Semblant de vengeance.

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Ça allait faire deux semaines.
Deux semaines que je restais enfermé dans cette salle blanche et angoissante.
Deux semaines que j'étais suivie par des psy complètement inutiles à mes yeux. Car je n'arrivais pas à m'exprimer. Obito parlait pour moi des fois. Il savait très bien que j'étais incapable de dire quoi que ce soit.

Deux semaines où je pensais sans cesse à la haine que j'avais contre la rousse.

Je fus sortis de mon état de distraction lorsque quelqu'un frappa à ma porte. Je donnai l'autorisation de rentrer, m'attendant à du personnel médical ou Obito.

- Salut, Yumeko.

Je fus d'abord surprise de reconnaitre cette voix aigue et particulièrement énervante, et je n'avais aucune envie de la voire elle.

(Nda: Dans les dialogue suivant, beaucoup de mots pas super gentils vont sortir. Du coup si vous avez un problème avec tout ça, ou que vous êtes pas du genre violence, allez jusqu'au prochain texte en gras souligné.)

- Tiens voila la comédienne.

- Wow, quel imagination pour le surnom. J'aurais imaginé mieux de ta part, je suis sure que tu n'arrêtais pas d'en chercher.

- J'avais pas envie de t'appeler sale chienne, ça serait trop peu pour toi, tu es inférieure à un animal.

- Mais c'est que elle est pas contente la mutilée ! J'ai peur ! Elle prit une pause dramatiquement apeurée.

Je serrai le poing et sortis de mon lit, la regardant avec des yeux noirs.

- Dit moi petite pute, je t'avais pas prévenus d'un truc ?

- Non. Répondit-elle, dédaigneuse. 

- Je ne t'ai jamais dis: "les os sont faciles à briser ?"

Elle recula un petit peu, son expression avait drastiquement changée, se souvenant sans doute que je restais une ninja entrainée et que j'avais fais partie de l'Anbu, je m'approchai d'elle jusqu'à qu'elle se prenne le mur. Son regard terrifiée me fis faire un petit sourire sadique.

- Qu'est-ce que je pourrais briser ?.. Les chevilles ? Le bras ?..Pourquoi pas la mâchoire pour accentué ta tronche dégelasse.

- Non ! Arrête, sale monstre !

- Un monstre, moi ? Tu t'ai vu salope ?! Ce que je m'apprête à faire n'est même pas un millième de ce que tu mérites.

Je lui mis un gros coup de genoux à l'entre-jambe, elle tomba par terre.  Je lui mis un autre coup dans le ventre. Elle poussa un cri, mais je posai ma main sur sa bouche pour le couvrir.

- Souffre en silence. Lui soufflais-je dans l'oreille.

- A..Arrête ! Kaka-Kakashi ne va pas être content !

Je lâchai un petit rire narquois et enlevai ma main.

- Hatake ? Voyons, il en a rien à foutre de toi. Arrête de te baser sur tes "amours" toxiques et forcées.

- Non ! Il m'aime !

- Vraiment ? Je ne trouve aucune lueur dans ses yeux.

- Ne ments pas ! Il m'aime, je le sais !

- S'enfoncer dans son propre mensonge, c'est triste. C'est toi qui devait être enfermée dans un hôpital, de nous deux, c'est toi la plus folle.

Je souris et concentrai tout mon chakra dans mon pied avant de lui mettre un violent coup dans la cheville, on entendit un gros "crak" qui raisonnait dans la pièce immaculée. Je lui mis un bout de tissus dans la bouche avant qu'elle ne cri. Elle pleurait à chaud de larme.

- Arrête !

- Tu vois l'équivalent de ma souffrance ? Et encore, je suis gentille. Si je peux te montrer la souffrance mentale que tu m'as fais endurer par la douleur physique, ça serait parfait !

Je lui remis un coup.
Mais cette fois on entendis son cri.

- Bordel mais t'es en train d'accoucher ou comment ça se passe la Yume-.. Heu..

- Oh tiens Obito ! Ça te dis une séance de torture ?

- Oh bordel, Yumeko, calme toi ou ça va encore retomber sur toi !

Il s'approcha de moi et m'éloigna de ma petite victime.

(Nda: Vous pouvez relire !)

- Obito ! Sauve moi ! Elle, elle est folle ! Aiko semblait supplier réellement mon ami.

- Oh t'inquiète pas, je la connais mieux que tout le monde. Mais bon, des fois, elle est vachement flippante. Il me jeta un sac de dango à la figure. Je le récupérai et allai m'assoir sur mon lit pour manger une brochette.

Obito se retourna vers moi.

- Tu lui a pété la cheville ?!

- Oui, et ? Je te rappelle que cette.. Chose le mérite. J'aurais pus la jeter du deuxième étage aussi, j'ai hésité tu sais ! Faut bien que le karma fasse son travail un jour.

- Non rien.. Laisse..

Quand on se retourna, on vit Aiko ramper jusqu'à la porte avant de s'aider de la poignée pour se lever et partir en boitant chercher un infirmier en criant sa pauvre petite douleur.

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Oof.

Se chapitre es treeeees court ^^'

Je n'ai plus beaucoup d'inspi en se moment ^^'..

Je sais ou je veux que l'histoire aille mais aucune idée de comment la faire aller jusqu'à la..

Du coup les chapitres seront surement assez court..

Breef ! A mercredi !

Une larme, Un sourir. (En correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant