Moi : Vous mettez les armes dans le grand sac noir à rayures.Andrès : Autant d'armes ?
Moi : Pose pas de questions.
J'enfile ma veste noire et brûle les papiers dans la cheminée alors qu'Ivána s'approche doucement de moi en voyant les autres s'activer en dehors de la maison pour préparer les sacs.
Ivána : Mon frère ?
Je regarde des mois de travail partir en fumée en moins de deux minutes. Des mois à élaborer un plan pour enfin retrouver ce fumier de Murat.
Je l'ai laissé se la couler une éternité, il pense que j'ai oublié ?
Je vais lui montrer que Siyah n'oublie rien, absolument rien, peu importe les années qui passent.
Ivána : Tu vas faire un carnage.
Moi : Tu as l'habitude.
Ivána : Tu vas te défouler sur lui et ses hommes.
Moi : Il s'est pas défoulé sur moi y'a quelques années ? Il m'a traqué deux ans jusqu'à me planter une balle dans le corps.
Elle se place devant moi pour essayer de capter mon regard.
Ivána : ...Je ne voulais pas lui faire du mal à cette fille.
Je serre le poing et me concentre sur ma respiration pour ne pas vriller maintenant.
Ivána : Elle était là, elle ne parlait pas et nous ignorait comme si on était des pauvres merdes.
- ...
Ivána : Elle avait cet air hautain même sans sortir un mot de sa bouche. On ne comprenait pas ce qu'elle faisait réellement ici et j'ai fini par craquer quand elle m'a insulté.
Moi : Tu lui a tranché la clavicule. Aslan a dû lui donner de son sang pour qu'elle puisse rester en vie.
Elle joue avec ses doigts et baisse le regard.
Signe qu'elle stresse et qu'elle a peur.
Ivána : Je... Je suis désolée... Je n'aurais jamais cru que ça t'affecterait autant...
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Au dessus des nuages le soleil brille
General Fiction𝘑'𝘵'𝘢𝘪𝘮𝘦 𝘢𝘶𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘲𝘶𝘦 𝘵𝘶 𝘮'𝘥𝘦́𝘨𝘰𝘶̂𝘵𝘦𝘴 𝘌𝘵 𝘵𝘶 𝘮'𝘥𝘦́𝘨𝘰𝘶̂𝘵𝘦𝘴 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘮𝘰𝘳𝘵 𝘱𝘰𝘶𝘳𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘰𝘯 𝘴'𝘦́𝘵𝘢𝘪𝘵 𝘥𝘪𝘵 "𝘖𝘯 𝘴'𝘢𝘪𝘮𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘢 𝘷𝘪𝘦, 𝘰𝘯 𝘴'𝘲𝘶𝘪𝘵𝘵𝘦 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘮𝘰𝘳𝘨𝘶𝘦" 𝘋𝘦𝘴 𝘮...