Anna
Arrivé chez moi je retire mes chaussures, et déboutonna ma veste puis me dirigea dans la cuisine, j'ouvre les tiroirs et vois des fruits. Des fruits qui mange des fruits au goûter ?
— C'est sa que vous chercher ?dit Marie en agitant le paquet devant mon nez.
Marie et notre servante depuis longtemps, elle m'a même changé les couches. Elle a la cinquantaine, elle et assez petite les cheveux blancs les yeux marron, avec des trait tirée par les années.
— Vous savait très bien que vos parents ne veulent pas que vous manger ses cochonneries ?
— Mais il sont pas là, je ne dirai rien promis Marie,l'implorèrent en joignant mes mains.
Elle posa le paquet sur la table et repartit à ses occupations. Elle n'arrive jamais à me dire non, grâce à ma bouille ? Je sais pas mais j'en joue beaucoup. Je pris un autre gâteau, je me demande comment je vais m'habiller ce soir, un jean ? Une robe moulante ?
— Et bien papa et maman vont être content d'apprendre que tu mange de la merde,dit ma sœur aînée.
— Ah bonjour Marie tenais prenez ma valise,intervient ma mère.
Je prend d'un geste rapide la boîte de gâteau, et la cacha derrière mon dos. A vrai dire je le fait pour Marie il vont s'en prendre à elle, car c'est elle qui avait la tâche de tous remplacer en fruits.
— Oh Lucie chéri tu et rentrée ?S'écriant ma mère en la serrant dans ces bras.
Je profita de leur étreinte pour jeter la boîte à la poubelle. Ma mère ne m'avait même pas vus, sa ne m'étonne pas je suis pas dans les critère de bonne riche qui son coincé du cul, non moi je suis pas ceux genre de fille que mes parents voudront, il son déjà Lucie qu'il s'estime heureux. Et pour eux je suis responsable de la mort de mon frère. Je me gratta la gorge pour montrer ma présence.
— Anna je t'avais pas vus,s'étonna ma mère en me fessant une bise. Sans déconner ?
J'en profita pour lui demander si je pouvais sortir ce soir, comme d'habitude elle accepta des fois j'aimerais qu'elle dise non juste pour me prouver quel tient à moi, mais apparemment c'est pas sur son emploi du temps.
Après quelques phrases échangées, je m'éclipse dans ma chambre. Je commence à fouiller dans mon dressing à la recherche d'une tenue à me mettre. Après 1h d'essais j'ai opté pour une combishort noir. Je me maquille légèrement, quand mon téléphone sonna je le chercha partout, ah il et là c'est un message de Eynéko.
— Je suis devant chez toi dans 30 minutes.
— Dacc.
Il faut que j'aille manger maintenant. Je regarda ma montre en débarrassent mon assiette Eynéko ne devais pas tarder. Je prie mon téléphone de la table, et mis mes chaussures puis sortie.
— Ou lou lou une bombe latine,s'écria mon acolyte. Je pus m'empêcher de rire.
— Merci au faite il t'a donner l'adresse ?lui demande ai-je.
Il me répondu que oui, c'était une villa comme la nôtre qu'elle était situé près du centre ville, et que les parents de Apollo était parti en vacances. Après 25 minutes nous arrivons à destination. Pendant que je descends de la voiture, j'entend que Eynéko paye le taxi. Au loin on pouvait déjà entendre la musique.
On suis un petit groupe de personnes, qui s'arrêta au cœur de fête. Des personnes était dans la piscine, d'autre était à l'intérieur de la demeure. Eynéko était devant moi il me parler de ses parents qui arrêter pas de s'inquiéter pour rien, et bien moi j'aimerais bien être a sa place, quand soudain je vis une main tiré sur son épaule.
— Ah bah vous êtes venu alors ça vous plait ?nous demanda Apollo.
— Oh tu ma fait peur,murmura Eynéko en se tenant le cœur du mauvais côté.
— T'es con ou quoi ? le cœur c'est à gauche,ne pu m'empêcher de dire. Sinon elle et cool ta soirée.
— Merci ma belle les boissons son a l'intérieur.
Je le remercie et parti à l'intérieur, laissant les deux loulou seul. Je ferai tous mon possible pour qu'il sorte ensemble. Eynéko a jamais eu de copain c'est une occasion en or ! il et mignon et virile comme il les aime. Arrivé à l'intérieur je me dirige vers le bar je me commande une vodka. La vodka c'est mmhh.
Je cherche des visages familiers mais je vis que Caleb, il était assis sur le canapé un verre à la main avec des filles autour. Faut que je fasse un plan pour m'approcher de lui, attends sa ceux trouve il a une copine ? Pas grave c'est parce que y'a un gardien de but qu'on peut pas marqué non ? Mon plan était près plus qu'à passé à l'acte.
Mon plan était simple, mais tellement cliché mais bon le ridicule ne tue pas ? si ? Enfin voilà le plan était pourtant simple j'arrive un peut trop vite et hop je renversa malencontreusement mon verre sur lui, cliché ? En le regardant je m'imagine tous les scénarios possibles. Bon arrête de retarder le moment et Go me répéta ma conscience.
Je m'avança en douceur. Je me pris dans une jambe imaginaire et tomba pas sur lui mais par terre. Et merde sa c'était pas dans le plan. J'étendis des rire d'un peut partout, je releva la tête et tout le monde avait les yeux braqué sur moi, même le principal concernait.
— QUOI ? VOUS VOULEZ MA PHOTO BANDE D'ABRUTIS ?crie ai-je.
Touts le monde était sous le choc, comment une fille aussi innocente en apparence avait pu dire sa. Petit à petit les gens repris leurs conversations comme si de rien ne c'était passer.
— Bah alors grande, on tiens pas sur ces jambes,dit Caleb en me tendent sa main.
Je refusa sa main et me leva, je parti en lui murmurant un « ta gueule » il avait rien dit de mal, mais quand je suis énervé il faut pas me parler, tous le monde et comme sa, non ? Après mon plan désastreux je recherche une salle de bain pour essuyé mes quelques taches.
Je monta à l'étage, des couples de partout il se fessait des bain de bouche salivaire berk. Arrivé à la salle de bain je commença à nettoyer ma combi, j'entendis la porte ce fermer et verrouiller je leva les yeux et vis Caleb les yeux noir de haine.
— Bah alors mon cochon tu t'es perdu ?lui demandai-je impassible.
Au fond de moi j'étais morte de peur, mais pour pas lui montrer je joue la carte de l'humour. Sauf que lui il s'approcha le visage neutre. Je vais mourir ?
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Et voilà je vous souhaite une bonne journée ou soirée ! ;)
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Alkaïd
Mystery / ThrillerUne bande d'amis,une université et un meurtre. Lorsque des étudiants issus de familles aisé se côtoient, les amitiés se fond rare. Qui et le traître ? - Bah alors ma grande on tiens plus sur ses jambes ? Comment ne pas avoir de soupçon ? Un couple...