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La nuit était tombée et Leene n'était pas sorti

Adolf travaillait avec les pensées sur cette jeune femme qui refusait de sortir

Elle devait sûrement le prendre pour un menteur, mais là n'était pas le problème

Le problème se trouvait plutôt de son côté, car ne pas la voir durant ces heures lui était pénible

Il arrivait à peine à se concentrer, et cela, pour pas plus de vingt minutes, avant que son esprit ne reparte vers elle.

Elle n'avait pas déjeuné ni dîner, vu l'heure


Il se dépêcha de signer des dossiers et se hâta pour prendre une douche rapide. Il enfila des vêtements de nuit et emprunta un passage secret pour gagner la chambre de Leene, car elle n'allait pas lui ouvrir.

C'est ainsi que cinq minutes plus tard, il tomba nez à nez avec elle dans sa penderie et ce qu'il vit, le mit dans tous ses états

*

Leene avait grignoté un peu tout dans sa chambre et avait fini de prendre sa douche.  Elle traina des pieds pour aller à sa penderie dans son peignoir, car elle n'avait envie de rien

Elle se demandait même pourquoi il n'était pas venu depuis la journée où elle avait refusé de lui ouvrir

Avait-elle mal fait ?



Elle emprunta le chemin de sa penderie avant qu'un grondement ne se fasse entendre

Elle en frémit tout d'un coup et sut qu'il allait pleuvoir

Déjà que cette chambre était froide et trop grande pour qu'elle y dorme seule, il fallait que la pluie s'y ajoute.

- Génial... pouffa-t-elle ironiquement en entrant dans sa penderie

Vu le froid ambiant, il fallait qu'elle se mette quelque chose de chaud

- Hé Leene ... 

Elle se retourna d'un coup, le cœur battant, la respiration saccadée, tandis que son corps était couvert de frisson.

- Vous?!  Dit-elle effrayée en reculant à chaque pas qu'il faisait

- Il faut qu'on parle Leene.

- D'où vous sortez?! Vous êtes quoi ?! Un sorcier?!

- Non, juste un homme qui a des passages secrets dans toute sa maison. Répondit simplement Adolf en s'arrêtant.
Je vous attends dans votre chambre... Lui dit-il simplement en ressortant de cette penderie

Elle était confuse, mais avait compris comment il était arrivé

Elle se mit une nuisette mettant en valeur cette poitrine qu'elle avait et tombante à peine sur ses genoux n'hésitant pas à mettre en valeur ses courbes généreuse et ne mit rien en dessous.

Elle ne savait pas ce qu'elle faisait, du moins essayait de ne pas y penser, se mit du parfum et sorti la tête haute de sa penderie pour le voir arrêté devant son balcon, les mains dans les poches, le regard perdu sur les gouttes d'eaux qui tombaient.

- Hm hm... se racla-t-elle la gorge pour avoir toute son attention et elle l'eût, quand elle le vit couler un regard plus que dénudant sur chaque partie de son corps qui était couverte de chaire de poule

- Putain... murmura-t-il face à cette image

Elle n'avait pas idée de tout ce qu'elle possédait... se dit-il en la regardant marcher jusqu'à son lit, avec tout son corps en mouvement.

Il vit à peine ses roulements de hanches avant qu'elle ne s'asseye et cette nuisette noire allait sûrement lui rester en tête, car normalement, elle n'était pas près du corps, mais plutôt évasée, et elle, avec ses formes, en avaient créé toute autre histoire.

Elle le vit s'assoir des minutes plus tard sur un canapé pas loin du lit, tandis qu'elle ne voulait pas lui parler.

Il savait qu'elle lui en voulait et allait se rattraper.

- Je sais que vous croyez que je vous ait menti...

- Parce que ce n'est pas le cas ?

- Non... Je n'avais plus de relation avec cette jeune femme, c'est juste que je n'avais pas eut le temps d'officialiser.

- Ce n'est pas ce qui paraissait quand elle parlait.

- Pourtant c'est vrai

- Elle semble être de votre genre, de votre catégorie

- En aucun cas. 

- Pourtant elle est votre copine

- Ex-amante.

- Vous en avez eut des centaines, j'imagine

- Là n'est pas la question. Me pardonnez-vous ?

- Non.

- Mais

- Je vous pardonnerai à une condition.

- Laquelle ?

- Je veux que vous m'appreniez à nager... dit-elle toute innocente les joues rouges

Il expira d'abord et en réfléchit. Après bon, ça pourrait...

- D'accord... dit-il en se levant avant de la réceptionner. Elle était très câline... comprit-il

Elle lui chuchotait tout plein de merci toute heureuse, avant qu'un tonnerre ne se fasse entendre

Il évitait de penser à ses formes

Elle le serra encore plus, avant que la pluie ne se fasse maintenant forte

- Restez dormir avec moi... dit-elle entre ses bras

- Vous êtes sûre ? Demanda Adolf en réprimant toutes ses idées perverses, car elle le lui demandait innocemment sans arrière-pensée

- Oui, il fait un peu trop froid et la chambre est beaucoup trop grande pour que j'y dorme seule avec cette pluie et ces grondements de tonnerre

Dans quel pétrin suis-je venu me mettre?? ! Pourrais-je dormir à côté de cette tentation sans rien tenter??

Il ne le savait, mais elle semblait si douce et si accrochée à lui, qu'il ne put qu'accepter dans une expiration remplie d'appréhension, car cette nuit pourrait être longue.

Très longue même... ajouta la voix de la raison

La Sans Abri Et Le Milliardaire Allemand Où les histoires vivent. Découvrez maintenant