Une vie à la Molson [Des pirates de la piraterie]

Chapitre 20

Finalement, arrivée à l'endroit que j'attendais tant, déjà descendu du navire je voulu presque me mettre à genoux par terre afin de pouvoir sentir le sable de cette fameuse île du repos, dont la superficie débordait l'espace. Édouard était sous le choc quand il fut impressionné par la vue, qui était constituée d'un petit village de pirate, avec des auberges, des maisons et même des tavernes remplis à craquer, des arbres à la grandeur et à la grosseur irréaliste dont ils émergeaient des milliers de ton de verts dans leurs feuilles, les montagnes dont plusieurs frères de la côtes, habitaient une résidences dans la jungles, qu'ils avaient construisent eux-mêmes, tout comme moi.

Une fois revenue sur terre, je montra à Édouard l'hôtel de l'île où il allait s'héberger pour les prochains mois. Puis, je partis vers mon territoire où je m'étais construit une majestueuse cabane en bois, accrochée à deux massifs tronc d'arbres. Au dessus de ma demeure j'avais construit un observatoire d'étoile, qu'on pouvait comparer à un radeau ensevelis de feuille d'arbustes géants, assez solide pour au moins contenir trois personnes, je ne voulais pas manquer d'espace. Plus pour ne pas me sentir seule j'eu même le temps de construire une mangeoire pour perroquet à la hauteur de ma forteresse et une plaquette pour des iguanes à l'entour d'un des deux arbres. Tous les bois tropicaux que j'ai dû coupé m'ont permis d'avoir un grand espace pour étendre un peu le sable du rebord de la magnifique chute d'eau pâle fraîche qui coulait des gigantesques rochers qu'on doit se craque le cou pour apercevoir le bout.

Je commença ma route vers mon repaire en avançant dans la jungle quand Esteban m'arrêta.

- Comment est-ce que nous allons faire pour te contacter quand le navire sera réparé Maria? Nous avions dû attendre trois jours avant que tu te rendes au marché public pour te dire que nous partions la dernière fois...

Je m'étais construit un territoire oui, mais son emplacement était inconnu. Je comprenais le traqua d'Esteban. En regarda la jungle qui nous entourait, je me souvenu que je nourrissais les perroquets ;

- Donne un papier à un perroquets puis, dis lui biscuit miam miam. dis-je

- Biscuit miam miam?

- Écoute s'est peut-être niaiseux mais ça marche

-D'accord

Il riait de ce que je lui avais dis. Quand il se calma nous avons fait notre poignée de mains et nous sommes partie chacun dans notre direction.

Après au moins deux heures de marche à pied, j'étais enfin arrivée à mon endroit préféré sur la planète. Je regarda voir le nombre d'iguanes qui étaient dessus la planche. J'eu le double que quand j'étais partie. Je monta le cordage que j'avais accroché pour me rendre dans ma cabane. Tout était en ordre comme je le savais, mon lit plié, mon armoire fermé, les cadre et les lampes droites. Je déposa mon sac sur le plancher solide, puis je me suis déshabillée pour enfin me laver avec de l'eau fraîche et propre.

Tant de temps que j'avais attendu pour sentir la douce chute sur ma peau. Les bruits de cette nature fascinante occupaient mes oreilles. Mais aussi tranquille que je pensais être, quelques temps plus tard, j'entendis que quelqu'un se dirigeait vers moi à travers l'eau.