chapitre 24

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-J'adore! Grogna Karan en savourant lentement son pain au chocolat fait maison, tu cuisine très bien pourquoi tu n'as pas voulu en faire ton métier?

Ayanna prit une gorgé de son verre de lait.

-Je ne sais pas trop, j'ai toujour aimé cuisiner, mais je voulais faitre autre chose que la cuisine. Repondit-elle simplement.

Karan hocha la tête en finissant son pain au chocolat, en suite il prit une part de de crèpe souflé.

-Tu as raison sur ce point, généralement les gens ne choisisse pas leurs passion, mais plus tôt quelque chose qui va leurs apporter de l'argent.

-J'ai l'impression que tu travail beaucoup alors que même si tu te décidais de ne plus travailler aujourd'hui, ton compte en banque te nourira pendant tous les restant de tes jours. Lui dit Ayanna.

Karan soufla.

-Il y'a plusieurs raison à cela mlle Evans.

-Et....puis-je connaître ces raison mr Al Kadra? Demmanda t-elle.

Karan cessa tout mouvement, et regarda Ayanna dans les yeux.

-La colère, la haine, l'hummiliation, le dégoût, et tant d'autre raison. Repodit Karan d'une voix vibrante de colére.

Elle vennait de toucher une corde sensible, comprit Ayanna.

-Le travail acharné est un moyen d'évacuer tout ce resentit, et de ne plis penser à ça. Termina t-il en vidant son verre de jus de raisin cil sec.

Ayanna resta muette pendant un moment ne sachant quoi dire quand il quitta la table à manger sans un mot et alla se positionner face à la baie vitrée.

Elle se leva quelques instant aprés avoir repris ses ésprit, et décida de le rejoindre face a la baie vitrée qui donnait une magnifique vue du centre ville. Elle resta silencieuse pendant un moment.

-Tu veut en parler? Demmanda t-elle au bout d'un moment.

Elle l'entendit soupirer lourdement.

-Une vie de famille parfaite, des patents aimants, des enfants modéles, tout ça, ce n'est que dans les films qu'on vois ce genre de famille. Commença Karan a voix basse.

-Par contre, une famille dans la quelle la femme n'as pas hésité une seule seconde à fuir le père de ses enfants par soif d'argent, sans se préoccuper de ses enfants tout en pensant que c'était la meilleur chose à faire pour eux.

-Allors que ton nouveau mari te comble d'argent, derrière ton dos, il maltraite ton soit disant fils chéri, Coup de ceinture, noyade, insulte, rabaissement constant. Il eu un rire sec avant de poursuivre les yeux dans le vide. Il faut étre un ancien tueur pour maltraiter ainsi un enfant, et qu'en plus de cela, que sa propre mère qui le vois tout les jours ne puisse pas le remmarquer.

Ayanna ferma les yeux pour ne pas pleurer, et sera fortement la main de Karan qui resta de marbre face à son geste.

-Et le plus dûr dans tout ça c'est le fait que ça aie duré pendant des années, 15 années à endurer, 15 années à vouloir mourir une bonne fois pour toute, 15 années à avoir l'impression d'être bon à rien. Alors, dis moi, que vas-tu ressentir envers ce fils de pute qui t'as fait subir tout ça? Demmanda t-il à l'adresse de la jeune femme qui se trouvait prés de lui en se retournant pour la regarder dans les yeux.

Ayanna secoua silencieusement la tête.

-Karan, moi comme toi savons que la colère ne mêne à rien, au contraire elle t'as permit devenir ce grant homme que tu est aujourd'hui, et je suis sûr que ton père, peut importe l'endroit où il se trouve en ce moment est fièr de toi, de l'homme que tu est devennu.

Il posa sa main sur sa joue et la carressa doucement.

-Je crois que si je te connaissait depuis longtemps, j'aurrais déjà pardonné à ce fils de pute. Mais vois-tu, ça n'arrivera jamais, au point où j'en suis, j'en arrive même à souhaiter sa mort. Declarat-il toit en continuant sa caresse.

Ayanna le regarda dans les yeux.

-Zyad Al Kadra, tu le connais. Demmanda soudainement Ayanna avec un petit sourire.

Karan tira sur le bras de la jeune femme de sorte à ce qu'elle vienne se réfugier dans ses bras, chose qu'Ayanna accepta volontairement.

Elle posa sa tête sur son buste juste la où battait son coeur, et passa ses bras sur son dos musclé.

Karan la serra etroitement contre lui et de posa un baiser au sommet de sa tête.

-Parfaitement. Murmura t-il. C'est mon père aprés tout, je me devais de faire des recherche sur lui.

Ayanna savourra cette etreinte tout le temps qu'elle dura.

Elle se sentit soulevé et sursautta.

-Karan! Qu'est-ce-que tu fais?

Pour toute réponse il déposa un baiser sur son front.

Arrivé dans sa chambre, il la déposa sur le lit et vin se positionner au dessu d'elle.

-J'ai une faveur à te demmander.

Ayanna le regarda dans les yeux pendant un moment.

-Et c'est quoi? Demmanda t-elle finalement.

-J'aimerrais que tu m'accompagne à une soirée.

Ayanna ouvrit grandement le bouche.

-Quoi?

-Tu as trés bien entendu ce que je viens de dire habi. L'informa Karan.

-Mais comment?, je veut dire je ne suis pas prête, et pourquoi?

-Par-ce-que je veut que ce soit toi qui puisse m'accompagner à cette soirée, et crois moi quand je te dis que j'ai un trés grand pouvoir de persuasion.

Il la gratifia d'un sourire avant de commencer a deboutonner sa chémise, tout en gardant le contact visuel.

En quelque minute, elle n'avait plus de chémise. Il fit de même avec son t-shirt et la regarda dans les yeux avant de déclarer d'une voix rauque.

- Tu n'aurrais pas dû me tenter querrida.












𝑻𝒉𝒆 𝑾𝒂𝒚 𝒐𝒇 𝑻𝒉𝒆 𝑯𝒆𝒂𝒓𝒕Où les histoires vivent. Découvrez maintenant