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La montre affichait huit heures du matin et habituellement, on avait un monsieur Meyer dans les parages, mais non, monsieur dormait avec Mademoiselle, à point fermé.

Rien même ne pouvait les réveiller, ils étaient épuisés surtout Leene

C'est donc deux heures plus tard qu'Adolf se réveilla, c'est-à-dire dix heures du matin

La première fois de toute son existence

Il la vit coucher sur lui et un sentiment de paix s'installa sur le coup. On aurait dit qu'il n'avait besoin de rien, parce qu'elle était là avec son innocence et sa beauté

Il l'avait fait sienne et la désirait encore plus qu'auparavant.

Ses formes épousaient parfaitement son drap qu'il pouvait deviner même s'il devenait aveugle

Son magnifique fessier qui ressortait joliment et cette poitrine qu'il pouvait sentir sur son torse. Il y avait de quoi être fière

Quoi de mieux que cet instant.

Elle semblait si apaisée à dormir ainsi, sans soucis, avec cette pureté qui l'entourait

Il regarda l'horloge vu comment le temps semblait beau dehors. Il ne pouvait pas voir l'éclat exact du soleil vu que ses baies les filtraient

C'est sur l'horloge en haut qu'il put voir marquer

- Dix heures quatorze?! Murmura-t-il étonné.

Il avait pu dormir tout ce temps??? Se demandait-il sérieusement abasourdi

On aurait dit qu'il avait vraiment eut son attrape-rêve

Dormir jusqu'à cette heure?!

Il la senti beaucoup bouger, signe qu'elle allait se réveiller d'un moment à l'autre et toute son attention fut dirigée sur elle.

Leene pouvait sentir cette forte fraîcheur et ce doux shampoing d'homme un peu partout dans la pièce

Tout lui revint en mémoire et elle constata les joues rouges, qu'elle était tout juste sur lui... nue.

Elle leva les yeux pour le voir et put constater qu'il la regardait avec attention et douceur mêlée.

- Bonjour princesse... dit-il dans un soupir en lui caressant la joue, ce qui la rendit encore plus rouge

- Bonjour... murmura-t-elle toute rouge avec un léger sourire

- Ça va ?

- Si je te disais que j'ai mal... serait-ce mauvais ? Demanda Leene en se pinçant les lèvres

- Pas du tout bien au contraire... puisque comme toi, dame nature m'a un peu gâté... si tu vois ce que je veux dire

Elle devint toute rouge, tandis qu'un sourire se dessinait sur son visage, avant qu'elle ne baisse la tête pour mieux retomber sur ce dur torse aux abdos affolant.

Elle regarda la chambre d'un œil critique et fut ébahi par la grandeur et la beauté des lieux

Elle savait que c'était sa chambre vu comment tout était disproportionné. La pièce était tout simplement énorme, faisant face à une baie vitrée assez loin très claire qui était sombre vu de l'extérieur.

Elle l'avait vu quand elle était à la piscine, mais n'y avait pas accordé d'importance vu que c'était noir.

Elle pouvait voir le soleil, mais pas ses rayons éclatant, illuminé la chambre, bien au contraire, elle était un peu sombre, mais assez éclairée pour voir ce qu'il y avait à voir.

La Sans Abri Et Le Milliardaire Allemand Où les histoires vivent. Découvrez maintenant