Je coupe un bout de ma barbe à papa que je donne à Wassila qui était surexcitée après la journée qu'on a passé.
C'est sûr qu'enchainer : les jeux à la foire, un peu de shopping,resto, ciné et enfin balade au parc il faut vraiment de l'énergie à revendre pour tenir la journée.Wassila : C'est trop beau !
Effectivement c'était vraiment agréable à regarder. C'était un parc décoré de pleins de lumières scintillantes un peu partout où on pouvait se balader tranquillement en pleine nuit.
On était accompagné de Siyah qui était resté avec nous toute la journée. Mais malgré tout je ne lui avais pas lâché un seul mot de la journée sauf pour lui donner nos destinations.
Monsieur s'était imposé dans notre journée pour je cite « vous accompagner aux différents endroits en voiture »Et bien qu'il fasse son boulot de chauffeur privé et qu'il s'en tienne à ça.
Wassila : Je peux aller faire du toboggan ?! S'il te plaît !
Moi : Tu ne te fatigue jamais Wassila ?
Wassila : Juste une dernière fois !
Moi : Vas-y mais pas trop longtemps et tu fais attention !
Wassila : Oui !
Elle court jusqu'au toboggan et enchaîne les glissades le sourire aux lèvres. Je jette un léger coup d'œil derrière moi et vois Siyah un peu à l'écart toujours avec son téléphone à l'oreille.
Ce mec meurt s'il ne téléphone pas au moins 10 fois dans la journée.- C'est dingue ce hasard tu ne trouves pas ?
Je souris en reconnaissant la voix d'Amaël et fais volte face pour être face à lui.
Moi : Ne serais-ce le beau parleur Amaël devant moi ?
Amaël : Tu me juges sans même me connaître.
Moi : C'est vrai que c'est assez osé et déplacé de ma part.
Amaël : -rire- Qu'est-ce qu'une grande femme comme toi fais dans un parc pour enfant ?
Moi : Je te retourne la question.
Amaël : Ma petite cousine Lola là-bas et toi ?
Il me pointe une petite fille visiblement un peu plus jeune que Wassila jouant aussi dans l'air de jeu.
Moi : Wassila qui s'amuse comme une folle sur le toboggan.
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Au dessus des nuages le soleil brille
Ficção Geral𝘑'𝘵'𝘢𝘪𝘮𝘦 𝘢𝘶𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘲𝘶𝘦 𝘵𝘶 𝘮'𝘥𝘦́𝘨𝘰𝘶̂𝘵𝘦𝘴 𝘌𝘵 𝘵𝘶 𝘮'𝘥𝘦́𝘨𝘰𝘶̂𝘵𝘦𝘴 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘮𝘰𝘳𝘵 𝘱𝘰𝘶𝘳𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘰𝘯 𝘴'𝘦́𝘵𝘢𝘪𝘵 𝘥𝘪𝘵 "𝘖𝘯 𝘴'𝘢𝘪𝘮𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘢 𝘷𝘪𝘦, 𝘰𝘯 𝘴'𝘲𝘶𝘪𝘵𝘵𝘦 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘮𝘰𝘳𝘨𝘶𝘦" 𝘋𝘦𝘴 𝘮...