Chapitre 30

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Des années tranquilles passèrent depuis la sentence de ma vengeance. Édouard et moi étions devant une porte, en attendant qu'elle s'ouvre. Nous étions dans une ville, où il y avait trop de marchands à mon avis. J'avais la chair de poule juste en pensant à ce qui nous attendait. Édouard remarquant que j'arrêtais pas d'avoir des frissons me chauffa en me donnant un câlin ;

- Pourquoi es-tu si nerveuse Maria?

- Ça fait longtemps que je les ai vus... J'ai peur qu'ils ailles changer

En me comprenant, il mit son bras dessus une de mes épaules, pour me rapprocher de lui.

- Ils ne vont rien te faire, je te le promet!

Puis, une vieille femme nous ouvra la porte. Elle se mit à nous sourire pour nous faire rentrer dans sa majestueuse demeure. Ensuite, elle donna un câlin à mon amant, tout en se mettant en larme. Pendant qu'il y avait des retrouvailles, je me sentais mise à par. Donc, je me suis mise à reculer vers la sortie, malheureusement se fut un succès ;

- Qui est cette jeune femme? Dit un grand homme en me bloquant la route

- Elle est ma femme! S'exclama Édouard fièrement

- Je... Je suis... Je suis avec lui! Répondis-je en tenant la main d'Edouard

Le grand homme qui, je devina, était le père de mon amant, s'est mis à m'examiner avec un regard soucieux, tout en s'approchant. Ce qui m'a fait reculer d'un autre côté, et d'un coup, je tomba dans le vide.

J'étais pleine de sueur quand je me suis réveillée. Je me suis mise à regarder autour de moi. J'étais non près de l'endroit que nous étions, mais bel et bien chez moi, dans ma belle île tranquille.

- Mais arrête de bouger mon ange, je montre à notre fille comment faire une tresse avec tes cheveux! Me cria doucement Édouard en tenant une des tresses dans mes cheveux

- Oui Maman, il en a fait une belle en plus!

Curieusement, en découvrant que j'avais été dans un rêve, je les écouta en me remettant dans ma position sur mon lit. Édouard, remarquant que je m'étais mal réveilla, se mit face à moi à l'envers. Pendant que ma petite Isabella essayait de tressé le restant de mes cheveux, tout comme son père.

- A quoi as-tu rêver? Ça semblait intense quand tu dormais

- Que veux-tu dire par intense? Demandai-je en riant

- Quelque chose qui se passe quand les enfants ne sont pas là...

Il se mit à rire un petit moment avec moi, pour ensuite enlever mes mèches de cheveux qui étaient sur mon visage. Il se rapprocha de moi, pour me donner un délicat baiser sur mes lèvres;

- Mais sérieusement à quoi tu rêvais Maria?

- Tes parents...

- Tu en reviens toujours pas de les avoir rencontrés en?

- Je ne suis pas habituée à avoir une vraie famille, ça doit être pour sa...

- Alors, les petits monstre que nous sommes en train d'élever ne sont pas réels?

- De quoi les petits monstre Papa?

Suite à cette petite voix d'un petit homme, Édouard et moi avons regardé notre fil qui était sur le haut de l'échelle, avec son beau perroquet bleu cyan sur l'épaule.

- Vous êtes les petits monstre favoris de la famille Lorenzo!

Je ne pu m'empêcher de rire à la crédibilité des mots de leur père.

- Viens nous voir Jake! Dis-je

Et à fur et à mesure qu'il s'approcha de nous, un câlin avec 3 paires de bras se forma ;

- Moi aussi je veux faire partie du câlin! Dit la fillette exclus

- On abandonne personne ici! Exclama son père en la prenant

Évidement que nous étions une belle petite famille, mais, contrairement à plusieurs hiérarchies normaux. Nous étions des écumeurs des océans qui avaient traversée des millions d'aventures extraordinaire avec plusieurs équipages. Et, nous étions constitués d'une origine britannique et d'une autre italienne. J'espère qu'un jour, mes enfants auront une vie, moins bouleversée que la mienne bien sûr, mais une vie remplie de péripéties merveilleuses, comme j'ai eu avec mon amant. 

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Une vie à la Molson [Des pirates de la piraterie]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant