Je t'aime bien

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Caleb

Je ne suis pas jaloux, mais possessif. Être jaloux c'est vouloir ce que les autres ont, être possessif c'est protéger ce qu'on a. Je ne sais pas quelle mouche m'avait piqué. Mais de la voir embrasser un autre mec que moi, m'avait poussé à l'embrasser. Peut-être pour lui prouver que je suis le meilleur. En tout cas c'était la première fois que j'avais réussi à lâcher prise, pourtant c'était pas la première fois que j'embrasse une nana. Je parti en direction de la table, pour rejoindre Adrien plus léger que jamais.

— Alors tu la niquer ? me demande Adrien.

— Tu crois vraiment que je nique en 5 minutes ?

Je le foudroyé du regard, quel abruti celui là. Il pense vraiment que je suis un puceau qui ne sait pas me retenir ?
Soudain un flash me réveilla, je pris sur moi pour ne pas me moquer.

— Attends mec, me dit pas que tu nique en 5 minutes ?

En signe d'approbation et de gène, il tourna sa tête fasse à ma question. Oh le puceau je suis mort, comment ne pas se foutre de sa gueule ? Je le verrai plus jamais de la même façon, il a bien fait de me le cacher.

— Bah pense à ta grand-mère, fasse à mes propres mots, je pus m'empêcher de céder à la moquerie.

Vexée fasse à mes éclats de rire, Adrien se leva et parti vers la sortie.

— Bah je sais pas moi,chuchotai-je.

A présent seul, je bus une gorgé de bourbon. Je surpris Anna courir après Nathan en criant de nombreuses excuses, il l'ignorait en prenant son manteaux. Nathan se dirigea vers la sortie, sous son regard impuissant. Elle resta fixe comme une plante verte. Je venais de découvrir un point en commun entre elle et moi. On venait de faire fuir nos potes. Peut-être à cause de notre caractère ? Ou sûrement que Nathan a pas du aimé le stratagème d'Anna, pour se venger de moi. A vrai dire je l'avais cherché, mais elle aussi. Quand j'y pense on n'avait un comportement assez spécial, on se détesté autant qu'on s'attirerait comme deux aimants.

Anna

Je reste là, le regard fixe vers la porte. Je m'étais excusé sous l'ignorance de Nathan, il était vexé et je le comprends. Je suis qu'une conne. Voilà que maintenant je me sert de mes amis, pour mes propres intérêt.

— Un de perdu un meilleur de retrouver,surgit une voix derrière moi.

Je me retourne et croise le regard intense de Caleb, ses yeux me scrute d'envie. Une envie qui déteint sur moi, une folle envie de retrouver ses lèvres me prend. J'ai chaud, très chaud. Ma vieille tu va te calme merde.

— Qui te dit que t'es le meilleure ? le provoquai-je.

— Je suis le fils de dieu,dit-il avec son sourire arrogant.

Le fils de dieu ? Non mais quel prétentieux ! Je rigole malgré moi, quel andouille. Une question demeurée toujours inconnue. J'ai toujours étais franche, alors je lui demanda sans gêne.

— Pourquoi un t'elle rapprochement ? Et pourquoi y'a étrangler Eynéko ?

Après que tu sois parti j'ai peter un câble. Je voulais en savoir plus sur toi j'ai demandé à Eynéko mais il a rien voulu me dire. Je me suis énervé il ma juste donner ton numéro,m'avoue t-il. J'ai compris un truc,dit-il sans quitté mes yeux.

Je leva la tête pour l'inciter à continuer. Il regarda ailleurs l'air intimidé. Caleb Intimidé ? Oh la il y a une couille quelques part. Je pris son menton pour l'obliger à me regarder. Je réprimandais mon geste fasse au regard glacial de Caleb. Je perdu patience, et commença à rebrousser le chemin.

— Je crois que.. tes mon déclic.

Sur ces mots, mon corps se figea. « Déclic » sa peut signifier pleins de chose, non ? Je me retourna, il s'avança vers moi.

