Leene s'était échappée une minute dans les toilettes, accompagnée par un garde d'Adolf qui était resté devant la porte à l'attendre
Elle se regardait dans la glace et était bien plus que belle. Elle souffla légèrement pour mieux répartir quand elle vit cette
- Alors petite. Tu fais grand bruit maintenant, tu sais... Cracha cette Khloé habillée comme à son habitude, un peu trop osée, mais restait belle. Admit Leene
Elle ne répondit rien et voulut tout simplement s'en aller, quand cette Khloé lui barra la route
- Alors sale trainée, on a perdu sa langue.
- Répète ça pour voir... siffla Leene dangereusement sans la lâcher du regard
- Je n'ai pas que ça à faire. Déchanta Khloé, se rappelant la gifle qu'elle avait déjà reçue.
Adolf se passera de toi et me reviendra ! Pour lui, tu n'es qu'une pétasse de bas étage, vu que mes enquêtes en France ont prouvé que tu n'es pas connu là-bas. Si j'étais toi, je profiterai de tout ce qu'il m'offre pour fuir et me reconstruire, parce que quand il se détachera de toi, tu retourneras dans ton pays sans un rond.
Il n'aime pas les filles avec autant de chaire, la preuve : Toutes ses ex sont mannequins, alors, que va-t-il faire d'une grosse pétasse commeCe fut l'insulte de trop qui fit bouillonner Leene qui la frappa si fort qu'elle en eut mal, avant de la saisir par le cou, pour mieux plonger sa tête dans un des lavabos en ouvrant l'eau, essuyant tout le maquillage qu'il y avait. Elle se débattait tant bien que mal, mais face à Leene, elle n'avait aucune chance
Khloé voyant qu'elle s'étouffait sous cette eau, tapait du mieux qu'elle pouvait, mais Leene semblait ne même pas la calculer
- Leene... laisse-la... Intervint Adolf tout doucement et comme si c'était lui qu'il fallait, elle la lâcha immédiatement
Khloé retomba lourdement au sol, reprenant tant bien que mal son souffle, tandis que Leene la regardait sans brancher
Adolf vint à khloé pour voir comment elle allait et put remarquer qu'elle avait déjà des marques sur son cou qui pourront lui permettre de porter plainte contre Leene
Il appela donc un des gardes pour la ramener à l'hôpital, avant de revenir à Leene.
- On en parlera une fois rentrée. Dit-il sans émotion avant de repartir
Elle avait fait une bêtise et il semblait vraiment fâché. C'est en se pinçant la lèvre qu'elle revint s'asseoir, mais
Pourquoi réagissait-il ainsi ? Se demandait-elle. Il aurait bien pu demander pourquoi elle avait réagi ainsi ou autre, mais au lieu de ça, il avait emmené l'autre à l'hôpital et n'avait même pas regardé pour voir si elle-même se portait bien.
Ce constat lui fit mal, car cette Khloé avait tout à fait raison, elle était une simple prostituée qu'il allait bientôt rapatrier chez elle.
Elle essuya cette larme douloureuse, essayant de se reprendre, avant de ressentir tout son intérieur brûler.
Elle prit ce jus qu'il y avait sur cette table et le bu d'un coup
Les ovations se terminèrent maintenant et cela semblait être définitif, vu que les mets arrivèrent.
Leene échangea sa place avec un couple qui ne refusa pas. De ce fait, elle était à deux chaises loin de lui et s'en portait bien. Il ne l'avait même pas regardé et n'avait même pas sut qu'elle avait changé de place.
Elle le vit se lever sans un regard en arrière pour aller prendre un appel
Ne pense plus à tout ça. De toute façon, j'ai vécu mes plus beaux moments ici, ça me restera en mémoire...
Elle vit l'entrée déposée royalement tout au centre de leur table
C'était un peu trop peut-être. Ils ne valaient même pas dix à cette table... remarqua-t-elle avant de le voir revenir
Elle se servit donc et commença à manger sans le regarder. Adolf voyant ce qu'elle avait fait, souffla avant de s'asseoir
Il prit juste un peu de cette entrée et mangea sans lui demander des comptes. Elle décida de ne pas en tenir compte
Il semblait bien heureux après ce coup de fil, remarqua tristement Leene. Il fallait qu'elle sorte
Elle commençait à se sentir de trop. Il ne la calculait pas et était plutôt concentré sur son téléphone à parler sûrement avec cette Khloé
Sur ce constat, elle se leva sans attirer l'attention et sorti en toute discrétion, disant aux gardes d'Adolf qu'elle partait prendre de l'air.
Elle avait tout laissé dans cette salle, chaussure, pochette contenant son téléphone. Si elle l'avait pu, elle aurait même laissé cette robe, là.
Personne ne s'était aperçue qu'elle pleurait avant de quitter la salle. Ça, c'était ce qu'elle croyait
Quand elle sortit complètement des environs, loin des yeux des gardes d'Adolf et de lui-même, elle se mit à courir. Elle ne savait pas où elle allait, mais le plus loin d'Adolf serait le mieux.
Elle avait pris le chemin opposé à celui qu'ils avaient pris expressément, et maintenant, elle était dans un parc
C'était très éclairé... Pouvait-elle constater et il y avait beaucoup de banc. Elle s'assit donc sur un et les larmes commençaient à sortir sans même qu'elle ne veuille
Elle commença à pleurer, secouée par des spasmes. Elle se sentait faible et étourdi d'un coup. Il fallait qu'elle se couche et sûrement demain, elle allait reprendre ses esprits
Habituée, elle se cherchait des cartons qui lui serviront de couverture contre le froid et put les trouver pas loin
Elle déposa sur le grand et long banc, et se referma avec
C'était assez agréable vu qu'elle en était habituée.
Ce n'est pas un mois passé dans le luxe qui va me faire oublier douze ans passés dans la rue.
Adolf planifiait avec le médecin qui soignait khloé, un plan qui était de la garder jusqu'à ce que ses marques finissent pour enfin la faire sortir. Ainsi, elle ne pourrait pas porter plainte contre Leene
En parlant d'elle, il fallait qu'ils aient une discutions d'adulte pour que Leene apprenne à se maîtriser, car cela pourrait lui poser un problème un de ces jours.
Il avait peut-être été un peu dur, mais ils en parleraient à la maison, sûrement à tête reposée. Même si elle devait lui en vouloir, il fallait aussi qu'elle sache qu'ici, c'était bien différent de la rue et il allait lui montrer, même s'il faudrait des mois, pour qu'elle n'accorde pas d'importance aux provocations... Surtout de Khloé.
Les repas terminés, c'était à lui de faire son discours pour clore la soirée
Elle n'était pas revenue. Ses gardes l'avaient informé du fait qu'elle disait aller prendre l'air quand il avait remarqué son absence il y a de cela cinq minutes.
Il alla faire son discourt sous les ovations de ceux présents se disant qu'elle allait sûrement venir d'une minute à l'autre, mais ce ne fut pas le cas.
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La Sans Abri Et Le Milliardaire Allemand
RomanceAdolf Meyer, propriétaire de AME multimilliardaire très prisé par les médias va faire la rencontre d'une française sans abris lors d'une visite familiale en France Cette rencontre n'aura rien d'une coïncidence car bien de chose changerons dans la vi...