Une vie à la Molson [Des pirates de la piraterie]

Chapitre 19

Près d'un mois s'était écoulé depuis notre départ de Gênes, nous pouvions maintenant presque vivre avec la fraîcheur de l'océan. Le reflet des étoiles sur les vagues pendant la nuit nous donnaient tous une route à prendre, suivant les cartes bien sûr. Partout quand nous rencontrions des bateaux, soit de cargaison ou de marins, en tant pirates, le Capitaine ordonna qu'ils soient coulés. Donc, aussi sauvages que reconnus, nous, les écumeurs de mer attaquons sans pitié, sauf moi et Edouard.

Puis pendant une bataille d'un navire en direction vers les Amériques. Les pirates furent les résistants des prisonniers et ils les ont jetés dans les cachots au sous-sol. Je ne me promène pas souvent dans ce quartier du bateau, je ne veux pas trouver une araignée géante ou un monstre tout aussi horrible. Mais cette fois-ci, je vaincu ma peur, parce que curieusement le bateau qui était sous l'emprise abritent des anglais, je me demandais bien si je les connaissais.

Rendu en bas, avec l'accompagnement d'Édouard, pour lui faire explorer le bateau, je regarda les hommes captifs derrière les barreaux. Comme je l'avais prédis mentalement, j'aperçu aucuns contactes. Donc, nous nous sommes mis en route pour remonter dans la marches, étrangement un détentionnaire nous arrêta par sa voix.

- Maria... Est-ce bien toi?

Édouard suspect se tourna vers l'homme qui avait parlé. Étonnamment je marcha vers le bramement ;

- En chair et en os? dis-je

- C'est moi Harry

- Harry?

Je regarda Édouard, et je grattais dans mes plus profondes réserves de mon cerveau pour trouver quelqu'un qui s'appelle Harry. J'eu aucunes réponse jusqu'à se que mon coéquipier hausse les épaules.

- Harry... Mais ça fait mille ans! m'exclame-je

- Toute l'équipe t'a cherchée depuis que tu as disparue tu sais

- Me chercher? Pour quoi faire? Quoi?

Après d'avoir couper contacte avec mon ancienne équipe, beaucoup de question se formèrent dans ma tête. Je devenais confuse à l'idée qu'ils me cherchaient, s'est impossible parce que Tom lui même m'a virée de l'armée. Édouard, en apprenant que je savais à qui je parlais, se créait plus de mystère que moi.

- Et tu es devenue une pirate aussi?

- Tu es devenu un marin toi?

- Ah non, c'est juste temporaire. Si seulement Tom savait que tu es rendu à bord de la Machiavélique, il en deviendrait fou.

J'eu un mal de coeur quand Harry nomma son nom, après tant de temps.

- Qui est ce cher Tom? Demanda Édouard curieux

Le prisonnier se mit à analyser l'homme qui m'accompagnait en se penchant sur les barrières ;

- Je vois que tu l'as remplacé aussi, avec tout ce temps. Il pleure encore pour toi tu sais?

Avec ces derniers mots encore une fois de plus, j'étais presque en sanglot. Pour une dernière fois, je regarda Harry, pensa à comment il était devenu bête.

- Qu'il continue à pleurer pour moi alors. J'ai pu rien à perdre avec lui! Dis-je

Harry me fit un regard menaçant suite à ma réponse ;

- Tu vas le regretter d'avoir dit ça à son sujet Maria, il est devenu deux fois plus fort qu'avant

- Ok, mais c'est qui qu'est présentement en train de le représenter et qui est dans un cachot?

- Il s'est fait gradé plus haut, après que t'ailles décider de t'enfuir

- J'ai décidé de partir, j'ai passé 5 années entière avec vous pour finalement décider de m'enfuir?

- Alors pourquoi pleure-t-il autant pendant les nuits? Ce n'est pas comme si il allait de virer!

- Et si il a osé?

Une cacophonie de cris se faisaient entendre dans le dernier étage du navire se faisait entendre. Contrairement à la dernière fois, au lieu des pleurs, j'eu une haine, une colère, une rage, contre Harry. Autrefois, un ami qui m'encourageait mutuellement, maintenant il était juste rendu un ennemi inconnu comme un autre sous mes yeux de pirates. Évidemment, avec la pagaille qui commençait Édouard me prit dans ses bras pour m'emmener dans ma chambre. Sans son intervention, je pense que le captif à qui je parlais serait mort.

Je n'avais pas apprécier le geste d'Édouard cette soirée là. Sachant que j'avais le coeur sensible au dénommé Tom, il me posa guère de question pendant les prochains jours qui suivaient. Il me vue, pour la première fois et pour plusieurs fois de suite, pleurer silencieusement pendant que je travaillais avec lui.

Comme tous prisonniers des pirates, le Capitaine décida de vendre les hommes à travers l'Amérique du Sud, avant que nous nous rendions dans nos îles. Je fus soulager un peu quand j'eu la nouvelle qu'un des prisonniers s'échappa du port. Malgré que j'appréciais moins Harry qu'avant, je lui souhaitais pas un restant de vie malheureux.