La Sans Abri Et Le Milliardaire Allemand

● 11

Leene en sortant de son corps nu put voir une robe de douche, tout près

Elle y entra et s'essuya devant cet immense miroir, avant de sortir

Tout ici sentait le gel

Moi et le gel, c'est fini

Elle pouvait voir des vêtements sur son lit et des claquettes roses juste à côté, mais lui, n'était pas dans les environs

Elle s'habilla donc rapidement et avec ce doux vent qui entrait grâce au balcon, elle expira toute heureuse avant de sentir cette douce odeur près d'elle.

C'était alors un vêtement à lui.

C'est son pull.

Son parfum et le sien étaient en parfaite harmonie

Elle avait maintenant envie de grignoter...

Est-ce qu'elle pouvait ici ? Elle ne le savait, mais allait peut-être lui demander s'il venait

Elle se sentait si propre que ça en devenait limite choquant

Elle sentait sa peau respirer et devenir encore plus lisse, tandis que ses cheveux étaient enfermés dans une serviette

L'air conditionné était coupé, mais l'air provenant du balcon était si frais, si doux et cette odeur de fleur qui parvenait jusqu'à elle, l'apaisait beaucoup.

Elle était assise sur ce lit, souriant en pensant à cette vie. N'était-elle pas au paradis ? Sinon, comment se faisait-il qu'un homme comme lui existe et ait tout ça comme maison, en ayant une bonne fin pour elle ?

- Vous êtes prête ?

À cette voix, elle frémit avant de revenir à elle.

Il était dans un jean et un polo qui mettait en valeur cette poitrine musclée

Qu'est-ce que c'est que toutes ces pensées

- Oui... Répondit-elle pour couper court

Adolf réprimant cet effet dévastateur dans tout son corps suite à cette vue et ce doux parfum de fleur qui avait rempli cette chambre, était étonné de pareille beauté sans artifice, en plus de cela, elle était toute belle dans son pull qui lui atteignait les genoux

Cette fierté qu'il ressentait était inexplicable.

- Après vous... Dit-il en lui laissant le passage et c'est en oubliant sa serviette sur la tête qu'elle se leva, prête pour sa visite guidée

- Je crois que... Et sans terminer, il lui retira la serviette pour s'extasier devant cette chevelure qui semblait ne point cesser de descendre

Il regardait cette descente jusqu'à ses mollets et en fut plus que choqué

- Whaou... murmura-t-il et c'est en se pinçant les lèvres, un peu gênée, qu'elle attacha ses cheveux le plus rapidement possible, mais il l'en empêcha.
Je crois qu'ils ont été assez attachés comme ça... Lui dit-il d'un regard qui se voulait rassurant

C'est donc ainsi qu'ils sortirent tous les deux de sa chambre pour tomber sur un couloir

Tout était blanc, les lumières étaient très fortes, ce qui n'était pas pour la déplaire

Ils marchèrent côte à côte, tandis qu'elle avait le regard perdu sur ces mûres blanc. C'était très luxueux... pouvait-elle constater, vu le marbre qui recouvrait le sol