Alkaïd

Arc-en-ciel

Caleb

Je tourne en rond depuis une heure dehors, en me répétant toujours la même chose. Pourquoi je me suis confié à elle ? Elle était rien pour moi, juste une distraction, un joue joue mon joue joue. Je sais pas, c'était la première fois que j'avais eu un coup de mou. Je me suis senti à l'écoute, et j'ai pas su fermé ma bouche. Merde ! Elle avait du répondant, un caractère d'acier, elle avait pas peur de me dire mes quatre vérités. Elle m'agacer autant qu'elle matirait, je serai l'expliquer. Sa marache les yeux de dire sa mes, tomber amoureux c'est donc ça ? Tout le temps pensé à elle ? Je suis pas du genre à montré mes sentiments.

J'inspire la nicotine, putin elle me rend fou. J'étais sortie de la boîte pour fumer ma clope, et là je la vois sortir avec son pote qui aime les queue avec ses lunettes d'intello. Je la fixe, elle avait une robe noir qui laisser apparaître ses formes, elle avait une épaisseur de cheveux qui donnait envie de lui tiré dessus. Comme un con je me suis mis à la mater. Elle partie en trottinant vers une voiture sûrement son chauffeur, laissant son pote seul. Je m'avança vers lui.

— T'es Eynéko ?

— Euh oui c'est moi, mais je dois partir bye,dit-il en me tournant le dos.

Si il croit qu'il va ce débarrasser de moi aussi facilement, il peux se fourrer le doigt ou je pense. Je le retenue par l'épaule.

— Ta peur mec ?

— Bah euh non c'est que enfin..

— Mais bien sûr,je lève les yeux au ciel. Te pisse pas dessus, je veux juste parlé de ta pote.

— Ouais euh qui Anna ?

— Oui elle et venus me voir en pleurant, elle m'a expliqué pour son frère c'est vraiment triste.

Oui je prêche le faux pour avoir le vrai, et j'ai un peut changer le contexte et alors ? Elle savait mes faiblesses, je devais connaître les siennes. J'aurais dû fermer ma putin de bouche, ou tourner sept fois ma langue. Je lui avait lancé une perche elle pouvait me détruire, encore plus que je le suis.

— Anna ne parle jamais de son frère.

Et merde, il en n'a dans le cerveau on dirait. Bon bah il faut que j'utilise la manière forte on dirait, je le prend par le col et le plaque contre la porte de secours.

— Dit moi ce qu'il c'est passer.

— Jamais.

Je pause mes mains sur son cou et resserre l'emprises, il a commencé à suffoqué à être rouge. Je resserre un peut plus il deviens bleu, woua on dirait un arc-en-ciel, il y'a peut-être du vert après ? Ça devrait lui faire plaisir il ressemble au drapeau de la gay pride.

— Lâche-le Caleb,me coupa Adrien.Caleb putin tu va le tuer.

Je le lâche, il tomba comme une merde en toussant. Putin il faut que je me calme, je passa une main dans mes cheveux. Elle sait ma seul faiblesse merde, je tapa contre le mur.

— Si tu veux savoir t'a cas lui demander,dit l'intello à terre.

— Son numéro,lui ordonnait-je en tendants ma main. Il me le donna à contre cœur, tu m'étonne.