chapitre 28

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Ayanna quitta brusquement le lit en plein milieu de la nuit pour aller régurgiter tout ce qu'elle avait pue avaler dans la soirée.

Cela fesait maintenant, un bon moment qu'elle vomissait beaucoup, qu'elle avait des maux de tête, et qu'elle se sentait très souvent fatigué. Elle ne connaissait que trop bien ce qui lui arrivait à cause du fait qu'elle aie déjà vécu ça.

Elle sentit une présence derrière elle, avant que les grandes mains de Karan vienne lui caresser le dos.

-Respire mon amour, ça va aller. Murmura t-il tout bas.

Elle inspira profondement, en allant se rinçer la bouche.

-Ayanna, dis moi ce qui se passe. L'intima Karan.

Ayanna sentit son coeur battre sourdement contre ses tempes, elle avait peur de la réaction de Karan, tout simplement par-ce-qu'ils n'en avait jamais discuté.

-Mon amour dis moi ce qu'il ne vas pas, tu ne mange presque plus, tu est à tout moment plongé dans tes pensée...

-Tout vas bien Karan. Lui coupa t-elle brusquement.

Karan la régarda l'air abasourdi.

Ayanna respira imperceptiblement en fermant les yeux. Elle n'entendit que le claquement de la porte, signe que Karan n'était plus là.

Elle pris son courrage à deux main et sortit de la salle d'eau.

Aucune trace de Karan dans la chambre. Elle quitta la chambre pour le salon, mais il n'y était pas non plus. Elle remonta les marche et se entra dans la pièce où il avait rangé tout ces histoire qui avait rapport à l'armée.

Il était là, debout, face à la fenettre de la pièce, qui n'ètait pas sufisament éclairé à cause de la nuit.

-Désolé, je......ne le prend pas mal s'il te plaît, je ne voulais pas te blesser.

Aucune réaction.

Ayanna soufla avant de venir l'enlacer pas derrière.

-S'il te plait pardone moi. Mura t-elle aprés avoir déposé un baiser sur son dos.

-Alors tu vas me dire ce que tu as ? Demmanda Karan.

Ayanna soupira une fois de plus, et dire qu'elle pensait qu'il allait enfin abandonner.

-Pourquoi ne veu-tu pas me dire ce que tu as, si tu est malade je peut demmander a ce que tu sois prise en charge demmain dans un bon hospital.

-Ce n'est rien de tout ça Karan, je t'assure que je vais bien.

-Permet moi d'en douter, tu n'est pas toi même ces jours si et toi comme moi le savont. Ajouta Karan en se retouranat de sorte à être face à elle.

-D'accord, demmain j'irais à l'hospital et je peut te promêttre que tu sera le premier à être au courant de mes résultat.

Elle savait déjà ce qui n'allais pas mais, elle devait avoir une preuve valable pour la lui montrer.

Karan hicha la tête et déposa un baiser sur son front.

...

Ayanna serra fortement son sac, elle n'attendait plis que le résulat d'éxamens. Malgré le fait qu'elle puisse connaitre déjà la réponse, elle stressait quand même par-ce-qu'elle avait prévu de passer dirrectement à l'entreprise de Karan pour le lui annoncer.

-Mlle Evans? L'interpella un docteur.

Elle répondit, et prit l'envellope que le doncteur lui tendais. Aprés une brève salution, elle quitta l'hospital vers l'entreprise de Karan. Accompagné de son chauffeur par-ce-que monsieur ne voulais prendre aucun risque.

Le chauffeur la déposa devant le grate ciel et alla garer la voiture.

Elle inspira un bon coup avant d'entrer dans l'entreprise. C'est alors qu'elle se remercia intérieurement d'avoir pensé à mêttre cette combinaison de couleur noir assortit avec ses talons, et une veste sans manche de couleur maronne assortie à son sac.

Tout étais classe dans cet entreprise, en commençant par les travailleur eux même. Tailleur strictc, costume bien taillé, il faut dire qu'il était bien payé pour pouvoir s'offrir un tel luxe.

-Bonjour madame, que puis-je faire pour vous. L'abborda gentiment une femme qui davait avoir environ le même âge qu'elle.

-Bonjour, j'aimerais si possible voir Mr Al Kadra. Demmanda t-elle à la jeune femme qui fronça les sourcil.

-Oh, euh.....et d'accord, mais si vous pouvez me donner quelque minute, je vais informer sa secrétaire. Déclara cette dernière.

-Ce n'est pas nécessaire. Tona une voix grave juste derriere elles.

-Ah, le voilà. Fit la jeune femme en se retournant ver lui. Bonjour monsieur.

-Bonjour émilie, tu peut nous laisser seuls à présen. Dit Karan, sans quitter Ayanna des yeux.

Ayanna baissa les yeux, il fallait dire que l'arrivé de leurs boss au rée de chaussé n'était pas passé innaperçu, et c'était maintenant tout le monde qui voulais savoir ce qu'il se passait.

Karan s'approcha d'elle, et releva sa tête avec sonc index, puis déposa un lèger baiser sur son front.

-Sabah alkhyr ya qualbi, comment tu te sens? Lui demmada Karan.

Elle hocha la tête, le ventre soudainement nouée.

-On peut parler en privé s'il te plait? Demmanda Ayanna.

-On vas dans mon bureau. Fit Karan en prenant sa mains pour entrer dans l'ascensseur.

Ayanna savait que tout les geste afdectif dont Karan avait fait preuve n'étaient pas passe innaperçu au yeux de ses employés qui ne s'était pas gêné d'arrêter leurs travail pour les observer.

Ses mains dans la mains qu'il se rendirent dans le bureau de Karan.

Grand éclairé par la lumière que laissait passer les baie vitrée, un petit salon dans un coin, une grande bibliothéque, un assez grand bureau dans un autre coin de la pièce, le bureau était tout bonnement magnifique.

-Prend place. Fit Karan en lui tirant pour elle la chaise.

Ayanna prit place, elle inspira profondement par-ce-qu'elle allait devoir tout lui raconter depuis le début.

-Je......vais d'abbord commencer par le début.

Karan hocha la tête pour l'encourager à parler.

-Je sais depuis un moment de quoi je souffre si on peut appelller ça une maladie, par-ce-que j'ai déjà vécu ça, et j'avais peur de te l'annonçer par peur de ta réaction face à cela, c'est pourquoi j'ai sauttė sur l'occasion quand tu m'as dit que je pouvais aller à l'hospital, par-ce-que au moins je pourais confirmer mes doute, et ça ferais aussi une preuve pour toi.

Karan resta calme à écouter son monologue sans la couper.

-Donc, si je comprend bien, tu avait peur de m'anoncer quelque chose par manque de preuve? Demmanda Karan au bout des minutes interminable.

Ayanna hocha la tête.

-Et maintenant que tu as la preuve dont tu avait besoin, je savoir de quoi il s'agit?

Elle sortit l'envelope encore fermé et la lui tendit, et le regarda ouvrir calmement l'envellope.

Son coeur battait à tout allure, mais du moins elle savait qu'elle serait prête à tput pour garder son bébé.










𝑻𝒉𝒆 𝑾𝒂𝒚 𝒐𝒇 𝑻𝒉𝒆 𝑯𝒆𝒂𝒓𝒕Où les histoires vivent. Découvrez maintenant