Ça brûle

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Anna

Je suis censé faire quoi la ? Je le regarde incrédule, il arriva à ma hauteur. J'ai vraiment peur la, il va pas me tuer ? si ? Je le regarde droit dans les yeux, à la recherche de ses pensés mais rien, il a le regard fermé. Il brisa le silence en premier.

— Ta dit quoi t'as l'heure ?

Oh oh sa pue du cul pour moi en même temps, je pensé vraiment avoir aucune répercussions ? Comment je vais répondre à sa ? l'humour c'est mort l'ignorer cela va l'énerver, jouer les dur ?mmh oui.

— Ta très bien entendu,lui dis-je en le regardant bien dans les yeux.

— Joue pas a sa ma grande, dit le moi dans les yeux.

Je baisse la tête, merde je peux pas lui dire, je pense pas qu'il bluffe.. il me releva la tête, et avança sa bouche, attends pourquoi ? Je sens la chaleur monter en moi, mes yeux se perdent sur sa bouche, puis un déclic arriva comme une évidence. Caleb essaye de me déstabiliser sa a failli marcher, à quelques millimètres de sa bouche je lance.

— Ta gueule.

— Écoute moi bien, je vais faire de ta vie un enfer te pousser au suicide.

Sur ces magnifiques mots il fit demi tour et déverrouilla la porte, sur le point de partir il lança d'un ton à glacer le sang.

— La parti ne fait que commencer, on verra combien de temps tu tiendra.

Et il parti me laissant dans l'ignorance, dans quoi je me suis mis ? Pourquoi avoir chercher le mauvais gars ? Bon au moins je suis pas morte. Je me recoiffa dans le miroir puis sortie de la salle d'eau, je descendis les escaliers. Il y'avait plus personnes seulement des lumières bleu qui éclairé le salon, c'est quoi ce délire ?

Je sortie dehors et vis des flic, il était entrain de parler à Apollo et Eynéko. Je m'approcha d'eux. Le policier me salua je fit de même. Si j'ai bien compris la musique était trop forte, il fallait la baissé un peu. Je prie le bras de Eynéko et lui demanda de rentrer, il ma demandé pourquoi je lui et répondu que je lui dirai dans la voiture.

Il salua Apollo et on parti. 5 minutes après on se retrouva dans un taxi, je donna mon adresse au chauffeur et mis ma ceinture, je sentais le regarde pesant de Eynéko, il bouillais il savait qu'un truc n'allait pas.

— Bon tu va me dire ceux qui se passe ?

— Je suis tombé et ridiculisé devant tous le monde.

Hors de question de lui dire la vrai vérité, j'ai pas envie que l'autre fou s'en prenne à lui. Il me regarda perplexe, il me connaît mieux que mes propres parents alors j'en rajoute une couche.

— En plus il y'avait un beau gosse, bah là je peux faire une croix dessus,lui dit-je un sourire au lèvre.

— Putin le seule moment où je te regarde pas tu te casse la gueule !

Si tu savais. Eynéko me parla de sa soirée, il c'était mieux éclaté que moi. Il avait appris des choses sur Apollo qu'il n'aimait pas le caramel et j'en passe. Il m'a aussi confié les étoiles pleins les yeux qu'ils c'était galoché. Je le félicita, je suis vraiment contente pour lui.

Arrivé devant chez moi je me détacha et salua Eynéko. Je désactiva le code du portail. Je me laissa tomber sur mon lit, pouff quel soirée moi et mes plans aussi, maintenant j'arrête pas de ressasser ceux qu'il c'est passé. J'aurais jamais dû dire sa... oh et puis merde il va pas me faire un trou j'en n'est déjà un, me rassurait ma conscience. Je me mis en pyjama et tomba dans les bras de Morphée.

Mon réveil sonna, j'ai la flemme je tâta dans le vide, mai il et ou ? Ah c'est bon. Je me leva et parti à la douche, l'eau et si chaude je veux plus en sortir. Une vingtaine de minutes plus tard je sortie de la douche, me coiffa et mis mon uniforme scolaire. Je descendu les escaliers pour me diriger vers la cuisine, je pris une pomme et parti attendre notre chauffeur.

Arrivé au campus je me dirige vers mon petit murée en pierre, c'était mon murée personne n'osait s'asseoir dessus, pourquoi ? la dernière qui c'est assis à bouffer les pierre. Je suis méchante, que avec les pouf qui ce crois tout permit, et qui me casse les ovaires et puis même le campus et grand non ?

Je peux contempler tous le monde d'ici, quelle satisfaction. Au loin je vis Caleb arrivé avec sa moto, pff quel merde celui-là là enfin une belle merde, on va pas ce le cacher il et quand même sexy.

Je le suis du regard, il ce dirigea vers un banc qui était dirigé dans ma direction, mais il était quand même loin de mon murée. Il y'avait trois gars dessus, je sais pas ceux qu'il leur a dit, mais il son vite parti là queue entre les jambes. On dirait bien que lui aussi à son territoire. Malgré ma direction ses yeux heurtent les miens, personne de nous deux voulez baisser le regard. J'ai envie de le provoquer, je réfléchie pas au représailles. Alors tout en continuant de le regarder je lui fit mon plus beau doigt d'honneur, suivi d'un sourire en coin et me leva et parti.

— Anna dépêche toi on n'est en retard,me reprit mon amie.

J'avais même pas entendu la sonnerie avec tout sa, je trottina pour rattraper mon retard dans l'action du moment, je mis un coup d'épaule à quelqu'un.

— Pardon,lui dit-je en ramassant son livre à terre. Ah très bon choix à la fin David meure.

— Bien essayé mais je l'es fini,me sourie t'il. Moi c'est Adrien.

— Moi c'est Anna,lui dis-je en serrant sa main. A plus je suis en retard.

Puis je continua ma route, il était grand yeux bleu les cheveux châtain très mignon mais il ne détrôné pas Caleb. Arrivé en cours de physique chimie, la prof nous demanda de faire des groupe de deux, bien sur je me mis avec Eynéko.

— Alors je répète encore une fois. Vous allez manipulé de l'acide faite très attention sa provoque des brûlures si sa vous arrive par malheur, tout de suite sous l'eau compris ?nous mettant en garde la prof.

On fessa nos expériences en silence, il fallait mettre de l'acide sur un acier et voir la réaction, super l'acide bouffe l'acier. Eynéko partie rendre nos feuilles, j'étais donc seul au fond sur ma table. Caleb se leva en se dirigent vers moi avec un regard froid. Il pris ma main et la maintenu fort sur la table, il versa de l'acide sur ma main aucun crie sortie de ma bouche.

Au début sa fait rien, mais après ça brule je couru vite au robinet, je tourna le bouton et je mis ma main sous l'eau. Sa brûle putin j'étais sur le point de pleurer, mais je ravala mes l'arme. Hors de question je lui ferai pas cette satisfaction. Il me regarda et articulât «On commence doucement ».

AlkaïdOù les histoires vivent. Découvrez maintenant