[ce chapitre a partiellement été modifié et corrigé]
Chapitre 31
Le voyage de retour à la Louisiane fut plus paisible. Elle essaya de pendre avantage du onze heures de temps qu’elle allait passer avec lui dans l’avion parce que dès qu’elle arrivera aux états Unis, personne ne doit savoir qu’elle était dans une relation. Cela peut causer une contradiction avec le procès. Gina ne voyait comment cela allait être possible. Avec la presse qui suivait chacun de ses pas, elle doute que cela va rester dans le noir.
Quand l’avion atterrit, ils échangèrent un dernier baiser. Nicolas les attendait au pied de l’avion.
- Bonjour Nicolas, dit Gina.
- Bonjour, répondit-il. Il prit leur bagage et les guida à la voiture.
- Alors qu’est-ce qu’on a de prévu pour aujourd’hui ?, demanda-t-elle quand ils furent dedans. Jason et Gina étaient assis sur la banquette de derrière et Nicolas était devant avec le chauffeur.
- Tu as une réunion à midi avec patron…
- A propos de quoi, demanda-t-elle
- Il ne m’a pas dit. Et après, vous devez aller à l’hôpital.
Gina ne répondit rien. Jason chercha sa main. Il la tint et la serra. Puis, Nicolas continua.
- Monsieur Di Santiago, votre père m’a chargé de vous faire savoir qu’il a une réunion urgente aujourd’hui à la compagnie. Ce sera aussi à midi.
Ils arrivèrent dans la maison de haute sécurité et après les avoir déposés, Nicolas partit.
- Gina, il y a un petit problème.
- Quoi ?, elle demanda en ouvrant le réfrigérateur.
- Il se peut que je ne sois pas capable de venir avec toi à l’hôpital.
- Pourquoi, ta réunion est à midi, ça te donneras assez de temps de venir me rencontrer à l’hôpital à deux heures.
- C’est le problème, ces genres de réunion urgente des fois prennent des heures…
- Ça ne fait rien…, dit-elle d’un ton sec.
Jason vint vers elle et l’enlaça. Il embrassa sur le front et lui ajouta :
- Ecoute, ne t’en fais, je ferai de tout mon possible.
- Même si tu ne viens pas, je serai que ce n’était pas ta faute.
***
Ce fut l’heure pour eux d’aller à leur réunion respective. Gina arriva dans le département de police et se rendit dans son bureau. Elle fut surprise par la montagne de rapports qu’elle avait à faire. Elle se rendit alors dans le bureau de Jackson. Celui-ci était assis à son bureau et était penché trop prêt de l’écran de son ordinateur.
- Jackson ! pourquoi es-tu si prêt et l’écran ?
- Parce que je ne peux pas croire ce que je vois ?
Il tourna l’écran vers elle et elle vit une photo d’elle et de Jason qui se tenait la main.
Oups, elle pensa
- Gina, tu sais que cela peut t’empêcher de témoigner comme l’investigateur dans le procès ?
- Oui, mais je peux toujours aller comme un témoin.
Après un moment de silence, il demanda.
- Tu es sure que tu veux une relation avec lui ? Tu avais bien dit qu’il était qu’un être arrogant et …
- Je sais ce que j’avais dit, coupa-t-elle, mais c’était avant que j’ai connu le vrai lui. Il est actuellement sympa, charmant et...
- Assez, je ne veux vraiment pas entendre parler de ces qualités !
- Quelqu’un est jaloux, dit-il avec un sourire.
- Non pas vraiment, je sais que personne ne peut me voler ma Gina… je suis passé chez Nana quelques jours de cela.
- Elle va bien ?
- Oui, elle m’a donné un bocal de mes bonbons favoris.
- Je dois lui dire d’arrêter de te gâter avec ces bonbons…
- N’y pense même pas ! s’écria-t-il. Les bonbons sont à moi. Tu m’as déjà défendu de manger les beignets. En plus, elle les fait en accord avec mon cas diabétique. Parlant de ce qui est à moi, mon grappa ?
- C’est dans mon sac. Promets-moi que tu ne vas en excéder.
- D’accord.
Quelqu’un frappa légèrement à la porte et entra. C’était la secrétaire de Jackson.
- C’est l’heure monsieur, elle dit.
- Déjà ! s’étonna Jackson.
Il se leva de sa chaise et dit :
- Il est temps de partir Gina.
Sans riposter, Gina se leva et suivit Jackson avec un cœur lourd.
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"Le" Protégé
RomanceEtre celle responsable pour protéger un homme fameux et arrogant en verge d'être assassiné n'était pas une tache facile, surtout quand il semble ne pas se soucier de sa propre vie. Enjoy J'espère qu'elle vous plaira et n'oubliez pas de comm...