— Je vais pas te dire je t'aime, mais je t'aime bien.

— D'accord. J'espère juste que tu t'excusera au près d'Eynéko.

Il hocha la tête. Je pus m'empêcher de glousser, il me pris la main et pris les devant. Avec son corps il crée un chemin vers la sortie. Je sais plus sur quelle pied danser. Je suis perdu. J'ai toujours refoulé mes sentiments, mais il et peut-être temps de les accepter ? Il et largement plus courageux que moi, il a du prendre énormément sur lui pour me dire « je t'aime bien ». Arrivé dehors, Caleb me lâcha la main pour prendre une clope. Quand la flamme du briquet scintilla sur le bout de sa clope, ses yeux noir ressortez cela ne me fessait pas peur au contraire. Ce soir j'étais d'humeur joueuse, pour le tester je lui demanda une clope.

— J'en veux une, lui dis-je en tendant mon bras.

— Et ma main dans t'a gueule.

Ok au moins je serai qu'il et contre. Un boucan pas possible ce réveilla derrière moi. Je tourna la tête par dessus mon épaule, et vis un groupe de personnes se battre à quelques mètres de moi. Caleb me pris par le bout de mon tissus pour me mettre derrière lui. Ok je bouge plus. Malgré que je déteste qu'on me dicte mes actes, être derrière lui n'est pas si mal rien que sentir son parfum. L'un des mecs en profita de toute cette agitation pour se rebiffer sur une meuf, il la plaqua sans ménagement contre le mur. Elle était apeurée, elle supplié du regard les passants. Je pouvais pas passer outre, plus je m'avancer vers eux, plus j'assister aux atrocité que l'homme cracher. Je tira sur son épaule, pour les séparer.

— Espèce de lâche ! T'en prendre a une femme ta pas honte ?! criai-je hors de moi.

Il s'avance vers moi l'air menacent, et me regarda de haut. Je le fixa déterminé. Il et hors de question de flanché face a un homme. Son visage se déforma en un sourire malsain. L'homme empeste l'alcool. Un cris de surprise sorti de ma bouche, au moment ou il me pris le bras. Il ouvris la bouche pour parler, mais il fut coupé par Caleb qui m'éloigna de ses griffe.

— Tu peut te taper toutes les nanas du monde sauf elle.

Son ton et froid à faire pâlir quiconque, je décelais en lui une haine naissante. Son visage se déformé face au arrière-pensée de l'homme malveillant.

— Elle et a toi l'autre pute ? On peux s'arranger si tu vois ou je veux en venir.

Un rire nerveux sorti de ma bouche, non mais il et déranger lui ? Je ressemble vraiment a une pute ? Au moment de répliquer je fut couper de court par Caleb, qui lui décrocha un coup de poing en plaine tête. J'ouvris la bouche choqué, par la violence du choque. L'homme tituba un instant. Il cracha de nombreuses injures, avant de foncé sur nous. Quelques personnes trop curieuses nous entouré à présent. Caleb me poussa sur le côté, quel protecteur ! Merde en une seconde d'inattention l'homme mis un coup sur le si beau visage de Caleb. Il tourna sa tête et cracha du sang, dans ses yeux seul la haine était présente.

Caleb lui mis un coup de pied dans le flanc, l'homme tomba raide. Caleb le ruer de coup de pied, l'homme se tordez de douleur. Caleb était entrain de perdre le contrôle, pourtant je lui crier d'arrêté en vain. Si il continue il va le tuer. Je pris mon courage a deux main et le tira par l'épaule. Surpris par mon geste il monta son bras en l'air pour me frapper, mais se stoppa au dernier moment quand il vus que c'était que moi. On se regarde dans les yeux, j'arriverai à le calmer juste en captivant son regard. On était comme hypnotisé, une sorte de connexion invisible nous lié.

— On part,m'ordonna Caleb en me prenant la main.

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La suite bouillasse ! 🥵

AlkaïdOù les histoires vivent. Découvrez maintenant