TEEN JAMES BOND GIRL 2

Chapitre 4 : Les retrouvailles...

Soudain la petite Audi noir arrive enfin, une fille est assise sur le siège passager .

Point de vue Raphaël

Dans un chuchotement Aurélien s'exclame.

Aurélien : Elle est là, c'est elle !

Malgré le changement physique, il la reconnu immédiatement. Son visage est beaucoup plus fin pour ne pas dire creuser, son teint est d'un rose pale et des cheveux châtain clair couper au carré encadre maintenant ce visage familier. Laura l'interpelle avant de sortir. Aurélien s'avance et je le suis, on arrive près de la voiture et Laura s'occupe directement des présentations.

Laura : Donc les gars voici...

Point de vue Alizée

Une fois sortie de la voiture, Laura et moi nous dirigeons vers le coffre où les deux hommes sont là. Je reconnais immédiatement un visage qui m'est familier, Raphaël et l'autre je ne sais pas qui c'est ou du moins je ne me souviens plus.

Laura : Donc les gars voici Alizée et je te présente Raphaël...

Alizée : Je sais.

Laura : Ah et Aurélien. Dit-elle en gardant se large sourire.

Aurélien : Mais tu peux m'appeler Auré. Dit-il lui aussi avec un grand sourire.

Alizée : Auré...Répondis-je dans un chuchotement, je cherche dans le peu de mémoire qu'il me reste.

Je connais ce nom, ça me rappel quelque chose mais je n'arrive pas à trouver quoi. Ces 3 mois de coma ont été fatale pour ma mémoire, les médecins m'ont dis que je n'avais pas perdu de mémoire et que ça allai revenir petit à petit avec le temps.

Laura : Bon allez, on rentre, les gars vous lui ferez la visite.

Je rentre dans la villa, elle est magnifique et très grande, on s'avance vers la cuisine ouverte sur le salon.

Raphaël : Tu veux boire quelque chose ?

Je secoue la tête pour dire non.

Aurélien : Ok, on va te montrer ta chambre.

Ils prennent mes valises et les portes dans les escaliers, je les regarde faire et reste en bas avec la dernière à valise à la main, une fois en haut, ils se retournent.

Aurélien : Tu viens ?

Raphaël : Attends, je vais t'aider à porter la dernière valise.

Il descend rapidement les escaliers pour venir à côté de moi et prendre la valise en effleurant ma main, je la retire immédiatement comme si son contact m'avais brûlé. Il remarque immédiatement mon malaise.

Raphaël : Ça va ?

J'hoche la tête pour lui confirmé que oui, mais il continue de se justifier.

Raphaël : Je sais que tu n'aimes pas qu'on t'aide mais là tu n'as pas trop le choix, quand on sort du coma il faut se reposer donc on te laissera pas forcer sur ton corps comme tu avais l'habitude de faire. Pas vrai Auré ?

Aurélien : Ouais, tu sais ici ce n'est pas Marseille, pas de quartier, pas de drogues, pas de courses, rien, juste des champs et la mer.

Raphaël monte les escaliers avec ma dernière valise, je le suis.

Aurélien : La première porte à gauche c'est la salle de bain puis la deuxième porte toujours sur la gauche c'est ta chambre.

J'avance vers cette deuxième porte et une fois arrivée devant j'hésite.

Aurélien : Vas-y, ouvre là.

J'ouvre la porte quand un flash-back me revient, je me revois en train d'ouvrir les portes de l'internat. Je cligne des yeux et je retrouve la douce réalité, je découvre une belle chambre avec la vue sur la mer. La chambre est blanche avec un mur bleu qui fait office de tête de lit, il y a une planche de surf qui est accroché à côté du lit, un lit double qui à l'air confortable et pour finir une grande baie vitrée qui permet l'accès directe à un balcon et sur la droite un accès à la salle de bain.

Aurélie : Elle te plaît ?

Alizée : Mmm. Réponds-dis je un peu trop occupé à enregistrer chaque détail de cette chambre.

Raphaël : Tu as une vue magnifique, c'était ma chambre avant mais quand j'ai su que tu venais j'ai préférai te laisser la plus belle chambre.

Alizée : Merci.

J'entends la porte d'entrée claquer je me retourne vers les garçons pour savoir ce qu'il se passe, mais je n'ai pas le temps de dire quoique ce soit qu'Aurélien ce met à côté de moi, quand je vois une dame passer avec un petit enfant dans le couloir.

Les retrouvailles ce sont plutôt bien passé mais pourra-t-on en dire autant de la suite ?