Il était maintenant huit heures et demie du soir et Adolf avait fini de se préparer. Il s'était préparé dans son bureau, sachant que Leene se préparait dans leur chambre.
Il avait hâte de la voir, surtout que Lou était vraiment très douée pour les trucs de femme. Il l'avait fait venir expressément depuis la France pour maquiller Leene, vu qu'elle était la maquilleuse personnelle de sa mère.
Elle était très connue dans le milieu de la mode et toute mignonne pour son jeune âge. Il savait que Leene allait être à l'aise avec elle
Il l'attendait patiemment en bas de l'étage et put entendre quelqu'un descendre
Impatient donc, il déchanta vite quand il vit Lou redescendre toute souriante suivit de loin par...
- Beauté divine... murmura Adolf, les doigts sous le menton, regardant cette reine descendre
Elle était plus que belle, elle était divine
Il la vit sourire un peu nerveuse en descendant, alors qu'il croyait voir un ange
Il y avait à peine du maquillage sur elle, mais ses tresses embellissaient son magnifique visage, en plus de cette sublime robe qu'il avait acheté.
La robe de Leene était une sublime robe rouge très près du corps, donnant l'impression de voir son corps à travers des griffures qui allaient de sa poitrine jusqu'à ses cuisses, soulignant au passage ses magnifiques courbes.
Elle était perlée de pierre précieuse, de diamant précisément, juste à certains endroits, ce qui renvoyait sa touche luxueuse.
Quand elle l'avait vu, elle était restée bouche bée, tandis que Lou était tout simplement figée à détailler chaque perle qu'il y avait et quand on lui avait dit que c'étaient des diamants, elle s'était sentie lourde d'un coup.
Elle se savait belle, mais en plus de tout ça, elle était splendide, classe et élégante tout simplement
Adolf ne mit pas longtemps à la trouver à mi-chemin, tout fier et heureux
- Tu es divine... dit-il toujours étonné.
On aurait dit un ange.- Merci... Répondit Leene toute rouge dans un sourire.
Il lui vola un baiser des plus doux et passionnant, tandis que Lou repartait
- On y va, on doit sûrement nous attendre... lui dit-il après s'être détaché
Elle lui sourit tout simplement en le regardant si élégant dans ce magnifique costume noir aux poches rouges de la même couleur que sa robe.
C'était donc un complet pour couple... comprit-elle en souriant toute fière
- Toi aussi, tu es beau... Lui dit-elle une fois bien installée dans une des grandes voitures d'Adolf
- Je sais... Répondit-il arrogamment, la faisant rire légèrement
- Tu m'as manqué... lui dit-elle sérieusement avant de se peloter à lui, qui la réceptionna aussi tôt pour un doux câlin, tandis que le chauffeur et ses gardes derrières, dans d'autres voitures, démarraient
Ils se retrouvèrent, profitant l'un de l'autre dans un doux câlin où il lui caressait le bras et le dos, redescendant dangereusement à ses fesses.
- Adolf... l'appela-t-elle comme un avertissement ce qui le fit sourire
- Je t'ai acheté ton gâteau et tes petits trucs, tu vois de quoi je parle... dit-il en lui faisant un clin d'œil complice, ce qui, en plus des rougeurs, la fit rire légèrement
- Cela va durer ? Demanda Leene en référence à la soirée
- Non chérie ne t'inquiète pas. Nous sommes bien en retard d'une dizaine de minutes, je crois... lui dit Adolf, avant de lui baiser la tête, puis les paupières, les yeux, le nez, les joues... la faisant rire comme une enfant, ou comme une femme avec un homme qu'elle aimait.
Peut-être bien...
C'est dans cette belle ambiance qu'ils arrivèrent des minutes plus tard au lieu de réception
Leene le vit sortir pour mieux lui ouvrir la portière. C'est donc dans un sourire qu'elle prit ses mains tendues qui lui permettrait de sortir
C'était plutôt calme devant, ce qui la rassura un peu
Adolf ne perdit pas de temps et l'incita à passer devant.
Quand on lui ouvrit la porte, elle se figea.
C'était comme si tout le monde les attendaient.
Pas elle, mais plutôt LUI.
Elle était bien plus que gênée des regards des jeunes étudiants, en plus de ceux des grandes personnes, tous superbement habillés
- Vient chérie... surgit Adolf juste derrière elle, en passant ses mains à sa taille
Elle se tourna donc vers lui et il la rassura d'un regard, ce qui ne laissa personne indifférente dans cette salle, car ils semblaient bien proches.
Il la conduisait à une belle table où il ne restait que deux chaises. Tout le monde les regardaient. D'autre avec fierté ou envie pour les hommes et d'autre avec étonnement, admiration ou jalousie pour les femmes
Elle put voir tous ceux qui étaient autour de cette table se lever pour les accueillir, du moins pour accueillir Adolf, qui inclina simplement la tête après l'avoir installée.
Il s'assit près d'elle et ce fut à ce moment qu'elle se rendit compte de la place centrale qu'ils avaient dans cette immense salle, où tous étaient habillés de façon si classe et raffiné.
Certaines filles avaient des vêtements un peu trop osés et d'autre par contre, étaient très bien habillées. Ce fut le cas d'une qui attira son attention.
Elle la regardait avec cette admiration et quand elle s'aperçut que Leene la regardait, baissa les yeux immédiatement les joues rouges pour mieux se placer sur sa chaise, ce qui fit sourire un temps soit peu, Leene.
- La soirée peut donc commencer. Intervint un monsieur à la scène qui reçut des ovations et dès lors, s'en passait des étudiants et directeurs qui avaient des messages pour Adolf leur fondateur et patron.
Cela faisait partie de ses moments forts de l'année, ainsi, il écoutait toujours avec attention et même s'il ne le montrait pas, il en était heureux.
Leene les entendait parler allemand et était bel et bien perdue, pourtant lui semblait tout à fait happé par leur discours
Le premier discours passa et se termina par des applaudissements, nourris de tous ceux présents et même d'Adolf qui le faisait légèrement pour à peine deux secondes.
Tous ces discours passèrent et il en était bien fière, même si ça n'en finissait plus.
Il voulut se retourner et voir Leene mais rien. Sa place était vide.
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La Sans Abri Et Le Milliardaire Allemand
RomanceAdolf Meyer, propriétaire de AME multimilliardaire très prisé par les médias va faire la rencontre d'une française sans abris lors d'une visite familiale en France Cette rencontre n'aura rien d'une coïncidence car bien de chose changerons dans la vi...