La Sans Abri Et Le Milliardaire Allemand

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Ils descendirent donc et sortirent dans la cour

Leene put voir une magnifique voiture très basse noire dans l'allée et guidée par Adolf, y monta

Vu de l'extérieur ça semblait vraiment petit, mais une fois dedans, c'était une autre histoire et lui avec toute sa masse, y entrait sans problème.

Ça sentait le neuf, tout était en cuir et l'intérieur était simplement magnifique

Il y avait un sentiment de sécurité, c'était parfait.

- Prête ?

- Prête... répondit Leene dans un sourire radieux qui le fit sourire aussi légèrement

Elle ne le voyait pas sourire souvent, mais quand il le faisait, son charme se décuplait par mille

Il n'y avait aucun bruit, pourtant ils partaient

C'était très silencieux comme voiture et réconfortant

Elle stressait un peu, mais put sentir les mains d'Adolf emballer la sienne avant de l'embrasser tout en conduisant.

Le simple fait de voir leurs mains entremêlées la rassura pleinement, surtout avec les baisers qu'il y déposait à chaque instant.

À part ça, les rues étaient plutôt animées. Tout était joli. En tout cas dans leur zone, c'était simplement beau

Il semblait sortir de la ville ce qui ne lui dit absolument rien. Lui seul savait où il l'emmenait donc, elle se contentait de regarder et d'apprécier l'extérieur 

C'était maintenant calme, il y avait de la forêt, mais pas pour longtemps, avant de ressortir sur une autre ville qui semblait être la bonne, vu qu'une dizaine de minutes plus tard, il se gara.

Il descendit de la voiture et au moment où le portier voulu ouvrir à Leene, il put réagir à temps

- Laissez ça ! Siffla-t-il, ce qui fit pâlir le jeune homme qui se poussa immédiatement

Elle n'était pas à l'aise avec les autres, raisons pour laquelle il avait choisi ce restaurant à place très limitée qui appartenait à un ami et qui était beaucoup fréquenté par les personnalités politiques et étrangères riches.

Il lui ouvrit donc la portière et elle en ressorti en lui saisissant la main

Il referma juste derrière elle, et put voir ses gardes surveiller les recoins

Il passa donc ses mains sur sa taille et la conduisit dans le restaurant qui semblait complet maintenant. Il ne restait qu'eux.

Dès leur entrée, Adolf ne permit à n'importe qui de regarder son bien le plus précieux donc emprunta le chemin de son coin privé.

Il regardait tous les hommes qui oseraient regarder Leene du moins ses déhanchements, d'un regard si froid qu'ils en frémissaient à coup sûr.

Leene pouvait voir toutes ces personnes les regarder bizarrement, mais DIEU merci, il l'emmena dans un salon privé où il y avait qu'eux, le plus rapidement possible 

Il l'installa tout près de lui et fit le tour pour s'asseoir

Tout était si classe et épuré... Remarqua-t-elle

- Ça va ? Lui demanda Adolf

- Oui

Une personne fit son entrée, c'était un homme qui semblait connaître Adolf vu comment il se prit dans une accolade