Vengeance

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Anna

— Anna non reviens ! Il va me tuer si il apprend que je t'en n'est parler,me supplia Eynéko.

— Pourquoi il t'a fait ça ?

En guise de réponse il se contenta de baisser la tête, bon il se comporte comme un muet ok. Je monta dans le taxis et partie sans le regarder. J'indique au chauffeur le nom de la ruées l'université. Cette question me hante, pourquoi avoir étranglé Eynéko ? Enfin je veut dire, il ferait pas de mal à une mouche. Je me calme doucement. Il fallait que je venge mon acolyte et j'avais déjà ma petite idée.

Après quelques minutes j'étais devant Alkaïd. Je chercha du regard la moto de Caleb, quand je l'aperçu je m'avança vers elle. C'était un beau bébé. Dommage ma jolie, ton propriétaire a fait de la merde. Je sortie mon canif, que j'avais toujours sur moi au cas où. Je regarda au alentour, et planta la lame dans le pneu avec difficulté un léger sifflement d'air sorti, puis un gros pchhh en quelques secondes il était à plat. Je souriais sa t'apprendra petit con.

— ET TOI !

Je me retourna et vu le mec a la cicatrice, putin c'est le pote à Caleb. Sois je reste mais à mon avis ces intentions son mauvaise, sois je fuis. OK Anna décide toi il arrive ! Euhh et merde je sprinta à l'opposé de lui, je courrais de toute mes forces. Je regarda par dessus mon épaule il était sur mes traces. J'étais presque arrivé a la porte d'entrée, si j'arrive à la franchir je pourrais facilement le semer. Mes cheveux bouger dans tous les sens, mes pieds me brûler. J'était seulement à 2 mètres de la liberté, quand je senti un truc dur m'emmêler les pieds, mon corps bascula vers l'avant ma chute était inévitable. Le connard m'aviez fait un croche-patte.

Je me retrouvai par terre toute poussiéreuse, je senti qu'on m'attrapait par le sac pour me redressé.

— Tu croyais t'en sortir comme sa petite pute,ricana le cicatriser.

J'avais même pas la force de lui répondre, il me poussa vers l'avent sans lâcher mon sac. On traversa les couloirs sous les yeux choqués des étudiants, tu m'étonnes mon uniforme noir doit être à présent blanc. Au fond du corridor se trouver Adrien et Caleb assis sur les escaliers, il nous avait pas encore vus. Je tenta de me débattre sans succès. Le cicatriser me poussa sur eux.

— Regarder qui j'ai trouvé entrain de crevé t'es pneus Caleb.

— Alors déjà j'en et crevé qu'un sale poucave,ne pu me retenir.

Caleb se leva et serra les poing il me dominer de toute sa hauteur. J'essaye
de me débattre de l'emprise du cicatriser, mais il me tenait fermement. Adrien se mis devant moi et me demanda calmement.

— Pourquoi ta fait ça ?

— POURQUOI ? Il a un peut étrangler mon meilleur pote,je commencer a perdre patience.Et toi lâche moi merde,dit-je en m'agitant.

— Lâche la,ordonna Caleb.

Ouais voilà écoute ton maître sale chien, enfin dégagé de son emprise je rajusta ma chemise. Bon la je suis dans la merde clairement, j'ai était pris en flag. Caleb poussa Adrien d'un geste de main il me foudroya du regard, j'eu un mouvement de recule. Des frisson me parcouru le dos c'était la première fois que je voyer se regard noir plein de haine, si il avait des fusils a la place des yeux je serai déjà morte. Gêné et apeurer mon regard se réfugia sur sa veste.

— Tout va bien ici ?

Je tourne mon visage vers le son de la voix, j'eu un soulagement quand je vis le pion. Je regarda Caleb en sourirent, et ouais tu peux rien me faire.

— Oui on n'allait en cours,dit Adrien en prennent le bras de Caleb, qui aussitôt sent dégaga pour continuer de me fixer. Il avança sa bouche vers mon oreille, et chuchota d'une voix menaçante «J'en n'est pas fini avec toi » sur ses belle parole, il parti en me bousculant l'épaule.

Je sais pas quel vengeance me préparer t-il, mais sa ne présage rien de bon. Le reste de l'après-midi était plutôt calme, je pris mes affaires dans mon casier et sortie du bâtiment, je leva ma tête vers le ciel une légère brise me caresser le visage.

— Anna !

Je sursauta en me retournant, mon visage s'adoucit à la vue d'Adrien.

— T'inquiète pas, je vais parler à Caleb ça va s'arranger,me réconforta Adrien.

J'en doute. Tu sais pourquoi il a étranglé Eynéko toi ?

— On va faire un truc,il fouilla dans la poche de son jean et en sortie une pièce. Pile tu me donne ton numéro face je te le dit.

J'étais une fille plutôt joueuse. Il y avait rien n'a perdre, sauf mon numéro alors j'accepta. Il lança la pièce en l'air puis la rattrapa, et la retourna sur sa paume. Il regarda la pièce puis me fixa.

— Pile j'ai gagné !

Putin j'ai jamais de chance moi ! A contre cœur je sortie mon téléphone, et lui passa mon numéro en me remercient d'un ton ironique. Bon c'est pas très grave, j'aime bien Adrien il m'a jamais rien fait. Il parti, quelques mètre après il s'arrêta. Il se retourna et cria d'une voix joueur.

— La pièce était truqué ! Il y a pas de face !et parti en courant.

Quel enflure ! Non mais j'y crois pas, je viens vraiment de me faire avoir ? Quel conne j'aurais dû vérifier les deux face de la pièce. Je savais même pas que sa existait une pièce truqué, bien joué de sa part. Avec ou sans lui je saurais bien la vérité un jour. Je reçu un message de Adrien ah bah tiens.

— « J'espère que tu m'en voudras pas ;) »

Je décide de ne pas lui répondre, pour lui montrer mon mécontentement. Au fond je lui en voulais pas énormément, mais j'aime bien bouder les gens. Je parti en direction du parking, mon chauffeur mis attendais comme à chaque fois. Arrivé chez moi, comme convenu il y avait personne. Je mange un bout et parti me doucher, je me mis en pyjama et me réfugia dans mon lit, et tomba dans les bras de Morphée.

J'étais en route vers Alkaïd. Aujourd'hui j'ai commencé plus tard il était 10h30, j'envoie un message à Eynéko pour savoir si il comptait revenir. Quelques minutes après il me répondu qu'il avait encore mal à la gorge. Ok il reviendra pas aujourd'hui.

Arrivé a l'université, les étudiants me regarder en rigolant, ou avec des visage de dégoût. L'atmosphère était bizarre, je ne comprend pas pourquoi. Instinctivement je regarda ma tenue rien ne clocher. Je traversa le corridor, et m'arrête devant mon casier. Mon cœur rata un battement, je mis ma main sur mon visage choqué de l'image qui se trouver devant moi.

C'était moi avec Caleb, à l'arrière qui tenait mes cheveux, il y avait écrit «Anna en levrette » l'angle de l'image avait était retouché on me voyait pas vomir. J'arracha nerveusement la photo, et parti d'un pas pressé au toilettes. Je m'assieds sur une des toilettes, ma vision se troubla une perle tomba sur la photo. Je l'arracha en mille morceaux, je fut coupé par un message.

« La prochaine fois ma grande, évite de toucher à ma moto. »

AlkaïdOù les histoires vivent. Découvrez maintenant