Chapitre 16

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Carlos l'avait mis sur le lit et, en voir l'allure, l'homme pris les draps par lui même après d'être autant sonnée. Je décida de me mettre sur des chaises qui était à côté de l'armoire, pour pouvoir attendre son réveille. À force d'être assise et à rien faire, je me suis mise l'observer. Cet homme avait des cheveux noirs qu'il avait attaché, il était d'une couleur de peau un plus bronzé que la mienne. L'homme avait seulement une mini barbe très coupée sur son visage. Aussi, il était vêtu d'une veste sans manche bleu marin, d'une chemise grisâtre et je remarqua qu'il avait deux colliers, des bijoux familiaux j'imagine. L'un était une croix et l'autre on aurait dit une petite chaîne avec trois billes au centre. J'étais certaine de mon analyse de lui, il était italien pur. Puis avec le temps, le sommeil m'a rattraper aussi. Donc, je m'endormi sur la chaise les genoux entre mes bras.

Quelques heures plus tard, je me réveilla par un sursaut. Probablement d'un cris de peur que l'homme a fait en me voyant, je ne sais pas. Mais quand je leva mes yeux, je vis l'homme qui se tenait dans le coin opposé de la chambre.

Vus de son regard, je pouvais voir qu'il y avait beaucoup de questions qui tournoyaient dans sa tête. Je pris un respiration et je me leva de la chaise tranquillement tout en mettant mes mains en l'air pour lui faire signe que je ne vais rien faire. Et comparé à ce que le Capitaine m'a fait il y a presque deux ans, je me suis dit de répondre à toute les questions qui allaient me poser.

- Où suis-je? Me demanda l'homme

- Tu es dans la Machiavélique

Qui es-tu?

- Je m'appelle Maria Molson... Comment est-ce que tu appelles toi?

Après que j'aille dit mon nom, il sembla plus rassurée de ma présence. Je mis un pas en avant vers lui pour m'avancer un peu et il sortit de son coin.

- Je suis Edouard

- Edouard seulement?

- Lorenzo

Je mis mes bras croisé et je lui souris;

- Mes doutes disaient vrai, je pense que tu es Italien de nature

Je pense que l'homme avait plus confiance en moi, parce qu'il décida d'avancer vers moi. Je ne pensais pas qu'il était aussi grand, moins grand que le Capitaine effectivement. Puis, il commença à me regarder pour avoir l'air plus menaçant. Je me suis mise à hausser les sourcils;

- Qu'est ce que tu veux de moi? me questionna-t-il

- Certainement pas ta mort...

- Ma mort?

- Le Capitaine voulait te tuer hier

- Me tuer? Mais pourquoi? Qu'est que je fais faire maintenant?

Il me pris les épaules et Édouard à débuter à me brasser pendant qu'il me posa toutes ces questions. Je l'arrêta en lui tapant la main qui était accroché sur moi.

- T'inquiète, si tu ne t'enfuis pas tu va être correct... dis-je

Il me lâcha d'un coup.

- En faite, vous êtes qui vous?

- Nous sommes des pirates mon cher

- Des pirates?

Et d'un coup, on aurait dit qu'une boule d'émotion avait remplis son cerveau. Il passa de frapper à un murs jusqu'à être en dépression en bonhomme par terre. Il fit une petite crise, et pendant je me demandais si je devrais peut-être le laisser tranquille quelques instants. Finalement quand il reprit ses esprits, il revenu où quand il m'avait brassé.

- Donc, vous n'allez pas me tuer si je ne m'enfuis pas? Me demanda Édouard

- Exactement

- Et je fais quoi maintenant moi?

- Tu m'aides...

- Je t'aide?

- Oui

Il me regarda confus. Mais d'un instant, il eut un mal de tête intense. Je pouvais sentir qu'il avait une énorme douleur, et je savais que c'était celle de la poêle qui à heurté. Je le dirigea vers le lit pour qu'il puisse s'asseoir.

- Pourquoi est-ce que j'ai si mal à la tête

- C'est un mystère... faudrait que tu te repose maintenant Édouard

J'ai jugé qu'il serait préférable d'attendre qu'il se remettre de son choc, avant de lui dire qu'il s'est auto frappé avec un instrument de cuisine. Avec le temps que j'ai passé avec lui, je décida d'aller voir c'était quoi maintenant les plans pour le navire.

- Je reviens d'ici pas longtemps...

- Tu vas où? Ne me laisse pas seul ici là... Me demanda t-il curieusement

- Je reviens bientôt

Je lui souris avant de partir de la chambre. Au moins, il n'a pas voulu me tuer, c'est ça le positif. Malgré qu'il est un peu bizarre quand même. 

Une vie à la Molson [Des pirates de la piraterie]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant