Chapitre 2

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Des années furent écoulées suite à cette mission. Nous avons développé un meilleur entourage depuis ce temps. Des hommes, Williams, Adams, Damian et Harry furent envoyés pour nous aider. Tom et moi avons développé une relation ensemble pendant tous ces mois. Il commença de plus en plus à devenir gentil à mon égard. Il passa de plus en plus de temps avec moi, à écouter mes récits de jeunesses et à écouter ce que j'aime. C'était la première fois que je m'ouvrais à une personne autre que mon cousin. Tom aimait beaucoup le fait que je n'avais pas beaucoup de gêne avec lui. Tous les deux, nous avons commencé à s'aimer réellement. Toutes les minutes qu'on passait ensemble étaient toujours les meilleures de nos dures journées.

Cependant, après que je fus sortie de mon dernier travail attribué, je remarqua que Tom n'était pas dans son assiette. Je me dirigea vers lui. Je n'avais même pas pris la peine d'enlever mon manteau et mes bottes avant d'entrer dans la maison. Il commença à me regarde tristement  - -

 - Qu'est ce qui se passe Commandant?

 - Regarde par toi même ma chérie.

Il me montra une lettre ouverte :

"Cher Commandant Thomas Murray,

Au nom du gouvernement militaire britannique nous vous envoyons une lettre pour vous informer que l'élite britannique décide de vous envoyer en Italie à Venise pour faire des vérifications de navires.Vous semblez être l'acte à faire le meilleur travail.

Merci de votre compréhension."

Il avait les larmes aux yeux. J'ai enlevé mon manteau crasseux pour pouvoir le serrer dans mes bras.

 - Tout va bien aller... Tu vas juste aller en Italie c'est tout.

Il me serra fort dans ses bras et embrassa mon front tout en pleurant.

 - Mais je ne vais pas pouvoir te voir là-bas... Dit-il d'un ton triste

Jamais je n'avais vue un homme pleurer. Surtout verser des larmes pour un si petit problème. Je me sentais triste qu'il pleure alors j'ai essayé de le consoler.

 - Tu peux sûrement arranger quelque chose Tom.

Je ne pense pas, je ne suis qu'un commandant

C'est vrai qu'il était juste un commandant ; je pris un temps de réflexion avant de lui répondre. Il faut bien répondre logiquement dans la vie. Soudain, l'idée du siècle.

 - À quoi penses-tu ma puce?

 - J'ai une idée!

 - Je le vois bien que tu as une idée... raconte...

 - As-tu un papier blanc?

Il me regarda avec un petit sourire qui se formait sur le bord de ces lèvres. 

Une vie à la Molson [Des pirates de la piraterie]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant