Chapitre 23

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Enfin arrivée au village, je vis que Giselle faisait ses courses elle aussi. Giselle était la femme du Capitaine. Sympathique comme tout, elle m'a beaucoup aidée pour mes vêtements. Elle et le Capitaine habite à côté du magasin général de l'île, donc ils connaissent tous les spéciaux. Je montra la liste des achats à Édouard, lui confus du fait que de dessinais les aliments au lieu d'écrire leurs noms. Mais, il accepta le fait comme qu'il soit.

Nous avons acheter une bouteille de rhum, pour celui qui cohabitait avec moi, parce qu'il a commencé à avoir une dent sucrée pour ce liquide alcoolique. Suivi de quelques fruits, très gros, parce que c'était leurs saisons. Et de la viande, du poulet, de la vache et du poisson. Une fois le tout rassemblé, nous nous sommes mis en route pour partir mais, quelqu'un se mit à travers de notre route. Carlos avait bousculé l'épaule d'Édouard, qui échappa un sac remplis d'oranges par terre ;

- Hey, fais attention un peu! Cria Édouard

- Tu étais dans mon chemin je te rappelle

- Pardon?

Édouard déposa délicatement sa cargaison par terre. Pour ensuite, aller confronter Carlos. Rien qui aille je me rapproche d'Édouard en lui faisant des mouvements verticales avec ma tête pour lui donner un signal que c'était une très mauvaise idée se qu'il faisait. Même en me regardant, il continua ;

- Répète ce que tu as dit

Carlos, comprenant qu'Edouard habitait dans ma demeure et qu'il était rendu mon amant, décida de commencer une bataille ;

- Maintenant je vois qui que Maria a choisi entre nous deux. Dit Carlos mécontentement

- Ouin et c'est pas toi mon ami

Je me mis entre les deux hommes, en les séparant avec mes bras ;

- Les gars arrêter! M'exclamai-je

En plus de la foule d'écumeurs qui nous entourait, Édouard ne m'écoutait guère, il me mis sur le côté afin de m'empêcher d'intervenir. Les coups de poings n'ont pas pris longs à venir par la suite. Je fus surprise que l'homme que j'aimais avait des techniques de défenses et d'attaques dans ces poches de connaissances, surtout depuis qu'il s'est frappé avec une poêle. La bataille accompagnée d'effet sonore émis par ces spectateur, ne faisait que s'empirer. Encore une autre fois, j'ai réessayer de les arrêter, et j'eu presque un coup dans mon visage mais avec mon réflexion j'eu le temps de l'en empêcher.

Quelques minutes plus tard, Esteban et Lucien avaient mis les deux bataillons par terre afin de cesser le combat. La foule disparue à cause du peu d'action qui suivait. Le Capitaine arriva furieux à l'idée que Carlos, son second qui était responsable autrefois, avait commencé une bataille de rue avec mon homme.

- Maria... Édouard et toi pouvez partir, je m'occupe du reste. Me dit le Capitaine les bras croisés

- D'accord... Merci mon Capitaine

Nous nous sommes dépêcher à marcher pour se rendre plus rapidement dans la cabane. Édouard coulait du sang de son nez, il a reçu quand même un gros coup pendant le combat. Une fois arrivé sur place, nous avons déposé la viande derrière les chutes parce que entre l'eau qui coulait et les roches géantes, il y avait du courant frais. Puis, nous nous sommes rendu dans ma cabane pour passer au soin. Je nettoya le visage d'Édouard avec acuité, malgré sa perte, il sembla heureux que j'ai essayé de le protéger.

Puis, une fois fini, il m'embrassa doucement les lèvres. Après notre passionnant baisé, il me prit dans ses bras pour me lever. Je me frotta les joues avec tendresse avec une de mes mains.

- Je t'aime Édouard Lorenzo

Il dégagea un petit sourire ;

- Je t'aime aussi ma belle Maria Molson 

Une vie à la Molson [Des pirates de la piraterie]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant