Chapitre 17

10 1 0
                                    

Je sortis de la chambre et je vis Carlos qu'attendait à côté de la porte. Surprise je lui demanda;

- Qu'est ce que tu veux Carlos

- Cet homme m'inspire pas confiance Maria

- D'accord

Suite à ma réponse, il me tourna vers le murs et il me tenait avec ces bras. Le problème s'était que Carlos avait commencé à avoir des sentiments pour moi. Mais moi, je n'en ressentais aucuns. Plusieurs fois j'avais essayé de lui dire. Mais comme homme déterminé, il veut toujours essayer.

- S'il te plaît laisse moi partir Carlos

- Pas si tu me donne un petit baiser ma belle

Ma réaction fut de ne rien dire. Je tourna la tête pour le regarder ;

- Non... Bel essaie par contre... dis-je

- Pourquoi est ce que tu refuse Maria

- Tu le sais déjà pourquoi

Je poussa son bras pour que je puisse passer. Je me suis mise à marcher pour aller vers le pont plus rapidement. Quand je l'ai atteint, je vis que le Capitaine inspectait la coque du navire avec Esteban à partir du port. Je me suis mise sur le bord pour qu'ils puissent me voir afin que je puisse m'adresser à eux ;

- Capitaine! cria-je

Après, il se tourna la tête pour voir qui l'avait appelé. Quand le Capitaine a su que c'était moi, il me fit un signe avec sa main pour que j'aille les voir. Décidément, le principale moyens de communication du Capitaine était les signes. Donc en courant, je me rendis à leur position. Ils discutaient de quoi allaient-ils faire maintenant que le navire n'était plus en état de naviguer dessus l'eau. Puis, les deux se sont tournés vers moi

- Maria, c'était quoi ton prochain plan? me demanda le Capitaine. 

- Pour l'instant c'était de retourner aux Caraïbes pour attendre que les Britanniques découvrent que c'est nous qui avons osés attaquer leurs meilleurs vaisseaux. répondis-je. 

- Donc, c'était de prendre un temps de repos? s'exclama Esteban confus. 

- Ouin...

Puis, les deux hommes ont commencés à se regarder, pour savoir s'ils pensaient de la même chose. Je pense que oui, parce qu'ils se sont fait un mouvement de tête en haussant leurs sourcils.

- La Machiavélique survivra pour ce voyage, la fissures n'est pas si grave que ça... me cria Esteban sans inquiétude. 

- Parfait, s'exclama le Capitaine content. 

- Alors? demandai-je discrètement

- Nous allons chez nous! me dit-il. 

Malgré les dommages sur le bateau, nous avons réussis à partir sans aucun problème sur les océans. De temps en temps j'alla voir Edouard, comment il allait. Il semblait de plus en plus à m'apprécier, et moi aussi. Je jugeais qu'il était plus simple de le laisser dans sa chambre pour un bon bout, mais il avait le droit de sortir. Je ne pense pas qu'il a vraiment osé le faire. Je lui ai parlé de mes croquis d'armes qu'ils va falloir réaliser rendu aux Caraïbes, dans ma demeure. Il avait l'air de très bien comprendre la tâche.

Un beau jour, j'étais dans ma chambre, dans le bateau. J'ai dis un beau jour, mais il faudrait dire un beau matin plutôt parce qu'il faisait encore sombre dehors. Je m'étais réveillée mal à l'aise, je rêvais du jour que Tom m'avait renvoyé. Même après deux années entières, cette journée là me hante dans ma tête. Toute les fois que j'y pense, des larmes se versent sur mes joues. J'arrive pas à croire qu'après 5 années d'avoir été amoureuse de lui, il aille pu me dire des conneries pareilles. Que la seule bonne vie que j'ai faite de mon existence s'arrête suite à une seule erreur.

Puis, j'entendis mon nom crier dehors. Je me leva du lit pour pouvoir me rendre sur le pont. C'était Lucien qui m'appelait pour que je puisse monter avec lui dessus le plus grand mât, pour attacher la voile réparé. Lui et moi étions les deux personnes qui n'avaient pas peur des effrayantes hauteurs. J'ai essuyé mes yeux roses de pleurs pendant que je marchais. Quand Lucien m'a vu, je savais qu'il se posait beaucoup de question dans sa tête, mais il décida de rester tranquille et de continuer comme si rien n'était. Ce qui m'a beaucoup aidé à me concentrer.

Nous nous sommes mis à grimper, et rendu en haut. Nous avons attrapés la mince couverture tissée que les matelots nous avaient lancée. Je me suis mise à prendre les deux petites ficelles qui pendaient pour les attachée dans une des anneaux qui était percée sur le rebord.

Après toute qu'une complicité de doigts, quand j'eus fini, je remarqua que Lucien était toujours en train de démêler ces fils. Ensuite, je me suis mise à regarder l'océan, les belles vagues qui se formaient, pendant que j'étais dessus le bras gauche du mât. La magnifique vue que je contemplais m'a fait un signe que finalement je n'avais pas une vie si misérable que ça en étant une pirate. 

Une vie à la Molson [Des pirates de la piraterie]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant