Chapitre 25

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Édouard et moi, avions décidé de rester à bord pour compléter une démarche meilleure que celle de Tom. Nous étions dans le bureaux tous les deux. Édouard était assis sur une chaise en train de me regarder. Je me frustrais moi-même parce que je n'arrivais pas à trouver un meilleur plan que mon adversaire. Mon amant, relaxant tranquillement, remarqua que j'en devenais presque folle ;

- Maria...

- Quoi? Tu vois pas j'essaie de trouver un moyen pour avoir moins de mort!

- Viens me voir mon ange...

Je me tourna vers lui et j'étais toujours appuyer sur la table où le plan était étiré. Je me demandais pourquoi il m'a demandé ça. Il leva son bras pour mettre sa main vers ma direction. Édouard a dû attendre un petit temps de réflexion avant que je me décolla du plan pour qu'il puisse sentir ma main dans celle qui tendait.

- Ce n'était pas si difficile que ça... N'est ce pas?

Il me fit asseoir sur lui en me souriant, son magnifique visage me fit déconcentrer de ma tâche. Je mis un de mes bras sur une de ces épaules, ce qui ne semblait pas le déranger ;

- Qu'est ce que tu veux maintenant que je suis venue? Lui demandai-je

- Un baiser?

- Tu veux un baiser toi? Dis-je en riant

Puis, de nulle part, une dizaine de personne entra dans le bureaux en défonçant la porte. Les hommes nous séparèrent violemment et nous ont amenés dans un autre navire. Édouard et moi comprenions rien de ce qui se passait. Mais, nous nous sommes débattus, je bougeais tellement que deux hommes m'ont attaché les mains derrière mon dos et un m'a lever dans les airs, pour me mettre sur ces épaule. Je vu qu'Edouard lui, il était rendu par terre avec près de 5 hommes essayant de le mépriser. Il remarqua que qu'ils m'avaient eu ;

- MARIA! Me cria Édouard

Un des hommes prit son inattention pour lui frapper la tête, décidément le conscient intellectuel est son point faible. Ils l'ont traîné pour l'attaché sur le plus grand mâté. Je ne pu voir la suite parce que l'homme qui me tenait m'emmena au centre de commande où un Corsaire m'attendait, une tasse de thé à la main.

- Enfin que je rencontre cette fameuse Maria Molson. Puis-je te servir quelques choses?

Je recula de deux pas mais je fonça à dos dans l'homme qui me tenait. Je préférais malgré tout d'être éloigné du Corsaire, qui m'inspirait aucunement confiance. Espérant que je coopères, il me parla de son aventure pour se rendre jusqu'à moi ;

- Et pour tout ça tu devrais remercier mon cher ami, Le Lieutenant-Colonel Murray

- Tout le mérite ne revient pas seulement à moi Nicolas. Dit un homme rentrant dans la salle

Je commença à avoir un mal au coeur quand je reconnu la personne. 

Une vie à la Molson [Des pirates de la piraterie]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant