Everything will be alright.

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Anna

Nous pénétrons dans l'habitacle, je sort mon téléphone pour prévenir mon chauffeur que je rentre en taxis. Caleb avais insisté pour me ramener chez moi. Je donne mon adresse au chauffeur, puis je jette un coup d'œil a mon passager. Il avais l'arcade qui saigner, je fouilla dans mon sac a la recherche d'un mouchoir. Je lui tendis le kleenex. Il le regarda puis tourna la tête, pour s'essuyer avec son t-shirt. Ah ouais tu veux jouer a ça ? Il et bipolaire ou je rêve ? Le trajet fut relativement long, muet comme une carpe Caleb n'avait pas prononcé un seul mot. Arrivé en bas de chez moi, je descendit du taxis. Je me pencha vers la porte.

— Tu viens ?

— Non,me répond Caleb sur de lui.

— Mes prends son absent.

— Les dames d'abord.

— Les pute après,plaisantai-je.

Je l'entendais rigoler grogner derrière moi. Après avoir fini le code du portail, nous entrons dans la maison.

— Enlève tes chau.... ssures.

J'avais même pas eu le temps de finir ma phrase, qu'il étais déjà dans le salon.

— C'est affreux, j'ai jamais vus un truc aussi laid,peste t-il. En y réfléchissant il y a toi.

Je lui mis un coup sur le bras, il fessait référence a un tableau qui était accrocher au mur. Je dois avouer qu'il et moche, les couleurs partait dans tous les sens sa n'avais ni queue ni tête. Je lui dit de rester dans le salon, pendant que j'irai chercher du désinfectant. Arrivé devant le miroir, je me stop. Ok Caleb et chez moi tout va bien se passé, je le désinfecte et après il part. Je souffle un bon coup et prends la trousse. Je descendis les marches de quatre en quatre.

— J'ai trouvé une...

Je pus terminé ma phrase, face à l'image qui ce dérouler sous mes yeux. Caleb était négligemment installé sur le canapé, les chaussures sur le pouf en velours, mais le pire c'est que messieurs était entrain de fumer ! Il me regarda l'air de rien et prononce, un « bah quoi ? ». Je me dirigea vers la porte fenêtre et l'ouvre en grand.

— Bah quoi tes juste entrain de fumer dans la maison ! Et tes pieds la, m'énervait-je en lui poussant ses jambes.

— Mmmh tu m'excite.

Il peut pas être sérieux deux minutes ? Je lui jeta la trousse de secours sur ses jambes. Voyant que j'allais pas le soigner Caleb jeta la trousse sur le côté du canapé, et tourna la tête en croisant les bras. Un vrai gamin celui là. Je m'assieds à côté de lui et repris la trousse, je pris une compresse et l'imbiba d'alcool. Deux mains puissante m'insistais a l'enjamber, je suivis ses mouvements jusqu'à être en califourchon sur lui. Mes joues chauffèrent. J'effleurais délicatement le contour de la plait, il fixé mes yeux ce qui me déstabiliser encore plus. Je senti sa bouche chaude sur mon cou. Je pris énormément sur moi pour ne pas rigoler, mais quand sa langue m'effleura la fine peaux de mon cou, je pus me retenir.

— J'ai crus comprendre que ton point sensible était le cou,dit-il avec une voix pleines d'envies.

— Je trouverait bien le tiens.

Je romps les quelques mètres qui nous séparait en collant mes lèvres sur les siennes. Il passe sa langue sur mes lèvres, pour m'insistais a les ouvrir. Notre baisé monta en intensité. Nos lèvres se chercher, se mordiller, nos langue se caresser, se mêler l'une à l'autre ne voulant plus ce quitter. Il descendu lentement la fermeture de ma combinaison. A présent en sous-vêtements je continuer de l'embrasser. Je sentait son sexe dur contre moi, il avait autant envie que moi. Notre baisé devient de plus en plus bouillant, je commence a me frotter contre lui, il pousse un gémissement et pose ses mains sur mes fesses pour me retourner sur le dos.

AlkaïdOù les histoires vivent. Découvrez maintenant