𝒸𝒾𝓃𝓆𝓊𝒶𝓃𝓉𝑒-𝓃𝑒𝓊𝒻

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Moi : Je crois avoir mal entendu

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Moi : Je crois avoir mal entendu.

- T'as besoin que je te le répètes ?

Moi : Aslan je te jure que si tu oses l'approcher ça ira très mal pour toi.

Je serre mon poing de haine pour essayer de calmer mes nerfs.

Aslan : Tu n'as pas l'air de savoir comment prendre soin d'une femme. Je vais t'apprendre en te montrant comment un homme doit prendre soin d'une femme telle que Delilah -calmement-

Moi : J'espère du plus profond de mon âme que tu te moques une énième fois de moi et que tu ne parles pas sérieusement Aslan.

Aslan : J'ai l'air d'être un blagueur en temps normal ?

C'est bien ça le problème.

Aslan : Je pense qu'hier tu as atteint un point de non retour avec elle. Laisse ta place à quelqu'un de plus méritant.

Moi : Mais est-ce que tu t'entends parler bordel ?! Tu parles de Delilah ! De MA femme Aslan !

Aslan : Tu laisses ta femme en plan à un dîner au restaurant qu'elle a organisé pour toi dans un pays inconnu ? Drôle de manière de traiter sa femme.

Il sait tirer où ça fait mal et c'est ce qui m'insupporte au plus haut point avec Aslan. Il ne te caressera jamais dans le sens du poil pour te faire plaisir.
Au contraire, il fera tout pour t'enfoncer pour que tu te rendes compte de ton erreur, peu importe à quel point ça fait mal.

Moi : Je te racontes mes problèmes et c'est comme ça que tu m'aides ? En me disant ouvertement que tu comptes t'approprier ma femme ?

Aslan : Carrément.

Moi : J'ai tellement envie de t'insulter ta mère mais je le ferais pas par respect.

Aslan : Tu vois ta vulgarité c'est déjà un défaut.

Moi : Attends tu penses réellement que Delilah peut être intéressée par toi ?

Aslan : Tu te rappelles à l'anniversaire de Wassila ? Elle t'a bien avoué qu'elle me trouvait pas mal non ?

Je suis à deux doigts de frôler la crise de nerfs. Mais plus il sentira ma colère et plus il en jouera.

Au dessus des nuages le soleil brille Où les histoires vivent. Découvrez maintenant