: Aujourd'hui c'est mon anniversaire, donc je vous mets un chapitre ce matin et un deuxième ce soir, selon mon heure bien-sûr.
Bonne lecture ♡♡
- Hmm... J'ai aimé la soirée, tu veux que je reste ou ?
- Tu peux repartir si tu veux... répondit simplement Adolf en se rhabillant
Elle vint donc à lui de son corps nu sans être trop proche, car elle savait qu'il n'aimait pas cette approche après les rapports.
- Dit babe, j'avais un truc à te demander...
- Quoi ? Répondit-il simplement en réprimant le mauvais effet qu'avait ce surnom sur lui.
- J'aimerais bien rencontrer tes parents
Confus, mais ne laissant rien transparaître, il se leva royalement et lui lança un sourire si noir qu'elle frémit depuis la racine de ses cheveux
- Je ne serai pas là pendant deux à trois semaines... répondit-il simplement, avant de se retourner et de s'en aller, refermant soigneusement derrière lui
Elle respira profondément avant de retomber, énervée sur ce doux lit. Il avait refusé avec un sourire aussi noir que dangereux. Rien qu'à y penser, elle en frémissait encore
Adolf prit l'ascenseur depuis son deuxième étage pour aller dans son aile, situé au dernier étage qui était le quatrième étage.
Il arriva dans sa chambre moins de dix minutes plus tard, et alla directement dans sa douche, prendre une bonne douche pour ensuite prendre son thé et enfin "essayer" de dormir, même s'il était déjà trois heures du matin.
•
Une semaine était passée et la rue au soir même n'était plus bruyante. Il y avait eu bagarre. Des blessés grave...
Tous étaient dans leur petit cocon, fait pour certains avec des morceaux de bois et pour d'autre avec tout ce qui était constructif comme Leene dans son camion.
Elle n'avait point assisté à leur bagarre vu que cela, c'était passé sur la route, mais elle avait entendu, donc, savait qu'il y avait eu affrontement entre les deux clans comme d'habitude. Elle ne s'en foutait pas, mais préférait être cachée...
Elle se connaissait et ne voulait pas être prise parce que neutre, raison pour laquelle, elle n'était point sortie et avait grignoté toute la nuit comme maintenant
Elle devait aller prendre ses vivres dans deux jours et quelques vêtements.
Cause du danger, elle n'aurait pas voulu sortir, mais il fallait bien, car elle mangeait un peu de tout et beaucoup, malgré sa situation.
Toujours couchée, elle entendit une sorte de brouhaha dehors comme un mouvement de masse, alors qu'il n'y avait personne dans leur zone. Tous dormaient à cette heure vu que personne n'était autorisée à faire quoi que ce soit de méchant le dernier jour de la semaine, mais il fallait que des petits délinquants viennent sur leurs territoires.
Elle souffla un bon coup avant de se coucher tristement, prête à passer une nuit bruyante vu que les jeunes de sa zone venaient de sortir et comme elle, ils aimaient la bagarre.
Elle le cachait bien, mais il ne fallait pas l'énerver
•
- Bonjour monsieur
Silence
- Votre petit déjeuner est prêt, vous voulez que je vous le fasse monter ?
- Non.
Confuse, elle ne savait que dire parce qu'il avait des réponses très brèves et loin d'être laconique, laissant toute personne de marbre. On aurait même dit qu'il le faisait exprès.
- Dans votre salon alors ?
- Oui
- Et
- Fermez avant de partir. La coupa-t-il de sa rauque voix basse, et c'est encore plus confus qu'elle repartait
Il n'avait pas dormi de la nuit donc, avait passé tout le reste du temps devant ses baies vitrées à observer les alentours de sa maison d'un œil très critique.
S'il avait une femme et un enfant, comment serait sa vie ?
Sûrement plus joyeuse
- Monsieur ?
- Qui vous a demandé de rentrer ? Demanda-t-il calmement dans un ton si dangereux qu'elle en frémit
- J'ai beaucoup frappé, mais vous n'avez pas répondu...
- Et ça ne vous est pas venu à l'esprit que j'étais sous la douche ou autre ? Demanda Adolf toujours de dos
- Désolée monsieur... s'excusa l'employée, avant qu'il ne lâche un juron qui claqua directement sur celle-ci et il l'avait fait exprès
- Parlez.
- Euh... Il y a madame Meyer, votre mère...qui dit, vous appeler sans succès.
- Bien. Répondit-il et sans en ajouter, elle s'en alla
Il partit donc en direction de son téléphone posé sur sa table du salon, avant de s'asseoir de toute sa masse, sur le canapé en forme de C
Elle décrocha avant la fin de la deuxième sonnerie
- Bonjour mon garçon, comment tu vas ?
- Je vais bien maman et vous ?
- Nous allons bien. Alors, tu viens aujourd'hui ou demain ? Demanda-t-elle, le prenant de court
- Venir où ?
- Comment ça venir où ? On s'était dit que tu viendrais ici chéri !
- Maman, c'est toi qui l'as dit et tu ne m'as même pas laissé terminer avant de raccrocher.
- C'est quand je ne serai plus de ce monde que tu voudras
- Ne dit plus jamais ça ! Répondit-il d'un coup et sans même lui laisser le temps de parler, elle raccrocha
Il eût un pincement au cœur. Encore plus quand elle n'avait pas décroché ses dizaines d'appels et son père qui était à une convention, lui avait dit de la laisser se calmer et de venir plutôt.
Soufflant maintenant, irrité que sa mère soit fâchée, il alla prendre une douche pour finaliser et classer des dossiers, afin de pouvoir aller en France dès demain pour faire une belle surprise à sa génitrice qui boudait sûrement
VOUS LISEZ
La Sans Abri Et Le Milliardaire Allemand
RomanceAdolf Meyer, propriétaire de AME multimilliardaire très prisé par les médias va faire la rencontre d'une française sans abris lors d'une visite familiale en France Cette rencontre n'aura rien d'une coïncidence car bien de chose changerons dans la vi...