chapitre 8

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Assis en face d'un certain José (se lit "rossé") Salazar, Karan attendais impatiemment de connaitre toute la véritè.

-Enfin des gens qui viennes en apprendre plus sur Moreno et Smith?, senquit-il.

Karan fronça les sourcils, ne comprenant pas d'où pouvait sortir le nom de Moreno.

-On ne connais pas de Moreno. Vous pouvez nous éclairer impeut plus?. Demanda Saïd.

José eu un rire de gorge avant de se reprendre.

-Cette personne que vous appellez tous Rodrigo Martinez, s'appelle en fait Albeiro Moreno. Il a changé d'identité quand il a étè expulsé du mexique. Et depuis, on le connais maintenant sous le nom de Rodrigo Martinez, un grand homme d'affaire qui prospére de jour en jour. Pathétique!, si seulement tous le monde savais comment il se procure cette argent.

-Comment se procure t-il cette argent?, demanda Saïd abasourdi.

José posa nonchalament ses coudes sur la table en les regardant tour a tour droit dans les yeux, pui repondit d'une voix basse.

-Il fait des trafique d'être hummain.

Karan se leva brusquement en manquant de renversser la table.

-Comment ça!?, des trafique d'être humain! Non mais il n'avais pas mieux a faire?! S'écria t-il.

Saïd se leva pour le calmer.

-Karan, on est ici pour avoie des réponses a toutes ses question un bonne fois pour toute, alors calme toi et attend qu'on sorte d'ici pour évacuer ta colère. D'accord?.

Karan le répondit d'un simple hochement de tête, et il rentra s'installer sur son siége, suivit de Saïd.

-Vous pouvez continnuer, l'informa Saïd.

L'homme qui jusque là était resté silencieux déclara.

-Je crois que je vais devoir commencer par le début, mais ne me coupez pas la parole.

Saïd hocha la tête en signe d'approbation.

-Albeiro Moreno as connu la prison la prison a l'age de 20ans. Il etais déjà dans le trafique de drogue en ce moment là. Malgré son emprisonement, il a continué ici même, dans cette prison. Quand il a étè libéré, on l'as expulsé du Mexique c'est a compté de ce moment là qu'il a dé cidè de changer de nom et de nationnalité.

-Quelque temps aprés, il est tombé amoureux d'une femme qui etais déjà marié et qui avais quatres enfants. Je ne sais par quel moyen, il a obligé a cette femme de divorcer pour ce remarier avec lui, ou c'etais ces enfants qui allais en payer le prix fort. Et il a eu ce qu'il voulait. Termina josé.

-Et qui est cette femme?, demanda Karan tête baissé, poing serré, la tête au bord de l'explosion.

-Mitali Vohra

Il trembla de rage,

-Comment?. Demanda Saïd

-Mitali etait mairié a un certain Zyad Al Kadra, c'est avec lui qu'elle a eu tous ses enfants. Elle n'a eu aucun enfants avec Albeiro. Repondit simplement josé.

Karan se leva et sorti en trombe de la piéce.

-Qu'est-ce-qu'il a ton ami?. De manda José a Saïd.

-Il se trouve que mon ami est les troisième fils de Mitali. L'informa Saïd.

Tous le monde présent dans la salle s'étonna.

-Bon, ce n'est pas grave, vous pouvez continuer votre reçit. L'intima Saïd.

-Donc comme je le disait, ils se sont marié quelque temps aprés, et il a donné au deux fils ainé son nom,et les autres il s'en fichait.

-Il a rencotré Smith 5ans aprés tous le bordél qu,il a fait. Il on commençé le trafique d'être humain, avant que ça ne leur apporte plus beaucoup d'argent. Mais pour l'instan il on encrore 2 filles qu'il n'on pas encore pus vendre. Des jumelles, belles commes tout. Isia et Isla Aphandé.

-Elles sont où les filles ?. Demanda Saïd soudainement inquiet.

-Elles sont ici même au mexique, je peut vous donner l'adresse, maos faites trés attention de ne pas vous faire prendre. Le previent josé.

Il hocha la tête en signe d'accord et josé lui tendit une feuille avec une adresse dessu.

-Merci beaucoup josé, merci beaucoup pour ton aide.

-Mais de rien.

Ils se firent une accolade avant que Saïd ne le quitent.

Torse nu, ruisselant de sueur, cheveux mouillé, le sac de boxe de la salle de sport qui se trouvait au sous sol de l'appartement en avait de toute les couleur.

-C'est quand tu veux, lui dit Saïd.

Ignorant royale ment son ami, Karan continua de se martiriser les poings de ses mains.

-Karan, tout ce que tu est entrain de faire ne sert a rien, on doit sauver ses deux jeune filles, puis rentrer en Espagne pour avoir des réponses a toutes les question qui te tracase.

-Tu as l'adresse de là oú on les a gardés?. Demanda t-il a Saïd, et arretant de donner des coups de poing sur le sac.

Saïd s'approcha doucement puis lui donna le papier.

-Trés bien, dans 1h on se retrouve au salon. Declat-il en quittant la salle de sport, pour sa chambre.

Il se dèshabilla complétement et entra dans la piéce d'eau prendre une bonne douche froide, il regarda la cicatrice q'uil avait au dessu de sa hanche gauche, puis ferma les fortement les yeux pour maitriser l'accés de colére qui montais en lui.

Le soir venue, il se vêtit d'un t-shirt noir, accompagné de pantalon, chaussure, trench, et d'une paire de gant en dain, de la même couleur.

Il laissèrent la voiture a l'écart et continuairent a pied jusqu'a l'adresse en question.

Une petite maison sans vie, a l'abrit de tout le monde.

Il avançèrent doucement pour faire, le moins de bruit possible.

Ils sortirent leur armes pret a tirer, puis Saïd défonça la porte.

La maison etait prêsque sans vie, sauf que Karan remarqua un certain mouvement au coin de la piéce en diagonale de la porte par la quelle ils etais entré.

Il alluma la lampe de son portable, puis éclaira l' endroi en question, puis il eu un mouvement de récule, ce qui n'echapa pas a Saïd.

-Tout va bien?.

Karan s'approcha doucement, et remarqua que c'etait en fait deux personnes couché a même le sol recroquevillé l'une contre l'autre.

-Saïd, je crois qu'on vient de retrouver Isla et Isia Aphandé. Decla t-il a son ami.








𝑻𝒉𝒆 𝑾𝒂𝒚 𝒐𝒇 𝑻𝒉𝒆 𝑯𝒆𝒂𝒓𝒕Où les histoires vivent. Découvrez maintenant