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Adolf voulu se calmer quand elle-même recommença encore ses déhanchements

Il lui retira d'un coup son dernier sous-vêtement et retira son pantalon léger à une vitesse déconcertante et sans crier gare, la pénétra dans toute sa grandeur.

Il l'entendit gémir au fur et à mesure, et ses gémissements montaient vraiment haut

Il tomba lourdement sur son lit en la ramenant à lui, tandis que Leene croirait mourir de plaisir

Il captura ses lèvres et commença ses longs va-et-vient en la soulevant de lui-même, ce qui décupla en mille, leurs plaisirs, car, Leene bougeait du mieux qu'elle pouvait, envahi par tant de bonheur et de plaisir.

- Vas-y... murmura-t-elle entre deux gémissements, le sentant se retenir

- Je ne veux pas te faire mal... se justifia Adolf en la regardant droit dans les yeux, sans arrêter ses coups de butoir maintenant ralentis, mais qui la faisait gémir, si bien qu'il la retourna pour prendre le dessus

- Vas-y... redit-elle confiante en le fixant

- T'en est sûre ?

- Plus que sûre... Murmura-t-elle en l'embrassant pour la première fois d'elle-même, ce qui lui fit plaisir. Il ne mit pas plus d'une minute avant de répondre et de commencer ses va-et-vient

Il la retourna et la mit en quatre pattes sur son lit, avant de la pilonner comme il avait toujours rêvé de le faire.

Le bruit des perles en or qu'il avait acheté pour elle, se mêlait parfaitement au son produit par leurs deux corps lorsqu'ils entrèrent en collision.

Leene était si remplie et étouffée par le plaisir qu'elle eût les larmes aux yeux

C'était si bon, si sexuel, si câlin en même temps, vu comment il lui tenait la hanche et ses coups de rein précis en elle, pouvait la faire jouir comme malade, mais elle se retenait, voulant profiter de ce plaisir encore longtemps, tandis que tout son corps était submergé par les décharges électriques

Elle gémissait si fort et en même temps de façon si excitante, qu'Adolf accélérait à chaque fois, jusqu'à l'emmener à un orgasme explosif qui eut raison de ses cordes vocales, tandis qu'Adolf jouissait comme fou en elle, se retenant de grogner lourdement, préférant lui laisser le temps.

Il se coucha tout près d'elle, la voyant redescendre petit à petit, avant de la ramener à lui pour mieux éteindre les faibles lumières et ramener le drap sur leurs deux corps maintenant trempé.

Leene épuisée maintenant, passa ses jambes tout autour de celle d'Adolf, avant de sombrer et lui aussi, en lui caressant les cuisses, sombra, tout heureux.

*

Deux jours avaient passé et Leene commençait à s'habituer à cette vie.

Il lui avait remis son téléphone dans lequel elle avait pu voir tout plein de jeu, de nouvelles applications qu'il lui avait expliquées en fond et en large.

Elle ne sortait pas et avait seulement le numéro d'Adolf qui chaque soir, lui donnait ses cours de natation après le travail.

Elle restait dans sa chambre, du moins dans leur chambre avec sa petite peluche, à regarder la télé ou à jouer tout plein de jeu.

Il lui avait dit de ne pas aller sur les réseaux sociaux, car trop de chose s'y disait et elle l'avait bien-sûr écouté. Tout ça ne lui disait rien, du moment qu'elle était avec lui.

C'était demain leur dîner de fin d'année qui était vraiment important pour lui.

En effet, Adolf Meyer organisait à chaque fin du cycle pour les étudiants de l'AME school, une fête où tous les étudiants venaient et les meilleurs, récompensés, pouvaient s'entretenir avec lui. De ce fait, tous les élèves se donnaient corps et âme pour faire aux moins partir du top dix, afin de parler au grand entrepreneur Adolf Meyer, leur fondateur.

Quand il lui avait dit cela, elle avait un peu tiqué vu qu'il n'y était jamais allé avec une femme. Elle sera la première. En plus, elle ne comprenait rien en allemand et avait peur d'être un peu le centre d'attention.

Il l'avait bien-sûr rassuré, mais elle craignait toujours... après tout, il n'était pas n'importe qui dans ce pays, il y aura la presse surtout.

- Il faut décompresser... souffla-t-elle en se levant du canapé pour piocher dans le frigo, des friandises qu'Adolf avait remplies spécialement pour elle.

Adolf travaillait dans le salon privé qui se trouvait juste à l'étage précédent.  Elle avait pu y voir toutes les vidéos des caméras de surveillance et il fallait le dire, il avait les yeux partout.

Même actuellement, il la regardait et elle le savait.

En effet, Adolf, tout en travaillant, avait en même temps une image de Leene qui ne s'ennuyait jamais. Surtout qu'elle était tout le temps en train de jouer au jeu en ligne ou devant une émission française, parfois repérant des nouveaux concepts pour ses projets futurs en France, qu'elle allait lui soumettre.

Il avait mis la télé en français juste pour elle, de ce fait, elle savait tout ce qu'il se passait dans le monde et était du genre à mater les documentaires.

Demain serait un grand jour pour tous les deux, car une fois que la presse les verra, ça fera grand bruit, surtout qu'aucune de ses amantes n'avaient eût droit à ça, malgré qu'elles étaient connues du public, toutefois, il le fallait. Elle, elle n'était pas n'importe qui, elle, c'était sa compagne, celle qu'il aimait...

Non, n'abusons pas.

La Sans Abri Et Le Milliardaire Allemand Où les histoires vivent. Découvrez maintenant