La Sans Abri Et Le Milliardaire Allemand

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Adolf n'avait pas eut d'autre choix que de prendre une bonne douche froide pour essayer de reprendre ses idées, car cette jeune femme savait jouer sur ses sens, sans même s'en rendre compte

Il pouvait sentir ce parfum de douce fleur, ces yeux gris timide, cette poitrine renfermée et ces fesses...

Jamais dans son milieu, il n'avait eu affaire à une femme avec autant de chaire et ce n'était pas pour lui déplaire bien au contraire... surtout si c'était Leene, car en plus d'avoir cette beauté et toutes les bénédictions de mère-nature, elle avait une pureté et une sincérité sans faille.

Cette innocence... Elle était naturelle de la tête aux pieds. Il y avait qu'à voir comment tout bougeait quand elle était en mouvement

Il faut te reprendre Meyer ! Reprends-toi ! Elle est bien innocente et trop mignonne pour que tu fantasmes ainsi sur elle.

Mais son corps n'était pas de cet avis, c'est donc ainsi qu'il prit une seconde douche pour tout faire descendre et se changer les idées

Il pouvait voir sa montre afficher dix heures et quart de la journée et le temps qu'il pouvait voir de ses baies vitrées était beau et paraissait chaud, tandis que sa chambre était froide.

C'est dans une tenue décontractée comme d'habitude qu'il sortit une demi-heure plus tard de sa chambre pour la sienne, où elle devait sûrement l'attendre.

Il n'avait pas faux, car Leene avec tout plein de friandise qu'elle avait eût dans son frigo, attendait patiemment, alors qu'il commençait à faire chaud.

Il avait coupé la climatisation l'autre jour et elle n'y avait pas prêté attention vue la situation, mais maintenant qu'elle avait un soupçon de confiance en lui, elle pouvait lui parler un peu et allait même apprendre des choses sur lui et des questions, elle en avait ...

Adolf en rentrant dans cette chambre rempli de ce parfum féminin pouvait la voir assise dans son lit à grignoter et l'air rêveur, mais il faisait chaud

Il tourna son regard vers la clim et put voir qu'elle était éteinte d'où son empressement pour l'allumer et ce fut ainsi qu'elle se rendit compte de sa présence.

- Comment vous allez ? Et pourquoi n'avoir pas activé l'air conditionné ?

- Je ne savais pas comment faire.

- Maintenant, vous avez vu ?

- Oui...

- Bien, vous êtes prêtes ?

- Oui.

- On y va alors. Après vous

Et Leene se leva avec un petit gâteau en main, passant devant. Il la suivait en essayant de garder ses pensées ailleurs

Elle était loin de s'imaginer tout ceci dans une maison

La première chose de visible qui prenait une énorme place dans la propriété, c'était cette piscine

Elle avait même eut les larmes aux yeux, car c'était son rêve... de voir une piscine, d'y mettre le pied et pourquoi pas, tout le corps.

Elle avait vu le terrain de tennis, de golf, le beau jardin... tout était démesurée dans cette maison, y comprit le propriétaire et même les gardes.

Elle n'avait pas peur de celui devant la salle à manger, mais tous ceux dans la cour, c'était toute autre histoire.

Ils avaient des armes.