégoûte pas ?

Il rigole.

-Oh non, bien loin de là. Tu es quelqu'un que j'apprécie déjà énormement et aujourd'hui tu m'as juste aider à renforcer tout ça. Sache que je suis prêt à t'aider dans tout les petits tracs de ta nouvelle vie. A chaque question et à chaque tourment je serais là. Je veux vraiment faire partie de ta vie, tout comme j'ai envie de faire partie de la tienne.

Je souris et l'embrasse à nouveau.

-Bon par contre bébé, en sexe lesbien je suis totalement nul.

Nous rigolons et nous embrassons avant de nous coucher sur le canapé, pour partager un moment qui n'appartient qu'à nous.

Recueil d'os FootOù les histoires vivent. Découvrez maintenant