Moi : Ça va mon cœur ? T'as pas trop peur dans le noir comme ça ?Elle hoche négativement sa tête et essuie maladroitement ses joues.
Wassila : Tu vas me manquer Delilah -pleure-
Je retiens mes larmes du mieux que je peux et la bombarde de petits bisous sur le visage pour la réconforter un maximum.
Wassila : Je veux pas partir !
Moi : Il le faut c'est important. Je viendrais te voir de temps en temps.
Wassila : Tu me le promets ?
Moi : Promis.
Je lui tends mon petit doigt auquel elle enroule le sien avec un très léger sourire.
Moi : J'ai adoré passer cette journée avec toi et t'apprendre quelques petits trucs de guitare.
Elle me fait un dernier gros câlin et je l'entends sangloter dans mes bras. Je laisse quelques larmes couler sur mes joues sous l'émotion et la serre fortement contre moi.
Je finis par me détacher d'elle et lui mettre correctement sa couverture pour qu'elle s'endorme paisiblement.Moi : Tu me promets de ne pas pleurer une fois que je ferme la porte hein ?
Wassila : Promis !
Moi : Fais de beaux rêves... -sourire-
Elle hoche doucement la tête et se calme pour honorer sa promesse envers moi.
Je lui fais un dernier sourire avant de quitter sa chambre définitivement.
J'arrive au salon où Siyah m'attendais sur le canapé mais reste un peu surprise en le voyant endormi avec le volume de la télé assez bas. Après Wassila voilà que je dois dire au revoir à Siyah.Le combo pour que je passe une très mauvaise nuit ce soir.
Je le contemple longuement endormi et sens mes larmes me monter aux yeux en me rendant compte que je ne passerais plus la majeur partie de mes journées avec lui à rire ou même le provoquer...
Je fais quelques pas jusqu'à sa hauteur et me penche pour lui déposer un petit bisous sur le front mais il m'agrippe brutalement le poignet et ouvre brusquement les yeux. Je retiens un léger gémissement de douleur alors qu'il me lâche rapidement le poignet en se rendant compte que ce n'était que moi.
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Au dessus des nuages le soleil brille
General Fiction𝘑'𝘵'𝘢𝘪𝘮𝘦 𝘢𝘶𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘲𝘶𝘦 𝘵𝘶 𝘮'𝘥𝘦́𝘨𝘰𝘶̂𝘵𝘦𝘴 𝘌𝘵 𝘵𝘶 𝘮'𝘥𝘦́𝘨𝘰𝘶̂𝘵𝘦𝘴 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘮𝘰𝘳𝘵 𝘱𝘰𝘶𝘳𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘰𝘯 𝘴'𝘦́𝘵𝘢𝘪𝘵 𝘥𝘪𝘵 "𝘖𝘯 𝘴'𝘢𝘪𝘮𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘢 𝘷𝘪𝘦, 𝘰𝘯 𝘴'𝘲𝘶𝘪𝘵𝘵𝘦 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘮𝘰𝘳𝘨𝘶𝘦" 𝘋𝘦𝘴 𝘮...