Une vie à la Molson [Des pirates de la piraterie]

Chapitre 11

Tranquillement avec les jours sur l'océans je me fit appris une routine sur le bateau. Le Capitaine m'avait parlé de son pacte mais je ne savais toujours pas ce qu'il voulait en retour. J'ignorais notre destination et je connaissais aucune autre personne que Carlos et le Capitaine.

Au matin, je décida qu'il fallait que je trouve un moyen de trouver des réponses à mes questions. Déterminée, je me dirigea dans la cabine générale, où se trouvait le chef du bateau. J'ouvris la porte de son bureau, et je l'ai trouvée en train de parler avec trois autres hommes. Tous se sont tournés vers moi, en me regardant surpris.

 - Maria, justement on parlait de toi, dit le Capitaine.

 - Ah oui? répondis-je.

 - Oui, on se demandait comment tu pourrais nous-être utile ranchera Carlos.

 - Je vois déjà en quoi elle pourra être utile pour moi... dit un des hommes.

 - Ah Esteban arrête donc avec ça rouspéta le Capitaine.

Je regarda l'homme dénommé Esteban qui a dit cette phrase et je ne pu me retenir de dégager un petit rire.

 - Sérieusement qu'est ce que vous attendez de moi?

 - Est-ce que tu sais des choses sur les britanniques? demanda Esteban curieusement. 

 - Oui...

 - Raconte nous... dit un autre

 - Mais est-ce que tu es si innocent que ça Lucien? exclama Carlos.

 - Ben quoi? dit Lucien innocentement.

 - Elle était dans l'armée idiot... réponda Esteban la main sur le front.

Maintenant, je pouvais voir à quoi ressemblait les dirigeants pirates ensemble. Puis le Capitaine me fit signe de me rapprocher de lui pendant que les autres étaient presque en train de se battre.

 - Oui mon Capitaine? chuchotis-je

 - Tu vas m'aider à faire les plans une fois rendus aux Caraïbes... Je suis sûr que toutes les idées que tu vas me proposer vont être meilleures que celles qui m'ont demandés...

 - Nous allons aux Caraïbes?

 - Oui pour refaire nos pleins d'or... nous sommes des pirates après tout...

 - Que va se constituer mon allégeance envers les pirates, mon Capitaine? demandai-je discrètement.

 - C'est simple : m'aider et me planifier des plans et des armes meilleures que les britanniques!

 - Seulement? dis-je surprise

 - Et nous aider sur mon bateau la Machiavélique.

Je regarda le Capitaine et les autres hommes suite à notre conversation. Je fus satisfaite de les réponse que j'ai eu.

Une fois la nuit tombée, je retourna dans ma chambre pour essayer de me reposer en paix. En entrant, je trouva des vêtements propres sur mon lit. Je trouva une paire de pantalon brun pâle, une chemise blanche qui était définitivement trop grande pour moi et un foulard bourgogne avec une lettre dessus.

"Pour vivre parmi les nôtres,

Faut que tu t'habilles comme notre patenôtre

Ton ami Carlos Auditores..."