La Sans Abri Et Le Milliardaire Allemand

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Un mois était passé et Leene et Adolf s'étaient mariés dans la plus grande discrétion, avec Lydia et monsieur schaëfer qui avaient été là ainsi que les parents d'Adolf.

Leene pour sa pureté et sa simplicité s'entendait merveilleusement bien avec madame Meyer qui était de loin, la plus belle femme qu'elle ait vue, âgée. Monsieur Meyer qui représentait dignement Adolf en grandeur, avait été très heureux de l'accompagner à l'autel le jour du mariage

Elle se le rappellera sûrement toute sa vie. Sa belle famille lui avait offert une immense SUV en plus de sa voiture à elle qu'Adolf avait acheté. Monsieur schaëfer s'était bien-sûr chargé du gâteau de mariage que Leene avait dégusté patiemment et aujourd'hui était leur première semaine en tant que Mari et femme

Elle était madame Meyer, en tête de tous les magazines et parlait allemand peu à peu avec l'aide d'Adolf et de Lydia.

- Si tu savais comment je suis heureuse... murmurait Leene à Adolf

Il lui vola un baiser avant de l'attirer à lui

- Moi, je le suis encore plus, madame Meyer... murmura-t-il près de ses lèvres

Elle lui sourit grandement avant de l'embrasser langoureusement et de se détacher sous les grognements désapprobateurs d'Adolf qui aurait bien voulu approfondir leur baiser.

- Je suis prête... lui dit-elle

- À quoi chérie ? Demanda Adolf en se redressant avant de comprendre.

Il lui sourit de façon attentionnée avant de lui caresser la joue

- On ira demain alors et ainsi au retour, on ira en lune de miel. Tout est déjà prêt pour la lune de miel

Leene lui sourit avant de venir se peloter contre lui

- Je t'aime... murmura-t-elle

- Moi aussi chérie. Moi aussi.

Ils passèrent toute leur soirée à ranger quelques affaires, du moins c'était Leene qui préparait leurs valises, tandis qu'Adolf était au téléphone.

Elle était prête à affronter sa vie passée et à venir en aide à tous ceux de son ancien quartier. Elle était maintenant madame Meyer et selon les dits d'Adolf, avait des millions et des millions sur sa carte bancaire. Ce serait certainement suffisant pour le projet qu'elle avait... d'aider les jeunes de sa communauté.

- À quoi penses-tu ? Demanda Adolf juste derrière elle maintenant, avant de descendre dans son cou pour y déposer des baisers

- À demain... Je veux vraiment les aider, tu sais... murmura Leene en fermant leur valise

- Je sais bébé et on fera tout pour que tu sois heureuse... lui dit Adolf en lui faisant un baiser sur la joue

Elle se retourna pour lui sourire amoureusement, fière d'avoir un homme, un homme qui était sien maintenant et pour qui elle serait prête à tout.

- J'ai trop envie de toi chérie. Qu'est-ce que c'est que cette punition ! . Ça fait deux semaines ! Se plaignit Adolf en dirigeant dangereusement ses mains vers les fesses de Leene qui luttait de toutes ses forces

- On le fera lors de notre lune de miel chéri... renchérit Leene

- Mais moi, je n'en peux plus !

Dans un rire moqueur typiquement féminin, elle le conduisit à leur lit et s'y installa, avant qu'il ne vienne se coucher sur ses jambes totalement à bout.

- Tu verras ça en vaudra la peine... lui murmura Leene les mains dans ses cheveux, alors qu'il boudait, ce qui la fit rire légèrement

Ils terminèrent leur soirée dans la bonne humeur et l'amour, ayant toujours cette dévotion l'un pour l'autre

Le lendemain matin, ils furent prêts pour leur voyage en France qui se terminera par leur lune de miel dans le lieu qu'Adolf avait dit : Surprise

Elle était pressée d'être à leur lune de miel et avait beaucoup à faire pour rendre son homme fou... 

- On peut y aller, ils sont là... l'informa Adolf, tandis qu'on venait prendre leurs affaires.

Leene appréhendait déjà son retour, mais reçut la main de son homme qui la rassura d'un regard, disant qu'il sera toujours là, ce qui lui fit véritablement plaisir

Ils descendirent donc ensemble, où Adolf la conduisit à leur jet

C'est non sans avoir peur que Leene monta, mais une fois à l'intérieur, c'était tout comme une immense maison luxueuse... petite, mais très luxueuse.

- C'est beau... murmura-t-elle avant de s'asseoir où Adolf le voulait

Il s'assit tout près d'elle et lui mit sa ceinture n'oubliant pas de la toucher du mieux qu'il pouvait ce qui fit sourire Leene.

- Tu n'en rates pas une toi ! Le sermonna-t-elle d'une tape, le faisant rire, avant qu'il ne s'asseye tout près d'elle et ne se mette la ceinture.

Bien installés, ils entendirent le pilote annoncer leur décollage. Leene apeurée, reçue les mains réconfortantes de son tendre époux sur ses cuisses, sûrement pour la rassurer. Elle les serra tellement forts qu'il s'étonnait d'autant de force dans un si petit et joli corps

La vue qu'elle avait maintenant était époustouflante. Bien qu'elle ait le vertige, elle put regarder ne serait-ce qu'une minute dans les hublots et ce qu'elle vit, la fit sourire et en même temps, donna un coup de morose.

- Tout se passera bien chérie... Lui dit Adolf en lui caressant les mains

- Tu me le promets ?

- Oui mon amour, je te le promets... répondit Adolf en l'attirant à lui après l'avoir détachée, pour mieux la prendre dans ses bras, pour un doux et chaud câlin qui eut raison d'elle

Leene se sentait soulever et entendait des voix, mais le voyage l'avait complètement achevée. Elle se sentait lourde et épuisée. Certainement l'effet de l'avion. Sur ce constat, elle se laissa dans les mains de Morphée pour quelque temps de repos, impatiente d'être dans son pays, dans sa ville, dans son quartier, pour voir et aider ceux qui l'avaient donné, un toit pour vivre