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- C'est beau ici... dit Leene éblouie par la grandeur des lieux

- Oui, qu'est-ce qu'on va faire en premier ?

- Goûter des pâtisseries... dit-elle toute souriante comme une enfant, ce qui le fit sourire

- D'accord... dit-il en la guidant vers une pâtisserie

C'est avec stupéfaction que le vendeur reconnu Adolf

- Bonsoir monsieur Meyer, c'est un plaisir de vous recevoir ici. Mademoiselle... 

Leene sourit poliment, avant qu'Adolf ne prenne la parole

- Que prendras-tu ?

- Gâteau chocolat et glace à la vanille supplément biscuit. J'ai toujours rêvé mélanger tout ça... dit-elle, les joues rouges, toute souriante

Adolf cacha son étonnement et le fit comprendre aux vendeurs en allemand

- Pose-toi là... lui dit Adolf, mais elle fit la sourde oreille, ayant l'impression qu'il n'allait pas rester près d'elle

- J'ai oublié de donner ma commande chérie, je ne vais pas tarder... la rassura Adolf.
En plus, tout est truffé de mes gardes qui te regarde et te surveille. Je peux te garantir que ce sera bien vide jusqu'à ce qu'on reparte.

Elle lui sourit soulagée et heureuse de ne pas être en contact avec des inconnus et le regarda partir.

En plus il y avait vraiment des gardes un peu partout, et le peu de personne qui étaient dans le centre commercial, semblait ne pas être du genre à faire dans la pâtisserie.

Pour un endroit aussi grand, il y avait très peu de personne... remarqua Leene, pourtant, c'était très accueillant et rempli de ce rose bonbon.

Elle sortit de sa torpeur par cette voix rauque des minutes plus tard et put voir que c'était lui

- Ils t'ont mis la glace là et une part de gâteaux chocolat là, pour que tu ne sois pas encombrée avec... lui dit-il et elle lui sourit grandement, récupérant ce qui lui était dû.

- Merci... murmura-t-elle en dégustant.
Tu ne prends rien ? Je peux partager si tu veux... lui dit-elle innocemment ce qui le fit sourire légèrement

Même sourire lui était devenu naturel avec elle, tant elle était remplie de cette pureté d'enfant

Il se rapprocha donc de la plus sexy des manières ce qui la fit rougir, tandis qu'elle regardait un peu partout pour voir qui pouvait les voir.

- Il faut dire que, je préfère t'avoir pour le dessert... murmura-t-il en lui mordillant le lobe de son oreille

- Hé ! On peut nous voir... dit-elle rouge comme une tomate

- Ce sont tes rougeurs qui nous trahiront... dit-il dans un rire de gorge, avant de se pincer les lèvres

Elle le regardait et avait cette envie de l'embrasser, mais sa timidité la tétanisait donc, elle préféra terminer son gâteau et sa glace qui étaient bien plus que succulents.

- T'aimes à ce que je vois... lui dit-il en constatant qu'elle avait tout dévoré

- Ils sont vraiment délicieux, j'ai l'impression que tout ici, est parfait, même les pâtisseries.

- Et c'est vrai... répondit-il

Ils eurent la visite du propriétaire, celui qui les avait accueillis. C'était un homme assez âgé qui semblait vraiment gentil

- Tu peux lui dire que je trouve vraiment ses pâtisseries délicieuses s'il te plaît ? Lui demanda Leene ne pouvant le dire en allemand et il le fit

Elle eut un sourire du monsieur plus que ravis qui

- Il te remercie beaucoup... l'informa Adolf et elle lui sourit en inclinant la tête

Elle put voir l'homme écarquiller des yeux grandement, quand Adolf lui remit un chèque

Il commença à la remercier et elle le sut, car il semblait vraiment ému et heureux

- On y va chérie... lui dit Adolf et elle sourit au propriétaire, avant de prendre devant, tandis qu'Adolf recevait les mille merci du pâtissier

Effectivement, Adolf avait fait un chèque de quelque millier d'euros pour les pâtisseries de Leene vu comment elle avait aimé.

Il le méritait. Il avait besoin de soutien surtout qu'il était responsable du vide dans sa pâtisserie, même si l'argent qu'il lui avait donné faisait ses bénéfices par an.

- On part où? Demanda Adolf

- M'acheter des pantalons?? Demanda-t-elle

- Non. Je préfère des jupes ou des robes... dit-il tranquillement

- C'est bien moi qui les porte non ? Demanda-t-elle dans un sourire

- Et c'est moi qui vais les enlever... Dit-il dans un rire de gorge, ce qui la fit rire, avant qu'il ne la conduise vers un grand magasin de vêtements qui semblait vraiment chère

Ils rentrèrent ainsi dans cet énorme magasin accueillit par un jeune homme qui tout de suite reconnu Adolf, mais fut bien plus intéressée par Leene et malheureusement pour lui, Adolf le vit.

- Reposez encore vos yeux sur elle de cette manière et je ferai de vous un chômeur. Le plus pauvre qui soit... siffla dangereusement Adolf en s'adressant au jeune qui, immédiatement, frémit avant de se racler la gorge pour se reprendre.

- Désolé monsieur Meyer... dit le jeune homme avant de partir rapidement

Leene ne comprenant rien le lui fit savoir par un regard, mais il lui répondit d'un regard rassurant que tout allait bien

- Va faire tes choix, je t'attendrai là... lui dit-il en lui indiquant une cabine privée où certainement, ils allaient être seuls

Ce fut donc ainsi qu'ils passèrent leur journée et Adolf en avait profité, car il pouvait la voir découvrir de nouvelles choses qui la faisait sourire et la rendait heureuse, et pour lui, c'était ça le plus important

Qu'elle soit heureuse.

La Sans Abri Et Le Milliardaire Allemand Où les histoires vivent. Découvrez maintenant