𝑻𝒉𝒆 𝑾𝒂𝒚 𝒐𝒇 𝑻𝒉𝒆 𝑯𝒆𝒂𝒓𝒕

chapitre 11

Il entra dans la maison tout en enlevant sa veste, l'ésprit complètement ailleur, il sentit quelque chose le heurter suivit d'un cri de plainte.

Ayanna venait de lui rentrer dedans avans de tomber loudement sur le sol.

Il s'appocha d'elle et s'acroupi a son niveau pour voir si tout allais bien.

-Désolé, j'etais distraite, je ne regardais pas là oú je metais les pieds.....

-C'est bon tout vas bien. Lui coupa t-il

Il l'aida a se relever et inspecta son visage sous toutes les couture, avant que ses yeux ne tombe sur une égratinure sur le bras.

Il l'emmena dans la cuisine et la fit asseoir sur l'une des chaises haute et alla chercher de quoi la soigner.

Ayanna qui depuis l'incident au milieu de la nuit essayé de l'éviter, ne parvenait plus a le regarder sans sentir son visage chauffer.

A chaque fois qu'elle voyais elle n'arrivais pas a s'enlever cette imaga de lui torse nu, de ses gros bras remplit de veines, de torse imposant et bien bien batît, du mot qui etait tatoué qu'il sur le côté gauche de son torse qu'elle n'avais pas pue comprendre par-ce-que il etait en arabe.

Cette image etait devenue indélébile, a chaque fois qu'elle fermait les yeux elle revoyais toujour cette image. C'est pour ça qu'elle etait entrain de refléchir un moyen simple de l'éviter, elle etais là face à lui qui etait conçentré sur son bras, les sourcils froncé.

Elle etait tellement dans ses pansé qu'elle ne remarqua même pas qu'il avait fini.

Karan claqua ses doit devant ses yeux pour ma reveiller.

Elle surssauta brusquement.

-Oh....pardon, je.....j'étais dans mes pensé. Commença t-elle.

-J'ai l'impression que la plus part du temps, vous ête toujours dans vos pensé. Lui fit-il remarquer en  remettant la trousse qu'il avais prit dans l'une des armoires.

Elle descendit de la chaise et réajusta sa robe pendant qu'il se laivais les mains. Avant qu'il ne puisse partir,......

-Attendez!. Commença t-elle.

Il se retourna nonchalament.

-Oui?. Demanda t-il en fronçant les sourcils, ne comprennant certainement pas pourquoi elle le retenais.

Elle pris un grande inspiration avant de lui poser la question a la quelle elle n'arettais pas de penser depui le matin.

-Le soir du mariage de ma soeur, c'est vous qui m'avait rammené dans la chambre?. Lacha t-elle le soufle court.

Il fronça les sourcils.

-Comment l'avez-vous su?. Demanda t-il.

-Les boutons manchettes de la chémise, les barres énergissantes, l'odeur de la chémise. Enumera t-elle.

Il fronça les sourcils, ne comprenant pas comment elle connaissait l'odeur qui etais sur la chémise.

-Comment connaissez-vous l'odeur de ma chemise?.

-Votre chémise à la même odeur que votre After Shave.

-Comment conaissez-vous l'odeur de mon Afer Sahave?.

Elle sentit son visage chauffer. Elle avait l'impression d'assister a son propre interrogatoire.

Karan souria intérieurement. Malgré sa peau foncé, il pouvais apercevoir quelque trace de rougeur.

-Le matin. Lachat-elle dans un murmure presque innaudible.

Il plissa les yeux pendant un moment avant que tout ne soit clair dans sa tête. Quand il l'avait demandé si elle voulais quelque chose a boire dans la cuisine, le matin.

De base c'etais pour la destabiliser, mais il s'etait pris a son propre jeux. Sentir son doux parfum légèrement vanillé, avais étè pour lui une torture.

Son visage délicat couver de de plusieur tâche impeut plus foncé que son tein, son joli petit nez, ses magnifique lèvre rosé et pleine n'appellait qu'as être embrassé comme il se doit.

Il sortit de sa torpeur aprés quelque minute de silence totale entre eux.

-Oui, c'etait moi. Declara t-il enfin.

Une multitude de question assaillirent l'esprit d'Ayanna.

-Pourquoi?. Demanda t-elle dans un murmure.

Karan s'approcha nonchalament d'elle, et s'arreta a quelque centimètre de son corps.

-Par-ce-que, je sui au courant de ce que tu as vécu avec avec Smith. J'était déjà dehors au moment ou tu discutais avec lui, je t'ai vue lui cracher ta rege au visage, pui t'en aller en pleurant, jusque là où tu as explosé ta rage avant de t'évanouir. Commenca t-il d'une voix lente, profonde et soudainement rauque et chaude.

-Je t'ai porté jusque dans cette chambre et t'ai déposé sur le lit, essuyé le visage, je t'ai changé dans le noir, j ai déposé deux barres energissantes sur la table de chevet par-ce-que ca se voyais que tu etais fatiguée, alors je t'ai laissé dormir tranquillement et, je suis repartit. Coclu t-il.

Elle resta muette ne sachant quoi dire.

-J....je...je ne sais pas quoi dire. Bafouilla t-elle.

-Tu est fatigué, tu devrais aller te reposer. Continua t-il a sa place.

Elle hocha la tête pour toute reponse et sentit la grande main de Karan se poser sur le bas de son dos pour sortir de la cuisine.

Il l'accompagna jusqu'a sa chambre.

-Repose toi tu en as besoin, je sais que ce n'est pas facile pour toi d'apprendre du jour au lendemain que tu n'est pas la fille cadette de tes parent. Declara t-il.

Elle le regarda dans les yeux puis secoua la tête de droite a gauche.

-Ce n'est pas ça le problème, c'est juste que j'ai besoin de plus de temps.....pour réaliser que j'ai deux petites soeurs, et me familliariser avec elle, et surtout pour mes soeur. Continua t-elle.

-Elles aussi on besoin de temps, et surtout Isia, c'est elle qui as le plus besoin de temps. Se faire agresser sexuellement a 12ans n'est pas facile, certe elle est encore petite et sa peut passer mais, il y a certaines lacunes qui resteron ancré dans son esprit. L'explica t-il d'une voix douce.

-Je sais, mais j'essaye de faire ce que je peut.

-Tu n'as pas a te forcer au sujet de quoi que ce soit, elles ont besoin de toi, elles n'on pas besoin de ce que tu peut leur apporter, juste toi.

Elle hocha la tête en signe d'approbation.

-Je te laisse te reposer. Decla t-il en lui adressan un dernier regard avant de tourner et de partir.

-Karan attend!.

Il stopa sa marche et se retourna. Il n'eu même le temps de dire faire quoi que ce soit qu'elle l'etreignit fortement. Il passa ses bras autour de sa fine taille et la serra contre lui.

-Merci. L'entendit-il murmurer.

Son soufle chaud sur son cou le fit frissoner legèrement. Pour toute reponse il déposa deux baiser sur son cou, avant qu'il ne se séparent.

Elle ouvrit la porte de sa chambre et lui murmura un petit "bonne nuit", avant d'entrer et fermer complètement la porte.