Une vie à la Molson [Des pirates de la piraterie]

Chapitre 15

Je devenue une pirate qui faisait parti dans l'un des bateaux les plus sanguinaires de l'histoire, mais puisque que j'étais dans l'armée britannique autrefois, j'avais encore les gênes d'avoir de la sympathie pour les innocents. Je ne sais pas pour quelle raison, mais je ne voulais pas que cet homme meurt pour s'être introduit sur notre bateau. Je me sentais mal de rester là à attendre que son sort. J'ai donc fait la seule chose que j'était capable de faire, penser. Je croisa mes bras et je commença à marcher en rond sur moi même pendant plusieurs minutes. Puis, une idée m'est venue en tête. Surement pas la meilleure, mais pour épargner sa vie, peut-être.

J'avais remarqué que le Capitaine me regarda pendant que je pensais. Je sentait qu'il savait que je ne voulais pas que l'inconnu se fasse jeter à l'eau.
- Aller explique-moi à qui tu penses Maria ; je sais que tu ne veux pas sa mort, me dit-il. 

Je leva les yeux pour lui faire signe qu'il avait raison.
- Il faut que tu ailles un sacré bon point si tu veux qu'il reste avec nous, ajouta-t-il.

Il s'assit sur sa chaise de bureau avec un verre de rhum dans sa main.
- J'ai besoin d'aide pour construire mes armes. 
- On a une centaine de matelots à bord Maria.
- Je sais mais. 
- Mais?
- Il me faut de l'aide d'un homme qui n'occupe pas de poste sur le bateau

Il prit une gorgée et il gratta sa barbe...
- CARLOS! cria le Capitaine.

Puis je me tourna vers le pont et j'entendis une voix :
- Oui mon Capitaine? 
- Va le mettre dans une chambre, Maria va s'occuper de lui.

Je me tourna vers le Capitaine pour savoir ce qu'il voulait dire par là. Il me fit un signe de me rapprocher :
- Il se sauve, on va le retrouver et il va mourir pour de bon, compris?
- Compris mon Capitaine.
- Allez,  va l'aider pour sa tête, il va avoir une grosse migraine demain.

Il me fit signe que je pouvais quitter son bureau. Donc, je me rendis, toute joyeuse à l'idée que j'avais réussi, vers la chambre dès l'inconnu se trouvait. Reste à savoir,  ce que
j'allais faire maintenant...