chapitre 18

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Karan termina avec les doccument qu'il avait, et s'adossa sur sa chaise de bureau. Il dait dire que ses derniers temps il n'avait presque plus le temps de se reposer au vu de tout ce qui se passais.

Les médias et la presse qui n'arretais pas de suivre tous ce qu'il fesait, a croire qu'ils attendais qu'il puisse faire une interview, pour ne plus le lacher.
Et ajouter a ça Ayanna qui n'arretais pas de le fuire comme la peste.

Depuis leur leur baiser, la jeunne femme ne lui laisser même pqs le temps de piper mot. Jusqu'a son retour chez lui dans son appartement, ils n'avait toujoirs pas mis les chose au claire. Il vennais d'apprendrse que cette dernière s'etait trouvé un travail et prevoyait déjà de quitter le manoir pour se trouver un appartement.

Il ferma les yeux pendant un moment, puis les ouvrit brusquement. Il long sourire étirra ses lèvre, il se leva et pris sa veste qu'il enfila rapidement. Il prit ses clés de voiture, et son téléphone, et quitta son bureau.

-Mlle Evans, une petite visite s'impose.

Debout devant la photocopieuse qui en fesait des siennes, Ayanna n'arretais pas de chouiner en repontant ses lunette qui n'arretais pas de gliser tellement elle avait transpiré. Sa fesait maintenant une semmaine qu'elle avais commencé sont boulot et elle s'y plaisait, sans compter les filles tiré a quantre épingles qui n'arretais pas de lui faire des remontance qu'elle trouvait assé déplacé au sujet de ses vêtement.

Une dois terminé, elle classa les papiers tout en faisant attention a ses mouvement pour ne pas eparpiller les paiers au sol. Elle s'aida d'une agrafeuse pour fixer le tout afin qu'ils restent en place.

Elle pouvais enfin soifler, d'autant plus que c'etais déjà l'heure pour elle de partir. Elle mit tous ses affaires dans son sac, et se passa une main dans ses cheveux pour les réajuster, enleva ses lunettes et les remis a leurs place, ferma sin ordinateur, mais fut interrompu par la sonnerie du fixe.

-Allo Nella.

Nella, une copine qu'elle s'etais faite au tavail, de peau noir, cette fille etait le prototype de la beauté africaine. Fine avec une taille en huit, qui fesais toujour tourner les regards, mais trés timide.

-Euh.......Ayanna, il y a quelqu'un pour toi. L'annonça sa nouvelle copine.

Elle fronça l'es sourcils.

-Attend.....je ne comprend pas, c'est déjà l'heure de la fermeture, et le dossier Weber à été reporté a demain.......

-Sauf qu'il ne s'agit pas du dossier Weber mais, Al Kadra. Declara une voix lourde derrière elle, qu'elle aurrais reconnue entre milles.

Elle deposa le téléphone et se retourna brusquement, ce qui lui donna des vertiges, mais fut vite ratrapé par Karan.

-Une semmaine a me fuir comme la peste, et maintenant tu veux t'évanouir. Intéressant.

Elle batit les paupières vivement, ne parvennant toujours pas a y croire.

-Qu'est ce que tu fais là. Demmanda t-elle toukoirs sous le choc de le voir là.

Il posa ses mains de sur les accoudoir la bloquant ainsi sur le siège.

-Il fait qu'on parle. Et sérieusement. Commença t-il.

-Mais ce n'est, ni le bon endroit, ni le bon endroit. Continua t-il. Ce soir à 9h, sois prête. Termina t-il.

Elle ouvrit grant les yeux.

-Pourquoi je viendrais?. Demmanda t-elle sur la defenssive.

Un sourire étirra ses lèvre, il quitta les accoudoirs et prit place au coin de la table, jambes croisé, et bras croisé.

-On doit s'expliquer et le faire franchement, je ne comprend pas poirquoi tu as réagis comme ça.

Elle baissa les yeux avant de les relever.

-Ce qui s'est passé etait une erreur. Murmura t-elle au bord des larmes.

-C'est toi qui t'éforce de penser que c'etait une erreur, mais nous savons tous deux que c'est faux.

-Comment peut eu en être certain?. La coupa t-il.

Karan fixa longuement la jeunne femme face a lui, au bords des larmes.

-Tu ne peut pas savoir. Continua t-elle d'une voix enrouée.

-Savoir quoi?. Lui demmanda Karan.

Elle se leva et se mit dos a lui, face a la fenettre.

-Tu ne comprend pas que pour moi ce baiser represente beaucoup pour moi, je te l'ai dit le même soir, tu est le seul que j'ai embrassé aprés Dylan. Je sais qu'il ne signifie rien pour toi, et je n'ai pas envie de t'endre me le dire.......

-Et tu ne m'entendra jamais te dire ça. La coupa t-il.

Elle essaya de refouler le flot de larmes qui lui montait au yeux, mais en vain.

Elle sentit deux gros bras venir l'enlacer par derrière, en plus de cette odeur d'After Shave propre a lui. Ses deux bras se croisèrent sur son ventre, il la ramenna doucement a lui, et posa sa tête au creux de son cou.

-J'insiste, murmura t-il en deposant des petit baiser sur son cou.

Elle frissona sous la pluie de baiser qu'il deposa sur son cou, et en plus de son soufle chaud, cela n'arrangeait rien. Elle releva sa tête en arrière, de sorte a ce qu'elle se pose sur son épaule.

-Nous somme quoi?. Demmanda t-elle subitement, pensant qu'il allais arreter l'exploration de son cou qu'il avait commencé depuis un bon moment maintenant.

-Tu veux qu'on soit quoi?. Lui demmanda t-il.

Elle se detacha de ses bras et pivota les talons pour le faire face. Elle plongea ses yeux dans les siens esperant y deceler une petite once d'ammusement, mais c'estait tout le contraire, ce qui la toubla encore plus.

-Ta première relation amoureuse n'as pas été toute rose, et t'as laissé quelques sequelles. C'est pour ça que je veux que tu prennes ton temps, ne te sens pas obligé de faire se que tu ne te sens pas capable de faire.

Il la repris dans ses bras, et elle posa sa tête sur son torse.

-Je veux y aller a ton rythme, ne te force surtout pas. Murmura t-il, avant de deposer un baiser au somet de sa tête.

Ayanna ferma dortement les yeux. Feanchement elle ne s'attendais pas a ce que cette discussion puisse finir comme ça, elle pensais qu'elle allais rentrer en pleure au manoir et aller dirrectement se coucher et ne plus penser a ce baiser et tout ce qui allait avec.

Elle se blotissa ebcore plus dans ses bras, ce qui le poussa a la serrer zncore plus contre lui.

-Le dinner tiens toujours?. Demmanda t-elle dans un murmure apeine audible.

-Ce soir a 21h. Chuchota t-il près de son oreil.

Elle esquisa un soirire.

-Mais, alors de quoi va t-on parler?

Elle sentit son torse vibrer signe qu'il etais en train de rire. Il souleva sa tête et deposa un doux baiser sur ses lèvres.

-On parlera de tout ce que tu voudras Hermosa. Murmura t-il contre ses lèvres.








𝑻𝒉𝒆 𝑾𝒂𝒚 𝒐𝒇 𝑻𝒉𝒆 𝑯𝒆𝒂𝒓𝒕Où les histoires vivent. Découvrez maintenant