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- Les travaux commenceront demain, si vous voulez aider, il n'y aura aucun problème, vous serez payé

- Qu'est-ce que tu racontes. Tu en fais déjà assez, le minimum, c'est qu'on participe à tout ça. Et vu comment nous sommes nombreux, tu auras même plus besoin d'autres ouvriers. Nous ne sommes pas assez expérimenté, mais on va aider jusqu'à ce que ça finisse... intervint hylan et pour seule réponse, les jeunes lancèrent un grand cri de cœur, comme pour marquer leur approbation et cela fit plaisir à Leene qui en était même émue

- On va rentrer... intervint Adolf

- Ravis de vous avoir connu monsieur Meyer. Nous ne vous dirons jamais assez merci pour ce que vous avez fait pour nous.  Sans vous, c'est sûr que je ne serai plus de ce monde... dit profondément hylan et Adolf sourit en inclinant la tête, légèrement gêné de tous ces remerciements.

- Je viendrai demain, vous voir

- D'accord. Rentrez bien... dirent les jeunes en cœur ce qui les firent tous rire, même Adolf et Leene, encore plus

Sa joie était maintenant complète et ça, Adolf le sut

Il lui ouvrit la portière alors qu'elle faisait encore des signes d'au revoir aux jeunes de son quartier toute joyeuse.

Elle rentra toute souriante, l'attendant et dès qu'il referma sur eux deux, elle lui sauta dessus toute joyeuse avec le sourire qui lui arrivait maintenant aux oreilles.

- Pour être heureuse, tu l'es, ça, c'est sûr.  Murmura Adolf en lui caressant le dos tout en la positionnant sur ses jambes à califourchon

- Et tout ça, c'est grâce à toi Adolf, je ne saurais te dire merci pour tout ce que tu fais pour moi chéri

- M'aimer et me rendre heureux comme tu le fais me suffit... répondit Adolf avec un sourire sincère, ce qui eut raison de Leene qui se coucha sur lui, laissant une larme de bonheur en le serrant un peu plus, avant qu'il ne referme ses grands bras autour d'elle

- De quoi tu as parlé avec maman hier ?

- Je ne te le dirais pas Adolf, cesse de fouiner

- Rhor ... grogna Adolf en la chatouillant, ce qui eut raison d'elle qui le supplia d'arrêter, dans des rires de femme conquise et heureuse, jusqu'à ce qu'ils arrivent chez les parents d'Adolf

- Viens chérie, je dois te remettre un truc... lui avait dit madame Meyer et depuis, elle la suivait à l'aile du haut, au dernier étage où se trouvait sûrement, la chambre de ses beaux-parents

Quand elles arrivèrent, Leene fut tout émoustillée. Avec Adolf, elle était habituée à la grandeur donc, celle des lieux là maintenant, ne l'étonnait pas vraiment

- Pose-toi là... lui indiqua madame Meyer et Leene put voir des fauteuils devant

Elle y alla, tandis que madame Meyer venait de disparaître derrière l'une des portes

L'air était très frais ici... pouvait-elle constater

Il y avait une immense baie devant, donnant sûrement sur la cour comme celle dans la chambre qu'elle occupait avec Adolf en Allemagne.

- Voilà... intervint madame Meyer avec une sorte de coffret en main

Leene la regardait venir à elle, attendant ce qui allait se passer et fut bien plus que choquée de ce que sa belle-mère lui tendait maintenant

- Elle est maintenant à toi princesse... Lui dit madame Meyer en déposant le coffret au creux de ses mains, émue, tandis que Leene était confuse

- Qu'est-ce que c'est  ? Demanda Leene tout doucement

- Une chaine que tu devras porter tout le temps et garder soigneusement pour celle que tu appelleras ta fille. C'est-à-dire ma petite fille. Commença madame Meyer.
Je n'ai pas eut la chance d'avoir une fille donc, ces perles précieuses que m'avait offertes ma mère sont restées avec moi jusqu'à maintenant... Continuait-elle avec une larme qui glissait le long de sa joue.
Maintenant que tu es ma belle fille, elle t'appartient. Garde-la précieusement

Leene émue la prit dans ses bras ne sachant que dire à part

- Merci, j'en prendrai soin, je te le promets

- Merci à toi princesse. Tu as mis tout le monde d'accord... on avait tous, besoin de ton rayon dans notre vie.

Leene sourit les joues rouges, avant qu'elles ne se serrent encore plus

Elles restèrent là à échanger encore et encore, ce qui plut énormément à Leene, car ce côté maternelle qu'elle n'avait pas eut la chance d'avoir, avait maintenant été occupée par sa magnifique belle-mère.

- Quand est-ce que vous partirez pour la lune de miel ?

- Adolf a dit qu'on irait durant le week-end prochain pour une semaine, ainsi à mon retour, le centre sera certainement à un bon niveau de construction

- Je vois.
Allez vient, on va t'acheter des trucs

- Maman

- Allez vite, la femme enceinte

- La femme enceinte?!

À cette voix, toutes deux restèrent figées.

Et non...

La Sans Abri Et Le Milliardaire Allemand Où les histoires vivent. Découvrez maintenant