Son parfum m'enivre et mes sens se remettent à nouveau en alerte lorsque je sens sa présence derrière le canapé dans lequel j'étais assise. Mon pouls s'accélère et mes poils s'hérissent au contact de ses lèvres sur ma nuque. Je serre doucement le poing alors que je relève la tête pour l'observer la tête en arrière, lui accoudé à l'appuie-tête, son visage très proche du mien.Siyah : Ça va ? -doucement-
Moi : Oui pourquoi ?
Siyah : T'es toute rouge.
Je rougis encore plus et tente de me redresser mais il pose ses mains sur mes épaules avant de déposer un chaste baiser sur mes lèvres. Je sens mon ventre se tordre de plaisir alors qu'il s'en va vers le jardin lorsque l'on entend quelques pas arriver vers le salon. Je déglutis difficilement et tente de me concentrer sur l'émission qui passait à la télé l'air de rien.
- T'es toute seule ?
Je relève la tête et vois Ivána habillée d'un crop top noir accompagné d'un jean taille haute de la même couleur et une petite veste en cuir qui mettait en valeur sa taille fine.
C'est une très belle femme c'est indéniable.
Moi : Oui.
Je m'apprête à me lever pour quitter la pièce mais elle me retient doucement par le poignet l'air gêné. Je retire brusquement mon bras et des frissons désagréables me prennent.
Ivána : On peut parler deux minutes ?
- ...
Ivána : S'il te plaît ? C'est important.
Depuis le jour où elle m'a agressé je n'étais jamais restée seule dans une pièce avec elle de peur qu'elle finisse le travail qu'elle avait commencé il y a quelques mois.
Je me rassois sur le canapé à l'opposé d'elle et reste sur mes gardes.
Ivána : Je veux m'excuser de tout le mal que je t'ai fait depuis qu'on s'est rencontré. Les humiliations, les insultes, les critiques, les menaces et surtout lorsque je t'ai attaqué au couteau.
- ...
Ivána : Je m'en veux d'avoir été aussi impulsive en te prenant pour une ennemie alors que je n'ai jamais réellement cherché à te connaître, ni connaître tes intentions.
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Au dessus des nuages le soleil brille
General Fiction𝘑'𝘵'𝘢𝘪𝘮𝘦 𝘢𝘶𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘲𝘶𝘦 𝘵𝘶 𝘮'𝘥𝘦́𝘨𝘰𝘶̂𝘵𝘦𝘴 𝘌𝘵 𝘵𝘶 𝘮'𝘥𝘦́𝘨𝘰𝘶̂𝘵𝘦𝘴 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘮𝘰𝘳𝘵 𝘱𝘰𝘶𝘳𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘰𝘯 𝘴'𝘦́𝘵𝘢𝘪𝘵 𝘥𝘪𝘵 "𝘖𝘯 𝘴'𝘢𝘪𝘮𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘢 𝘷𝘪𝘦, 𝘰𝘯 𝘴'𝘲𝘶𝘪𝘵𝘵𝘦 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘮𝘰𝘳𝘨𝘶𝘦" 𝘋𝘦𝘴 𝘮...