Lâche prise.

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Ellipse d'une semaine.

Anna

Une semaine c'était écouler depuis notre enquête. La police continuer d'interroger toute personne susceptible de faire avancer l'enquête. Nous somme samedi et mes parents son malheureusement revenu de leur voyage. Cela fait 2h que je me promène dans les boutiques les plus chère de la ville. Je suis à la recherche d'une robe pour le gala de ce soir. J'entre dans la boutique de la dernière chance « Saint Philippin, une boutique depuis 1930 » était gravé sur l'enseigne. Je fait coulisser les robe une part une, quand mon téléphone vibra sur un message de Caleb « tu fait quoi ? » je décide de ne pas lui répondre trop concentré a trouver ma robe.

— Avez-vous besoin d'aide ? me demanda un employé.

— Enfaite je cherche une robe simple.

Je le suivi vers l'autre côté du rayon, cette fois mon téléphone m'indiqua un appel. Je décroche.

— Allô ?

— Pourquoi tu répond pas ?

— Je fait les boutiques la.

— Ouais je sais, j'ai vus ta localisation.

— Bah pourquoi tu me demande ?

L'homme me montre plusieurs robe.

— Attends deux minutes.

— Il y a trop de paillettes, peut-être elle,lui indiquai-je.

J'entendais Caleb ronchonner à travers le combiné.

— Merci, je vais l'essayer,je pris la robe et parti en cabine.

— Oui désolé j'étais..

— C'était qui ? me coupe t-il.

— Mon mec,rigolai-je.

— ....

— Est-ce que Messieurs Caleb serait disponible ce soir ?

— Sa dépend pourquoi ?

— Gala de charité organisé par mes chère parents.

— Je verrais.

— Je t'en pris me laisse pas seul avec eux ! Je vais mourir d'ennui,le suppliait-je.

— Ok, mais ce n'est pas gratuit de loué un corps aussi parfait.

— Tu veut quoi ? lui demandai-je en me battant avec ma robe.

— Tu verra.

Sur le point de riposter, il raccroche. Je déteste quand on me raccroche au nez, il et affreux ! Je contemple l'étoffe dans le miroir. Elle m'aller comme un gant, simple comme je le voulais. Elle était longue et d'une couleur crème.
Ok je la prend. Je remets mes vêtements à la hâte. Après avoir payer, je prend l'initiative d'aller chez le coiffeur, comme ça j'aurais plus cas mettre ma robe.

AlkaïdOù les histoires vivent. Découvrez maintenant