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Leene pouvait le sentir maintenant sur tout son corps, tandis qu'il l'embrassait si lentement

Elle ne savait même pas qu'elle savait embrasser

Elle profitait juste de ce moment. Il embrassait si bien.

Elle pouvait sentir ses lèvres sur les siennes et tout ce qu'elle ressentait là maintenant était vraiment doux.

Il se détacha encore d'elle pour lui laisser le temps de reprendre son souffle, tandis qu'elle avait les joues rouges et les lèvres légèrement enflées.

Elle les caressait de ses doigts comme pour s'assurer qu'elle ne rêvait pas, tandis que lui la regardait

Elle esquissa un petit sourire un peu gênée de ce qu'il venait de se passer, avant de baisser la tête toute rouge.

- T'es encore plus belle quand tu rougis... entendit-elle à son oreille

Il avait parlé si lentement et cet accent dans sa voix si rauque, eût raison une deuxième fois de sa peau, qui se recouvrit de poils dressés.

- Et tes lèvres sont si douces... continua-t-il

- Arrête... dit-elle dans un rire léger

- Je ne me lasserai jamais de te regarder.

- Je pense bien.

- Pourquoi ?

- Juste par ta façon de me regarder... répondit-elle d'une petite voix

- Et comment je te regarde ? Demanda-t-il sournoisement en redressant sa tête de son indexe

- Comme tu le fais maintenant... dit Leene les joues rouges

- Vient là. Et à cet appel, elle se logea immédiatement dans ses bras pour un long et doux câlin

Elle était si petite contre lui, avec tous ses abdos et ce large torse. En même temps, elle se sentait si bien.

Il la tenait précieusement, le menton sur ses cheveux, qui étaient fermés dans un chignon.

Depuis quand il était devenu si câlin ?

Lui-même ne le savait, mais si c'était avec elle, il demandait juste à voir comment elle allait le changer positivement vu que déjà, il n'était pas sur son ordinateur à travailler, était maintenant toujours de bonne humeur et là, il découvrait ce côté câlin en lui.

- On va sur les transats ?

- Oui si tu veux... répondit-elle timidement et des minutes plus tard, elle était entre ses jambes avec un peignoir et des amuses-bouches à parler avec lui... comme le feront deux personnes adultes... qui s'aiment.

N'exagérons pas... 

N'exagérons pas.

- Qu'est-ce que tu as toujours voulu faire ? Demanda Adolf avant de dégager lentement le peignoir, pour avoir accès à ses cuisses, pour y déposer des douces et lentes caresses

Oui. Il semble avoir des caprices qui me plaise.

- Il faut dire qu'avant, je rêvais de travailler dans une entreprise, avoir une famille et tout mais... 

- Mais rien chérie. Pour la famille, je pense pouvoir me débrouiller

- C'est vrai ? Demanda Leene un peu trop choquée ce qui ne passa pas inaperçu chez Adolf

La Sans Abri Et Le Milliardaire Allemand Où les histoires vivent. Découvrez maintenant