La Sans Abri Et Le Milliardaire Allemand

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- Enfin, vous êtes là.

C'est avec un sourire qu'Adolf embrassa ses parents du mieux qu'il pouvait avec Leene dormant dans ses bras

- Elle va bien ? Demanda sa mère

- Oui mère sûrement la fatigue

- D'accord votre chambre est prête

Adolf installa Leene dans la plus grande douceur et la couvrit avant de mieux sortir pour voir ses parents

Il put les retrouver dans le bureau de son père où sa mère était dans la chaise principale et son père juste à côté. Ils l'attendaient... comprit-il

- Elle va bien ? Redemanda madame Meyer sa mère

- Oui maman ne t'inquiète pas

- Tu comptais nous le dire quand ?

- Quoi maman ? Demanda Adolf confus

- Tu ne sais pas ?

- Maman, qu'y a-t-il ? Que dois-je savoir ?

- Rien... dit-elle en souriant

- Maman

- Je ne révèlerai rien trésor

- Tu sais comment elle peut être têtue fiston...intervint monsieur Meyer

- Oui papa, maman ne changera jamais à ce que je vois

- Ça ne vous concerne pas. Pour le moment, parlons de ceux pourquoi vous êtes là. Assieds-toi chéri.

C'est en soufflant comme un enfant qu'Adolf obéit à sa mère

- Alors papa, maman je vous écoute

- Bien. Pour ce que Leene veut faire, vu que c'est pour une juste cause on s'y engagera.

- C'est vrai ? Demanda Adolf loin de cacher sa joie

- Bien-sûr chéri, c'est notre belle fille, tu sais

C'est joyeux et fière qu'Adolf échangea tout le restant du temps avec ses parents

- Je n'aurais pas mieux pensé maman, merci... Dit Adolf après des heures à échanger encore et encore

- Tu aurais dû te manifester depuis chérie, intervint monsieur Meyer

- J'aime bien vous voir cogiter ainsi... répondit madame Meyer toute souriante.
On m'informe que Leene est réveillée et te cherche

Il n'en fallut pas plus pour qu'Adolf se lève immédiatement pour sa douce

- Adolf

- Père... Répondit-il

- Ta mère ira la voir. Il faut qu'on parle.

Ce n'était pas une demande et ça, même madame Meyer le comprit.

Adolf revint s'asseoir et vit sa mère sortir après un regard pour eux deux

- Qu'y a-t-il papa ? Je te sens anxieux.

Leene s'était réveillée depuis un moment et avait demandé à voir Adolf. Elle ne reconnaissait pas la chambre, mais pouvait voir les photos d'Adolf un peu partout.

C'était immense et si beau. Le pull d'Adolf était près d'elle comme pour lui dire qu'il était là

Elle vit son téléphone sonner et put voir que c'était Lydia