Eynéko (fin)

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Anna

Eynéko Gfikani, un jeune étudiant de 19 ans accusé de meurtre et de trafic de drogue. D'après l'inspecteur Murio, l'enquête aurait avancé grâce à trois étudiants dont le témoignage accusé Eynéko du meurtre de Nathan Varios sauvagement assassiné. Cela fait deux jours que l'étudiant est en garde à vue. Les parents d'Eynéko reste sur leur position leur fils est innocent "il ne ferait même pas de mal à une mouche". Est-ce une mauvaise blague de la part de ses camarades ou est-ce que Eynéko et coupable ?

Le Parisien.

Deux jours c'était écoulé depuis l'arrestation d'Eynéko. Les journalistes avait pris l'affaire très au sérieux. En seulement quelques heures notre criminel était en première page sur le journal Le Parisien. Même à la télévision les journalistes lui avait dédié cinq minutes, sûrement parce que le meurtre avait eux lieu dans la capitale. Mes parents sont revenus de leur voyage en apprenant la nouvelle. Il mon harcelé de questions du genre "Est-ce que tu connaissais se bandit ?" "Est-ce que tu étais amie avec ?" Dans ses moments là mon meilleur ami était "Non". Malgré que je savais très bien pourquoi ils me demander ça. Non pas par peur qu'il m'arrive quelque chose, mais plutôt par peur de salir leur réputation. Cool que demander de plus...

— Je suis de retour ! S'écrit ma sœur en arrivant.

Super. Je pose le journal sur la table de la cuisine.

— Lucie tu aurais du nous prévenir j'aurais demandé à Marie de faire ton repas préféré, dit ma mère en l'embrassant.

Je m'avance vers ma sœur en restant sur mes gardes.

— Anna ! Comment va ton copain ? Tu a réussi à le garder ?

Lucie sourit t'elle une bouffonne. Je me contente de la fixer. Déstabiliser elle tourne ses yeux vers mon père qui entre dans la pièce.

— Le repas est prêt ! Nous interpelle Marie.

On veille les morts ici. L'ambiance à table était glacial, personne ne parle. Mon téléphone vibra dans ma poche je le sortie sans retenue. Mais a peine ai-je le temps de l'allumer que la voix autoritaire de mon père fessait eco dans la pièce.

— Anna pas de téléphone à table !

— C'est bon juste 30 secondes.

Mon père me fixa sévèrement. Il avait horreur qu'on lui tienne tête. J'étais la seul de la famille à n'en faire qu'à ma tête et cela le mettait hors de lui. Je fixe mon père d'un air provocateur, qui celui-ci me dévisage avec mépris. Lucie se leva en fessant taper sa cuillère sur son verre. Nous arrêtons de nous fixer pour nous consacrer à l'intéressé.

— J'ai quelque chose à vous annoncé, commence-t-elle.

Si par malheur elle est enceinte, qu'elle compte pas sur moi pour garder son marmot.

Francesco et moi allons nous marié !

Mes parents se lève en la félicitant. Je fait pareil mais en restant assis.

— J'aurais aimé qu'il soit ici pour vous l'annoncer mais il et en voyage d'affaires, s'explique-t-elle.

— Anna tu devrais prendre exemple sur ta sœur et épouser un homme de notre rend, ajoute mon père.

AlkaïdOù les histoires vivent. Découvrez maintenant