Bonsoir,
J'espère que vous allez bien.
Je vous écris ce petit message pour vous remercier pour cette année passée avec vous. Je ne saurais comment vous remercier pour vos innombrables messages de soutiens, d'affections et d'amour. J'espère que cette aventure va continuer et que j'arriverai à vous surprendre à nouveau. Beaucoup d'entre vous ne possède pas Instagram, alors je tenais à vous souhaiter un bon réveillon, et surtout que l'année 2021 soit meilleure.
Je vous embrasse fort, prenez soin de vous.
Je préviens, le chapitre ci-dessous est très hot...
Bonne lecture à tous...
Quand la lumière éclaira la pièce Lydia cligna plusieurs des yeux comme si elle venait de se réveiller. D'abord éblouie, elle jeta un regard circulaire autour d'elle en faisant un tour sur elle-même. Les murs étaient recouvert d'un tissu de velours rouge, deux canapés en cuir noir trônaient au centre de la pièce ainsi qu'un lit, dont les draps étaient soigneusement allongés sur le matelas comme si jamais personne ne s'était glissé dedans.
- Regarde-moi Lydia.
Assaillie par une nouvelle vague de chaleur Lydia se retourna pour lui faire face. Son cœur se mit à battre à la chamade à la simple idée d'être seule avec lui, seule, dans cette pièce qu'il avait scellée à double tours.
Son regard était fermé, il l'observait attentivement comme s'il cherchait à lire dans ses pensées.
- Tu veux que nous parlions de ce que tu as fait à cet homme ? Demanda Lydia pour briser la glace.
- En effet oui, répondit-il en se passant une main sur le visage.
- Je n'ai rien à te dire Vladimir, il s'agit de ta vie, je...
- Je ne veux pas que tu me perçoive comme un monstre, la coupa-t-il brutalement.
- Pourtant tu n'arrêtes pas de répéter que tu en es un, lui fit-elle remarquer.
Il émit un petit rire rêche.
- Parce que c'est le cas mais pour une raison que j'ignore je ne supporte pas que tu me regardes comme un monstre.
Lydia se pinça les lèvres avant de répondre.
- Tu fais partie de la mafia, et comme tu me l'as dit, moins j'en sais mieux je me porte.
Lydia traversa la pièce pour glisser son index sur le haut du canapé en cuir.
- Sergeï m'a dit que tu l'avais laissé en vie à cause de moi est-ce que c'est vrai ?
- Si tu n'avais pas été là je l'aurais tué, fut sa seule réponse.
Elle glissa son regard sur lui. De marbre, les mâchoires serrées il n'avait pas bougé d'un millimètre.
- Je suis plutôt fière d'apprendre que je suis la raison qui t'a poussé à le laisser en vie, murmura-t-elle timidement.
De là, il s'avança, lentement.
- Mais il faut que tu saches qu'il y en aura d'autres, et que je n'ai pas l'intention de les épargner pour toi, la prévint-il d'une voix sombre qui annonçait clairement l'odeur du sang qui coulerait tôt ou tard.
Lydia inspira profondément. Il fallait qu'elle l'accepte et n'avait d'autre choix que d'affronter la réalité.
L'homme qui lui faisait battre le cœur était un tueur. Un mafieux impitoyable et qui pourtant arrivait à la rendre plus libre et la fois prisonnière. Les effluves de son parfum viril se mit à lui chatouiller les narines.
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Un fiévreux désir
RomanceLydia est étudiante en littérature et doit s'essayer à un exercice inédit en se glissant dans l'univers du journalisme. Elle tire au sort un sujet des plus complexes qui va l'embarquer dans un monde qu'elle n'aurait jamais soupçonné. Un monde dans l...