La Sans Abri Et Le Milliardaire Allemand

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- C'était donc ça, toutes ces messes basses.  Tu es enceinte ma fille, c'est ça ? Demanda monsieur Meyer

C'est en se pinçant les lèvres qu'elle répondit timidement

- Oui.

- Quelle joie tu nous donnes encore chérie... dit monsieur Meyer en venant la prendre dans ses bras tout joyeux

- Désolée chérie... dit madame Meyer les joues rouges

- Au moins ce n'était pas Adolf... répondit Leene.

- Il ne le sait pas alors... Tu comptes le lui dire quand ? Demanda monsieur Meyer se dirigeant vers une porte

- À la lune de miel... répondit Leene toute rouge

- Ahhhhh c'est plutôt bien pensé... répondit-il

- On revient dans pas longtemps chéri. Intervint madame Meyer à l'encontre de son mari

- Où allez-vous ? Tu sais qu'elle ne doit pas trop marcher ni faire d'effort n'est-ce pas ?

- Non, je ne sais pas. Adolf m'est tombé du ciel.  Répondit madame Meyer sous un air ironique ce qui les firent tous rire, avant qu'elles ne sortent pour faire les courses dont parlait tant, madame Meyer

Leene voulut voir Adolf, mais sa belle-mère l'avait quelque peu attrapé et ne comptais pas la laisser d'aussitôt

Une fois dehors, elles montèrent dans une belle voiture assez grande comme la sienne et partirent pour une destination qui lui était jusque-là, inconnue.

Quand madame Meyer parlait de course, Leene était très loin de s'imaginer ce genre de course... 

- Cesse de rougir et choisi tout ce qui te fera plaisir, intervint madame Meyer.
Je commence par là et toi de l'autre côté. Il faut faire des gâteries à son homme... Tu vois ce que je veux dire.

Leene toute rouge sourit, avant d'aller chercher ses sous-vêtements qui semblait vraiment sexy dans ce magasin

*

- Où est Leene ? Demanda Adolf à son père

- Aller faire les courses avec ta mère

- Ces deux là.

- Allons dans le jardin qu'on se fasse un bon barbecue comme au bon vieux temps... 

Adolf souriant, se prêta au jeu avec son père, se promettant de faire tout ça avec ses enfants dans l'avenir 

Les deux femmes de la maison arrivèrent assez tard aux environs de six heures du soir toute souriante, tandis que leurs maris les attendaient de pied ferme.

Quand elles virent les deux hommes devant la porte juste avant les marches, elles surent qu'elles allaient avoir chacune pour son compte.

- L'essentiel, on s'est amusé... lâcha Leene en sortant, ce qui fit rire sa belle-mère, tandis que les cartons sortaient des voitures et ça n'en finissait pas

Les deux hommes regardaient les courses sortir de la voiture encore et encore et s'étonnaient de tout ceci

- Vous avez dévalisé le centre commercial, j'imagine... intervint monsieur Meyer, le père d'Adolf

- Juste un peu. Il faut se faire plaisir parfois... répondit madame Meyer en allant avec son mari

- Allez vient, on rentre. Demain, tu as une longue journée, je t'ai gardé une part du barbecue qu'on a fait avec papa.

Leene gravit les marches rapidement pour rejoindre son homme qu'elle n'avait pas vu de toute la journée et l'embrassa légèrement, avant qu'il n'approfondisse ce baiser

Ils rentrèrent dans leur chambre et personne n'en sorti jusqu'aux lendemains

Adolf et son père avaient tout préparé pour la soirée et s'étaient arrangés pour manger avec leur femme dans leur chambre.

Couchée sur lui, ayant mangé comme un ogre, Leene était fatiguée et ne demandait qu'à dormir. Adolf la berça donc avec ses caresses dans le dos et elle s'endormit sur le champ, heureuse et fière d'avoir pareil homme avec elle

*

Une semaine était passée.

- Faite attention à vous et envoyez-nous une carte postale... avait dit madame Meyer toute heureuse

Ils étaient maintenant dans l'avion en route pour une destination de rêve... Avait dit Adolf