46. Ψ Time fly Ψ

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Jack : Qu'est ce qui se passe Iris ?

Je sortis de ma transe.

Moi : Il est 21h.

Jack eut la même réaction que moi. Il sortit son téléphone, lui aussi avait au moins une vingtaine de coup de fils des garçons et des filles.

Jack : On ferait mieux de trouver une bonne excuse et surtout de se bouger.

On se précipita hors du bâtiment et prit un taxi jusqu'à la maison.

Moi : Je ne veux pas qu'on le sache avant que tout soit terminer.

Jack : Je sais ne t'inquiète pas.

Moi : Ils seront le clou du spectacle et je veux leur faire la surprise de pouvoir défilé sur l'un des podiums les plus connus au monde.

Jack : Tu es l'une des meilleures personnes que je connaisse. On leur dira que les rendez-vous pour le déménagement à durer plus longtemps que prévu.

À ce moment, le taxi s'arrêta devant la maison. Toutes les lumières étaient toujours allumées. On sortit du taxi et courut vers la porte d'entrée. Avant d'ouvrir la porte Jack me regarda.

Jack : On va se faire détruire.

Moi : Effectivement.

J'ouvris enfin la porte. On entra et tout le monde nous attendait dans le salon. Certains étaient fatigués, d'autre stressés. Au début, ils ne remarquèrent pas notre présence. On s'empressa de leur faire savoir qu'on était là. Ils se retournèrent vers nous avec un air soulagé.

Corbyn : Vous nous avez fait une de ses peurs. Vos téléphones n'étaient pas allumés. Pourquoi vous ne nous avez pas répondu ?

Moi et Jack, on se regarda et il commença.

Jack : Désolé vraiment on n'a pas vu le temps passé avec la paperasse qui avait à remplir et le fait que c'était en sous-sol on n'avait pas de réseau.

Leurs visages se radoucirent en entendant Jack expliquer la situation. Soudainement Daniel prit la parole.

Daniel : Matis a eu peur que tu ne rentres pas. Votre excuse n'est pas crédible. Si vous vouliez passer une journée ensemble sans nous ou les enfants, vous auriez dû le dire on ne vous aurait pas dérangé. Vous ne pensez qu'à vous deux dans tous les cas. Vous n'en avez rien à faire de nous ou des enfants, vos propres enfants.

Il avait presque hurlé. Son ton était méprisant à souhait. La fatigue de la journée et le fait qu'on nous accuse à tort me mis hors de moi.

Moi : Daniel ne commence pas. Je suis épuisé. On n'a pas passé la journée à rien faire ou à s'amuser on a travaillé. Si tu as un problème avec nous. On n'y peut rien. Les enfants, on s'en préoccupe toujours. Toi, tu n'as pas été là pour Matis durant trois longues années et je ne te juge pas alors je te conseille de ne rien dire avant que je ne m'énerve plus.

Jack avait pris ma main dans la sienne au moment où j'avais commencé à m'énerver. Daniel me scruta avant de renchérir.

Daniel : Toujours la même chose, toujours la même excuse j'en ai marre. Tu sais quoi passe ta vie avec Jack à marcher main dans la main dans les rues. Ne penser qu'à vous et jamais aux autres.

C'était la goutte qui fit déborder le vase. Je lâchai la main de Jack, m'approchai de Daniel, lui donnai une gifle avant de le prendre par le bras et de le traînai vers la porte d'entrée.

Moi : Tu es chez moi, là où mon garçon vit, où mes amis sont les bienvenus, mon copain aussi mais pas les gens qui ne me croient pas.

Je lui balançai ses paroles avant de le mettre dehors et de refermer la porte. Les autres m'observèrent stupéfait de mon acte.

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