le début du malheur

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J'avais pris mon sac et je suis rentrée chez moi , je me suis direct changé , j'ai pris mon mini short et mon débardeur et pafff au lit j'étais crevée.

J'étais trop bien dans mon rêve là quand j'entends du bruit dans la cuisine et là j'entends des voix.

olala y'a des cambrioleurs chez moi ou c'est comment ?

Mais ça arrive que dans les films ça... Je me lève rapidement sans faire de bruit et je prend un cintre qui était au sol

Je ne risque de blesser personne comme ça mais ça me rassure d'avoir un objet dans les mains.

Je me mets derrière la porte de ma chambre parce qu'elle était fermé , j'attends quelques minutes et là les voix se rapprochent, je me prépare bien à ce que quand la porte s'ouvrira je lui fou un coup de cintre.

La porte s'ouvre tout doucement quand le mec rentre et là j'allais lui foutre le cintre dans la tronche mais j'avais pas prévu que les deux allaient venir en même temps.

L'un d'entre eux a eu le temps de me désarmé (ouais désarmé même si c'est un cintre ) il m'a prise en sac a patate sur son épaule et m'amène dans mon salon.

- Mais lâchez moi !! Hurlais-je.

- Hey chérie il y a quelqu'un là pour toi. Me dit l'un des cambrioleurs.

Je me retourne pour voir la star qui est sois disant venue me voir. Mais quand je vois la personne je crois hallucinée.

- Tu cherche une famille ou quoi tu fou quoi chez moi ! Ta fait comment pour entrer et c'est qui eux !!??

- Écoute moi bien de un tu ne me parle pas comme ça de deux je rentre où je veux et de trois eux c'est mes hommes. Me dit le mec de la boîte.

- Mais je m'en fous imbécile tu veut quoi !!!

- Toi beauté. J'suis là pour te prendre avec moi.

- Hé hé molo molo je ne croit pas qu'on a élevé les cochons ensemble je te connais pas tu raconte quoi là !!

- Mais on va élevé autre chose ensemble ! Dit-il encore avec son vieu sourire en coin.

- Mais bon sang de quoi tu parles ? Dit-je ne comprenant pas.

- Nos enfants beauté, nos magnifique enfants, je vais te faire une équipe de foot tu ne vas rien comprendre.

- Hahah mais oui et moi je serai la dame qui ramène les limonades dans les gradins.

- Pense ce que tu veut beauté mais j'te le dit déjà.

- Ouais bref maintenant tu peux sortir de chez moi. Dit-je ne supportant plus la situation.

- je croit que tu n'a pas compris je suis venue te chercher toi.

Et là je l'ai même pas vue venir que l'un de ses hommes me mets un tissu et troue noir.

L'italien PossessifOù les histoires vivent. Découvrez maintenant